Dans une lettre à en-tête officiel de l'assemblée de Polynésie, adressée à l’agence Tahiti presse, mais envoyée à l'ensemble des médias polynésiens, le représentant UPLD et président de la Commission des Institutions et des Relations Internationales Hiro Tefaarere s’insurge contre l’ultimatum lancé par les syndicats de patrons et de salariés au pays. Il les compare aux familles qui utilisent les allocations familiales de la CPS pour partir « en voyage d’agrément » en abandonnant leurs enfants aux oncles et tantes «avec 3 boîtes de corned beef. »
« Comment ces vieux compagnons de route (syndicats et patrons) peuvent-ils nous justifier l’absence de création d’emploi voire la destruction de plus de 6 000 emplois depuis 3 ans alors que depuis 10 ans ils usent et abusent des 25 milliards de francs accordés par l’Etat (…au titre de la défiscalisation), des 20 à 25 milliards de francs annuels liquidés au titre du budget du pays (…), des 20 milliards de francs annuels des investissements de l’Etat, et des 5 à 7 milliards annuels d’investissement des communes ? » s’enflamme le représentant UPLD. « C’est le monde à l’envers », continue Hiro Tefaarere. La lettre ne devrait pas laisser les syndicats sans réaction.
« Comment ces vieux compagnons de route (syndicats et patrons) peuvent-ils nous justifier l’absence de création d’emploi voire la destruction de plus de 6 000 emplois depuis 3 ans alors que depuis 10 ans ils usent et abusent des 25 milliards de francs accordés par l’Etat (…au titre de la défiscalisation), des 20 à 25 milliards de francs annuels liquidés au titre du budget du pays (…), des 20 milliards de francs annuels des investissements de l’Etat, et des 5 à 7 milliards annuels d’investissement des communes ? » s’enflamme le représentant UPLD. « C’est le monde à l’envers », continue Hiro Tefaarere. La lettre ne devrait pas laisser les syndicats sans réaction.
