Quarante à cinquante manifestants se sont retrouvés vendredi matin devant l'assemblée de Polynésie pour protester contre le vote de la motion de défiance, et demander un terme à l'instabilité politique qui ronge le pays depuis 2004.
La plupart s'étaient donné le mot sur Facebook, et si la mobilisation n'a pas été au rendez-vous, les participants considèrent que c'est un début encourageant. Tous ce matin exprimaient leur fiu des manoeuvres politiques. "J'ai l'impression qu'ils se prennent un peu pour Kadhafi ! Le peuple nous aime, le peuple est avec nous, alors que non ! le peuple en a marre !" affirme l'un de ces manifestants, James Yuteng. "Cela ne va pas être facile de mobiliser les troupes mais j'espère qu'il y aura un effet boule de neige, et peut-être que dans 15 jours, avec l'ultimatum lancé par les syndicats, ça sera plus gros".
Ces manifestants, jeunes, et d'origine polynésienne pour la plupart, attendent du gouvernement central la dissolution de l'assemblée, et l'organisation d'élections anticipées. Ils ont fait une incursion dans le hall de l'assemblée, adressant aux politiques des slogans tels que "filous, filous". La manifestation s'est dissoute avant la fin de la séance.
La plupart s'étaient donné le mot sur Facebook, et si la mobilisation n'a pas été au rendez-vous, les participants considèrent que c'est un début encourageant. Tous ce matin exprimaient leur fiu des manoeuvres politiques. "J'ai l'impression qu'ils se prennent un peu pour Kadhafi ! Le peuple nous aime, le peuple est avec nous, alors que non ! le peuple en a marre !" affirme l'un de ces manifestants, James Yuteng. "Cela ne va pas être facile de mobiliser les troupes mais j'espère qu'il y aura un effet boule de neige, et peut-être que dans 15 jours, avec l'ultimatum lancé par les syndicats, ça sera plus gros".
Ces manifestants, jeunes, et d'origine polynésienne pour la plupart, attendent du gouvernement central la dissolution de l'assemblée, et l'organisation d'élections anticipées. Ils ont fait une incursion dans le hall de l'assemblée, adressant aux politiques des slogans tels que "filous, filous". La manifestation s'est dissoute avant la fin de la séance.
