Tahiti, le 16 avril 2020 - Une loi de Pays prévue vendredi au programme de la session administrative prévoit les dispositions spécifiques pour les décès de personnes infectées ou susceptibles d'être infectées du coronavirus.
Fort heureusement, le fenua ne compte toujours pas à ce jour de cas de décès lié au coronavirus. Pour autant, les autorités sanitaires ont déjà anticipé une telle éventualité en annonçant les modalités très particulières concernant les obsèques en ces temps de confinement et d’épidémie. Comme dans les autres pays touchés par la pandémie, le gouvernement a souhaité anticiper également le cas des décès de personnes infectées ou suspectées d’être infectées par le coronavirus. Vendredi, l’assemblée va donc examiner un projet de délibération fixant les conditions particulières à respecter pour ces défunts particuliers.
Le texte prévoit notamment qu’il ne pourra être procédé à aucune “opération tendant à la conservation du corps d'une personne décédée infectée ou susceptible d'être infectée par le virus”, ni “au transport avant mise en bière d'une personne” dans la même situation. Les médecins ou professionnels de santé rédigeant le certificat de décès devront donc y indiquer la présence d’un risque épidémique ou biologique.
Fort heureusement, le fenua ne compte toujours pas à ce jour de cas de décès lié au coronavirus. Pour autant, les autorités sanitaires ont déjà anticipé une telle éventualité en annonçant les modalités très particulières concernant les obsèques en ces temps de confinement et d’épidémie. Comme dans les autres pays touchés par la pandémie, le gouvernement a souhaité anticiper également le cas des décès de personnes infectées ou suspectées d’être infectées par le coronavirus. Vendredi, l’assemblée va donc examiner un projet de délibération fixant les conditions particulières à respecter pour ces défunts particuliers.
Le texte prévoit notamment qu’il ne pourra être procédé à aucune “opération tendant à la conservation du corps d'une personne décédée infectée ou susceptible d'être infectée par le virus”, ni “au transport avant mise en bière d'une personne” dans la même situation. Les médecins ou professionnels de santé rédigeant le certificat de décès devront donc y indiquer la présence d’un risque épidémique ou biologique.
