NEW YORK, dimanche 4 octobre 2015 (Flash d’Océanie) – Un biologiste marin américain a annoncé en début de semaine dernière une récente lorsqu’il se trouvait en expédition aux îles Saloon : un spécimen jusqu’ici inconnu de tortue imbriquée qui possède la particularité d’être biofluorescente.
David Gruber, universitaire basé à New York, se trouvait dans cet archipel mélanésien en juillet 2015 pour tenter d’y filmer des requins et des coraux possédant les mêmes propriétés.
Il a en fait capturé dans son objectif, lors d’une plongée de nuit, ce qu’il a ensuite qualifié d’ « OVNI » ou un « grand vaisseau spatial glissant, de couleurs rouge et verte vives », rapporte le National Geographic.
Selon les scientifiques, cette découverte est significative dans la mesure où il s’agit d’une première en matière de biofluorescence chez des reptiles marins.
Après avoir découvert cette tortue, David Gruber l’a ensuite suivie pendant un moment, mais a ensuite déclaré l’avoir laissée partir « pour ne pas la harceler ».
Il a ensuite estimé qu’il était encore trop tôt pour tenter d’expliquer cette faculté chez les tortues marines, et s’il s’agissait ou pas d’un cas isolé.
David Gruber, universitaire basé à New York, se trouvait dans cet archipel mélanésien en juillet 2015 pour tenter d’y filmer des requins et des coraux possédant les mêmes propriétés.
Il a en fait capturé dans son objectif, lors d’une plongée de nuit, ce qu’il a ensuite qualifié d’ « OVNI » ou un « grand vaisseau spatial glissant, de couleurs rouge et verte vives », rapporte le National Geographic.
Selon les scientifiques, cette découverte est significative dans la mesure où il s’agit d’une première en matière de biofluorescence chez des reptiles marins.
Après avoir découvert cette tortue, David Gruber l’a ensuite suivie pendant un moment, mais a ensuite déclaré l’avoir laissée partir « pour ne pas la harceler ».
Il a ensuite estimé qu’il était encore trop tôt pour tenter d’expliquer cette faculté chez les tortues marines, et s’il s’agissait ou pas d’un cas isolé.
