WELLLINGTON, mardi 14 août 2012 (Flash d’Océanie) – L’armée néo-zélandaise a annoncé en fin de semaine dernière avoir détecté, grâce à un de ses avions Orion, une énorme masse flottante de pierres ponce, probablement issues d’éruptions volcaniques sous-marines dans la région, à la dérive dans l’Océan Pacifique.
Cette « mer de pierres ponces », d’une superficie estimée à 25.000 kilomètres carrés, a été observée au large des îles Kermadec (Nord de la Nouvelle-Zélande, zone particulièrement sismique, située au-dessus de la fosse tectonique éponyme) alors que l’armée néo-zélandaise revenait de manœuvres à Samoa.
Ces pierres ponces proviendraient probablement de l’éruption de volcans sous-marins, nombreux dans cette région.
Sean Stewart, le commandant de la frégate néo-zélandaise HMNZS Canterbury, qui s’est trouvée confrontée à cette énorme masse flottante, avec à bord des scientifiques géophysiciens de l’institut GNS Science, a évoqué en fin de semaine dernière « un énorme radeau flottant à perte de vue ».
Le vaisseau a décidé, au milieu de cette masse, de faire une brève halte afin de recueillir des échantillons de ces pierres et tenter d’en retrouver la source.
Le volcan sous-marin le plus connu dans la proche région est le Monowai, qui est en activité quasi-permanente tout au long de cette fosse des Kermadec.
Ce phénomène a aussi été observé depuis l’espace par les satellites de la NASA qui estime que cette masse flottante est d’une largeur de près de deux kilomètres.
Des scientifiques néo-zélandais, québécois, belges et de Polynésie française ont aussi, depuis, lié la présence de cet amas de pierres volcaniques aux récentes éruptions de monts sous-marins à une profondeur de plus de mille mètres en-dessous du niveau de la mer et aux séismes dans la fosse des Kermadec, les 17 et 18 juillet 2012. (voir photos prises à ces dates à
http://earthobservatory.nasa.gov/IOTD/view.php?id=78849.
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Cette « mer de pierres ponces », d’une superficie estimée à 25.000 kilomètres carrés, a été observée au large des îles Kermadec (Nord de la Nouvelle-Zélande, zone particulièrement sismique, située au-dessus de la fosse tectonique éponyme) alors que l’armée néo-zélandaise revenait de manœuvres à Samoa.
Ces pierres ponces proviendraient probablement de l’éruption de volcans sous-marins, nombreux dans cette région.
Sean Stewart, le commandant de la frégate néo-zélandaise HMNZS Canterbury, qui s’est trouvée confrontée à cette énorme masse flottante, avec à bord des scientifiques géophysiciens de l’institut GNS Science, a évoqué en fin de semaine dernière « un énorme radeau flottant à perte de vue ».
Le vaisseau a décidé, au milieu de cette masse, de faire une brève halte afin de recueillir des échantillons de ces pierres et tenter d’en retrouver la source.
Le volcan sous-marin le plus connu dans la proche région est le Monowai, qui est en activité quasi-permanente tout au long de cette fosse des Kermadec.
Ce phénomène a aussi été observé depuis l’espace par les satellites de la NASA qui estime que cette masse flottante est d’une largeur de près de deux kilomètres.
Des scientifiques néo-zélandais, québécois, belges et de Polynésie française ont aussi, depuis, lié la présence de cet amas de pierres volcaniques aux récentes éruptions de monts sous-marins à une profondeur de plus de mille mètres en-dessous du niveau de la mer et aux séismes dans la fosse des Kermadec, les 17 et 18 juillet 2012. (voir photos prises à ces dates à
http://earthobservatory.nasa.gov/IOTD/view.php?id=78849.
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