Dimanche dernier, dans une maison familiale de Toahotu, un jeune homme a été retrouvé sans vie.
PAPEETE, le 30 octobre 2017 - Dimanche dernier, le corps d'un jeune homme a été découvert par sa famille qui a immédiatement prévenu les pompiers et la gendarmes. Ces derniers n'ont pu que constater le décès de la victime qui a été retrouvé allongée sur un lit et dont le visage portait des marques de violence.
Les causes de la mort restent à définir. Dimanche dernier, dans une maison familiale de Toahotu, un jeune homme a été retrouvé sans vie. Ce sont des membres de sa famille qui ont fait la macabre découverte et qui ont alerté les secours. La victime gisait sur un matelas dans un cabanon en bois qui jouxte le domicile principal. Son corps ne portait pas de traces apparentes de violence mais son visage présentait d'importantes blessures. De nombreuses petites projections de sang ont été relevées sur le mur proche du lit. La veille au soir, les voisins disent avoir entendu de la musique.
L'autopsie du corps de la victime a eu lieu cet après-midi. En fonction du résultat de l'examen médical, la justice pourra déterminer les causes de la mort et ouvrir une information judiciaire s'il est avéré qu'elle n'est pas accidentelle. Deux jours après les faits, les enquêteurs n'ont interpellé aucun individu.
Les causes de la mort restent à définir. Dimanche dernier, dans une maison familiale de Toahotu, un jeune homme a été retrouvé sans vie. Ce sont des membres de sa famille qui ont fait la macabre découverte et qui ont alerté les secours. La victime gisait sur un matelas dans un cabanon en bois qui jouxte le domicile principal. Son corps ne portait pas de traces apparentes de violence mais son visage présentait d'importantes blessures. De nombreuses petites projections de sang ont été relevées sur le mur proche du lit. La veille au soir, les voisins disent avoir entendu de la musique.
L'autopsie du corps de la victime a eu lieu cet après-midi. En fonction du résultat de l'examen médical, la justice pourra déterminer les causes de la mort et ouvrir une information judiciaire s'il est avéré qu'elle n'est pas accidentelle. Deux jours après les faits, les enquêteurs n'ont interpellé aucun individu.
