PAPEETE, 25 juin 2014 – Un cahier des charges à l’attention de chaque exploitant d'un "fare" flottant est en cours d’élaboration. L’activité des pirogues de loisir devrait pouvoir reprendre courant juillet.
La question des pirogues de loisir a fait l’objet d’une communication en Conseil des ministres, ce mercredi. Les exploitants de "fare" flottants sont interdits d’activité depuis le 12 juin, sur décision du gouvernement par mesure de précaution suite à plusieurs incidents et en l’absence de réglementation précise.
Albert Solia, le ministre en charge de l’Equipement, a présenté mercredi matin au gouvernement l’état d’avancement des travaux engagés depuis 15 jours avec les exploitants, sous la tutelle de ses services à la Direction polynésienne des affaires maritimes.
La reprise d’activité ne pourra intervenir qu’après acceptation par les exploitants d’un cahier des charges toujours en cours de rédaction. Le document pourrait être finalisé durant la première quinzaine de juillet. Il vise à encadrer les conditions d’exploitation des pirogues de loisir et précise diverses obligations, dont la nécessité de la présence continue à bord de deux personnes titulaires d’un permis de transport lagonaire et d’un brevet de secouriste, le débarquement obligatoire avant 17 heures sur le site d’Orohiti, le tri des déchets et leur dépôt à la marina service, ou encore l’immatriculation obligatoire des embarcations et leur homologation en navire de 5e et 6e catégorie…
Par ailleurs, le nombre de pirogues présentes simultanément sur le site du banc de sable de Taapuna sera restreint.
Le 13 mai dernier, le Port autonome de Papeete avait défini une grille tarifaire intégrant la notion de location de corps-mort "à des fins commerciale" et avait quadruplé le tarif mensuel des mouillages dans cette nouvelle catégorie.
La question des pirogues de loisir a fait l’objet d’une communication en Conseil des ministres, ce mercredi. Les exploitants de "fare" flottants sont interdits d’activité depuis le 12 juin, sur décision du gouvernement par mesure de précaution suite à plusieurs incidents et en l’absence de réglementation précise.
Albert Solia, le ministre en charge de l’Equipement, a présenté mercredi matin au gouvernement l’état d’avancement des travaux engagés depuis 15 jours avec les exploitants, sous la tutelle de ses services à la Direction polynésienne des affaires maritimes.
La reprise d’activité ne pourra intervenir qu’après acceptation par les exploitants d’un cahier des charges toujours en cours de rédaction. Le document pourrait être finalisé durant la première quinzaine de juillet. Il vise à encadrer les conditions d’exploitation des pirogues de loisir et précise diverses obligations, dont la nécessité de la présence continue à bord de deux personnes titulaires d’un permis de transport lagonaire et d’un brevet de secouriste, le débarquement obligatoire avant 17 heures sur le site d’Orohiti, le tri des déchets et leur dépôt à la marina service, ou encore l’immatriculation obligatoire des embarcations et leur homologation en navire de 5e et 6e catégorie…
Par ailleurs, le nombre de pirogues présentes simultanément sur le site du banc de sable de Taapuna sera restreint.
Le 13 mai dernier, le Port autonome de Papeete avait défini une grille tarifaire intégrant la notion de location de corps-mort "à des fins commerciale" et avait quadruplé le tarif mensuel des mouillages dans cette nouvelle catégorie.
