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Tauhiti Nena veut remplacer les enseignants "expatriés" par des Polynésiens


Tauhiti Nena et la direction de l'enseignement secondaire, Aline Heitaa-Archer
Tauhiti Nena et la direction de l'enseignement secondaire, Aline Heitaa-Archer
Mille cent cinquante-huit emplois sont accessibles aux jeunes polynésiens par voie de concours dans l’enseignement du second degré. C’est le chiffre présenté ce lundi par le ministre de l’éducation Tauhiti Nena, et par la directrice de la DES (direction de l’enseignement secondaire), Aline Heitaa-Archer. Ils souhaitent encourager « l’océanisation des cadres » en faisant connaître le nombre de postes disponibles pour les étudiants polynésiens, qui seront prioritaires face aux métropolitains s’ils réussissent les concours de l’enseignement supérieur.

Ces postes ne sont pas nouveaux : ils existent déjà, mais sont occupés par des enseignants « expatriés », selon l'expression utilisée par le ministre lundi. Il s'agit en réalité du personnel de l’éducation nationale mis à disposition de la Polynésie française pour deux fois deux ans. Ces derniers représentent 48% des 1 899 postes d’enseignants disponibles au Fenua. Autant d’emplois possibles pour les jeunes Polynésiens. Et même l’Etat devrait y trouver un avantage, affirme Tauhiti Nena.

« Nous présentons ces chiffres pour permettre aux jeunes polynésiens de s’orienter dans leurs études » a expliqué le ministre de l’éducation. « Il faut savoir aussi que cela coûterait moins cher à l’Etat si ces postes étaient occupés par des enseignants de Polynésie plutôt que par des enseignants de métropole mis à disposition » continue Tauhiti Nena. Un professeur qui vient vivre pour deux fois deux ans en Polynésie avec sa famille coûte cher en effet : il bénéficie d’une prime d’installation qui équivaut à un an de son salaire soit « plus de 3 millions » a avancé le ministre de l’éducation.

En publiant ces chiffres, le ministère compte également influer sur les choix de l’Université, qui prépare ses cartes de formation pour les quatre prochaines années. La précédente présidente de l’UPF, Louise Peltzer, avait soulevé contre elle une partie du monde enseignant lorsqu’elle avait déclaré vouloir supprimer la licence d’anglais au motif qu’il n’y avait pas de débouchés. Selon les chiffres présentés par la DES, rien que dans cette matière, 38 postes aujourd’hui occupés par des enseignants issus de métropole sont potentiellement accessibles aux Polynésiens, s’ils réussissent les concours de l’enseignement supérieur.

Tauhiti Nena veut remplacer les enseignants "expatriés" par des Polynésiens

Tauhiti Nena veut remplacer les enseignants "expatriés" par des Polynésiens

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Tauhiti Nena veut remplacer les enseignants "expatriés" par des Polynésiens

le Lundi 28 Novembre 2011 à 16:19 | Lu 7177 fois
           



Commentaires

1.Posté par Angel le 28/11/2011 18:00 | Alerter
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Bravo, bonne initiative....
Maintenant, aux jeunes de bosser pour réussir le concours...

2.Posté par Gérard Marchetti le 28/11/2011 20:40 | Alerter
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Bien sûr bonne initiative à condition que les étudiants réussissent leurs concours et acceptent le statut de fonctionnaire d'état. Mais Tauhiti Nena doit avoir d'autres idées moins avouables dans sa tête. Casser un peu plus la France, tout en acceptant d'en recevoir ses indemnités !
Il ne faudra jamais oublier que ce sont les professeurs métropolitains (et non expatriés) qui ont formés les enseignants de la Polynésie française d'aujourd'hui et même encore à venir.
Si la haine qu'ont certains politiques bleus à l'égard des français métros devient insupportable, cela pourrait bien se retourner d'ici 2012 contre ces mêmes po-litiques racistes...
Le Presquilien

3.Posté par Jean Dujardin le 29/11/2011 06:03 | Alerter
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Allons jusqu'au bout de votre démarche Mr le ministre. Puisque vous voulez faire faire des économies à l'Etat, il n'y a aucune raison que ces futurs enseignants Polynésiens aient des salaires majorés, puisqu'ils vont enseigner chez eux. Qu'ils soient alors payés sur la même base qu'un enseignant en Métropole. Soyons logique !!!

4.Posté par dominique le 29/11/2011 06:55 | Alerter
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c'est une plaisanterie??? je suis pour l'oceanisation des cadres . mais rappellons que
-le ministre lui meme a accepté la fermeture des filieres de formation aux concours d'enseignement il ya deux ans (ce qu'on appelle les masters d'enseignement du second degré) à l'UPF. pourquoi ne s'est il pas joint aux universitaires qui s'étaient battus contre les responsables de l'université de polynesie pour preserver cette formation et les interets des polynésiens.
-que pour la plupart des disciplines faisant appel à des expat, il n'y aucune formation à l'université ici.
-que là où il y avait encore une formation il ya deux ans, il n'y avait souvent que quelques étudiants , parfois quatre ou cinq (ce qui explique, vu le cout de la formation pour si peu d'étudiants, que l'université les ai fermées..)
quelle hypocrisie, il n'y a même pas le vivier pour remplir tous les postes pourtant reservés aux polynesiens pour les profs des écoles ; l'an dernier, 60 postes, et seulement 37 postes pourvus, alors qu'à la difference de la metropole, il faut seulement la licence pour le professorat des écoles...

5.Posté par Ozzy le 29/11/2011 06:57 | Alerter
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Parfait, on veut que les "étrangers" cèdent la place, la xénophobie est partout dans ce gouvernement.

Pourquoi on renvoie pas alors 100% des subventions en métropole ?

Ben non, l'argent des "étrangers" par contre, ils en veulent toujours plus les incompétents du gouvernements...

6.Posté par JEANMY le 29/11/2011 07:08 | Alerter
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Pensez vous que les étudiants polynésiens ne passent pas ces concours?Naturellement,et certains,peu nombreux,les réussissent,d'autres ,plus nombreux,échouent.Encore de la haine,de la désinformation.Deuxième étape:nos jeunes,maintenant encouragés à passer les concours,ne réussissent pas.C'est la faute de la France qui préfère envoyé des fonctionnaires français!!Conclusion:il nous faut l'indépendance,afin que nos jeunes soient reconnus à leur juste valeur.

7.Posté par martinosh le 29/11/2011 08:31 | Alerter
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Bonne nouvelle Mr le ministre,vous allez pouvoir préparer votre reconversion,passer le concours pour montrer l'exemple...à moins qu'il n y ait un problème..!

8.Posté par teiva le 29/11/2011 08:47 | Alerter
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Merci Mr Tauhiti Nena pour cette décision qui nous touche particulièrement!Je tiens aussi à remercier nos profs métropolitains qui ont bien réussi à nous transmettre les enseignements.Grâce à vous, nous pouvons voler de nos propres ailes. Enfin, j’apprécie beaucoup ce ministre car il défend bien les étudiants polynésiens et en plus cela reviendra moins chers à la France de recruter local que de faire venir les profs de France qui la 1er année, je dois l'avouer, sont souvent en vacances(Le temps de la tropicalisation).

9.Posté par Benard le 29/11/2011 09:09 (depuis mobile) | Alerter
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Une utopie, parmi tant d'autres.
Et le "capes", il ne suffit pas de le passer, il faut être le meilleur pour pouvoir enseigner, bande de naze.

10.Posté par Gaz le 29/11/2011 09:15 | Alerter
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Ce qui me semble important et intéressant dans ce débat, c'est que l'océanisation des cadres devrait entrainer une énorme économie pour l'Etat, puisque l'idée de fond, si j'ai bien compris, c'est que les salaires de nos cadres locaux, embauchés pour travailler chez eux, n'ont plus aucune raison d'être majorés, ramenant ainsi petit à petit les salaires de la fonction publique à des niveaux décents et raisonnables.

11.Posté par topikite le 29/11/2011 09:37 | Alerter
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très bien, maintenant aux jeunes de l'UPF de bosser et d'arrêter de choisir des filières sans débouchées, comme le reo maohi et la gestion.
Je ne suis pas certain que l'on trouve si facilement des licenciés en Histoire/Français/Physique/Maths, mais bon, à voir.
Je note tout de même que M. Nena fait parti de tous ces bleuets qui voudraient faire de ce pays une entité uniquement polynésienne bleue, mais avec le pognon de l'état…..?
J'ai du mal à comprendre ce raisonnement, sachant qu'il a été le premier à s'opposer à la proposition de l'état de déléguer toutes les compétences et le budget au territoire.
M. Nena, passez aussi les concours, vous êtes bien meilleur pour la polémique, le copinage, mais pas grand chose d'autres.
Le problème des stagiaires CAPETIENS n'est toujours pas résolu malgré vos bla bla.
Vous êtes un beau parleur, c'est certain qu'être parachuté à un poste de cette importance vous dépasse, soyez réaliste, ouvrez les yeux, déplacez vous dans les archipels, vous allez être stupéfait par le niveau minable des gosses.
Votre seule idée, l'art diplamatoire…mort de rire.
A Atuona, entre les journées tahitiennes, marquisiennes, de l'écologie, préparation des fêtes de Noël, des kermesses,, marche pour ta santé, journée diabète, ect, ce sont autant de jours de moins d travail effectif.
Je vous rappelle que l'année scolaire se compose de 157 jours, moins les ponts, les arrêts maladie, et les journées citées-ci dessus…
Ayez un peu plus de courage, annoncez la vraie couleur, une éducation en tahitien, avec des profs tahitiens, des programmes tahitiens, allez au boulot, au lieu de faire des tonnes de conférence de presse, de faire le beau à droite et à gauche.
Je ne souhaite qu'une chose à présent, que l'état se désengage petit à petit, nous verrons qu'elles seront vos capacités réelles sans la ribanbelle de conseillers qui composent votre cabinet.
Je rappelle pour info, l'éducation en PF, ce sont 6500 personnes dont 5700 sont des locaux…..CQFD

12.Posté par JEANMY le 29/11/2011 09:56 | Alerter
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En réponse à Gaz,tout à fait d'accord pour qu'on arrive à une véritable océanisation des cadres:on en a des exemples édifiants:OPH,SAGEP;les salaires seront ramener à une valeur plus proche de la réalité économique et on peut compter sur eux pour abaisser ainsi le cout de la vie.Qu'en pensent les syndicats et les banquiers?

13.Posté par teaki tetai le 29/11/2011 12:33 | Alerter
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je me pose une question, pourquoi notre ministre de l'éducation de Maohi nui parle de CAPES? ce concours n'est-il pas un concours français, organisé avec l'argent du contribuable français et pour permettre de garantir un niveau d'enseignement sur des critères français?
Alors ok pour l'océanisation des cadres mais en arrêtant de ponctionner le fric des autres et sur la base d'un concours local avec des critères locaux et une reconnaissance internationolocale des diplômes et des formations .....MDR

14.Posté par ZAC le 29/11/2011 15:57 | Alerter
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@ topikite a raison.
Faut-il encore que les jeunes soient orientés vers les bonnes filières et que l'Université propose des formations adaptées aux besoins !

15.Posté par teiva le 29/11/2011 16:11 | Alerter
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Il faut arrêter de diaboliser les étudiants polynésiens. Arrêtez de nous faire croire que seuls les popa'a sont les meilleurs dans tout les domaines, soyez un peu humble, nous sommes en 2011. A ceux qui avancent qu'il s'agit là de l'argent de la France. Ils ont bien raison. La France ne perd rien du tout. Jusqu'à preuve du contraire, la France investit dans un pays français. Cet argent sera investit dans une économie française. Combien d'argent la France a t-elle sous tirée à la Polynésie? Un seul chiffre, plus de 70 % de l’électricité nationale est issue du nucléaire(Formule trouvée ici à moruroa).Faisons le calcul, quel est le ratio entre le coût que supporterait l'Etat pour payer 2000 fonctionnaires polynésiens par rapport aux bénéfices générées par plus de 45 millions de français payant leur électricité.Aussi, les profs de métropoles ne sont pas forcement préparés sur le terrain, ne connaissent pas notre langue, notre culture. Un enseignant polynésien aura beaucoup plus de facilité dans ce domaine là. Je termine en disant pour des raisons d'économies , l'Etat ferait bien de suivre la voie de l'océannisation des cadres.

A topikite:" très bien, maintenant aux jeunes de l'UPF de bosser et d'arrêter de choisir des filières sans débouchées, comme le reo maohi et la gestion." Mon ami, je vois que tu ne peux t'empêcher d’éveiller le cher colon en toi. Moi homme blanc dit tahitien pas bon mais moi homme blanc aime profiter de la terre tahitienne. Moi homme blanc sait qu'avant les polynésiens , il y avait déjà homme blanc ici"Une petite piqûre de rappel, on n'oserait même pas dire au français d'arrêter de parler le français à l'école, aux calédoniens d'arrêter de parler leur langue, encore moins les chinois...
Il s'agit là de l'origine même du peuple polynésien,la langue. La langue te permet de dire de quel pays tu es, elle permet de retracer ton histoire.Malheureusement , cette langue a été interdite à l'école par le système français.Résultat des courses, on devient plus français que les français c'est à dire on n'a plus le sens du partage, de la morale. C'est chacun pour soi et Dieu pour tous.Je ne te parle de des problèmes de langage. La langue tahitienne doit êt...

16.Posté par Substance le 29/11/2011 16:41 | Alerter
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Vu que le premier réacteur nucléaire français a été mis en service en 1956 et que le premier essai à Mururoa a eu lieu en juillet 1966, je me demande comment il fonctionnait, puisqu'il semble que la formule a été trouvée à Mururoa...
C'est pas plutôt la formule du voyage dans le temps?

Et comme du Jean Dujardin et JEANMY, une fois que tous les cadres sont océanisés, l'indexation des salaires des profs n'aura plus raison d'être. Du coup, ne seront retenus que les candidats qui sont plus intéressés par leur boulot que par le salaire...

17.Posté par coyote le 29/11/2011 17:50 | Alerter
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bof, un discours démago en plus sur le compte du ministre-boxeur.....L'océanisation des cadres est déjà effective, regardez la FPT c'est à 85% polynésien !!!
C'est bien le Ministre d'ici qui donne son avis sur les profs qui demandent leur affectations en PF non ? Si il y avait des polynésiens ceux ci seraient favorisés en toute logique non ?

Le vrai problème c'est la formation....pour 1 diplômé polynésien combien d'élèves sur la touche ou avec des qualifications tellement faibles que c'est le SEFI direct ???

Arrêtez votre délire paranoïde-raciste sur l'étranger voleur de travail......Je veux juste des gens compétents et à leur place, maohi ou popp'a je m'en cogne !

18.Posté par topikite le 29/11/2011 18:23 | Alerter
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@ Teiva
Moi homme blanc, pas de problèmes d'identité, arrête de faire le jeu des psychoses actuelles.
Quand les popa'a font les cons, j'écris, quand ce sont les polynésiens, ou autres aussi, je n'ai aucun a priori, je vis ici depuis 20 ans, et je pense que je dois toucher d plus près que toi la réalité polynésienne au quotidien, alors arrête avec ton sentiment paranoïa.
C'est bien cela le problème, impossible d éprendre du recul, de dialoguer sans que l'on nous mette toujours l'argument du grand méchant blanc qui veut du mal aux pauvres petits tahitiens.
Par expérience, ce qui maltraite le plus les autochtones, ce sont les membres mêmes des familles, je pourrais te raconter des centaines histoires sordides, alors des cons, il y en a dans tous les secteurs, les races, ce discours commencent grave à me faire c….il met de l'eau dans le moulin des tavini qui n'ont aucune autre idée.
Il n'y a qu'ici que je vois des étudiants de l'UPF faire 3 premières années boursiers???tu veux des noms?
Tu trouves cela normal, le ministre veut océaniser, tout à fait normal, mais qu'il règle d'abord le problème immense d'échec scolaire, absentéisme.
Pour info, les kanaks parlent un français parfait, et un français qui te ferait pâlir, va lire un peu les taux de réussite à l'UNC, peut être, ont ils de projets tout autre, une idée du monde scolaire et de la réussite différente, non?
Tu parles des profs français qui ne sont pas préparés pour enseigner ici, et tu crois que les tahitiens sont prêts pour enseigner dans les archipels, quand certains ne connaissent de la PF que Moorea, Los Angeles et Las Vegas….
D'ailleurs aux Marquises, je ne vois que peu d'instit tahitiens????
Moi, je ne suis pas contre l'école en Marquisien, en Tuhaa Pae, en Paumotu, mais je ne suis pas certain du résultat, le problème est bien plus profond que ça: manque de communication dans les familles, problèmes énormes des violences, promiscuité, aucun projet, aucune valorisation du travail de l'enfant à qui on ne cesse de répéter "l'école, c'est pour les popa'a……????"
Tu parles de patriotisme???
Tu me fais marrer, j'appelle cela du nationalisme, et de la xénophobie, que les tahitiens soient fiers de leur pays, très bien, c'...

19.Posté par Jean le 29/11/2011 18:49 | Alerter
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Il me semble qu'aucun des fonctionnaires d'Etat ne souhaite migrer vers la fonction publique territoriale.
Il semble que l'état se désengage en diminuant les dotations.
Il semble que la DES n'ait pas les moyens de maintenir les établissements.
Il me tarde de lire le prochain article d'investigation avec comme point de départ le financement des établissements privés sous contrat (http://www.education.gouv.fr/cid55065/menf1100236a.html)
Il me semble que les jeunes tahitiens qui ont les moyens sont bien contents de pouvoir étudier en métropole où l'université est presque gratuite (Pas comme USA, NZ, ...) et de donc de pouvoir bénificier d'un diplôme national. Il y a plus de 2000 licences pro en France...
Il me semble que tous sont français
Il me semble que la DES peine à trouver des remplaçants (4 ème semaine sans un enseignant à Tipaerui, l'an dernier 6 et 8 semaines sans prof de SVT en 1ere S et 8 sans prof d'éco en 1er ses), remplaçants pour lesquels les conditions de diplôme sont bac + 3 ( alors que pour être lauréat des concours (*) il faut actuellement un bac + 5.
Précision concernant le concours de professeur des écoles. En métropole, le concours est passé à bac + 5, la note éliminatoire en tahitien élimine de fait les popaas, pour les épreuves orales, les notes éliminatoires ont été revues car sinon, il n'y avait même pas 27 jeunes.
Certains diplômes d'état (BTS) nécessitent 2 langues étrangères, et le tahitien n'est pas considéré comme une langue
étrangère, donc gros problème.
@Teva, viens faire mes semaines...
@Topikite, tu sembles insinuer que le Ministre n'a pas eu le CAPEPS, tu confirmes ?
En conclusion, cet article stigmatise, et ne construit rien. Et puis un IEN ( premier degré) à la tête de la DES, c'est étrange.
Tiens, la DES recrute un cadre, un vrai : http://www.des.pf/index.php?option=com_content&view=article&id=830:vacance-de-poste-secretaire-general-de-la-des-de-polynesie-francaise&catid=49:la-direction-des-enseignements-secondaires-des&Itemid=75 mais, personne ne se présente...
Je trouve anormal que sauf piston énorme, les professeurs des écoles non spécialisés de métropole ne puissent pas travailler en Polynésie, alors que des PE du corps d'état de P...

20.Posté par Gigi le 29/11/2011 18:51 | Alerter
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Je suis loin, très loin de supporter les thèses xénophobes, racistes et utopiques qui sont prônées par nos irresponsables indépendantistes. Toutefois il me semble juste que l’on protège un minimum l’emploi local. 2.500 jeunes se retrouvent chaque année sur le marché de l’emploi. Nous sommes en 2011 et certains d’entre eux ont bien réussi leurs études, ont atteint d’excellents niveaux, ont étés formés et obtenu des diplômes en métropole. Il me semble normal que ces jeunes aient le droit de récupérer peu à peu des postes qui étaient autrefois occupés par des expatriés. Je ne pense pas qu’il s’agisse là, d’une action que l’on puisse qualifier de malveillante ou de ségrégationniste, il s’agît pour moi de sens commun et de vivre avec son temps. Bien entendu, (Voilà l'aspect important de la chose), il va de soi, que ces postes ne pourraient être occupés que par des jeunes de chez nous ayant les mêmes capacités et formation que les expatriés et dont les salaires, pas indexés, devront être payés par le pays. Plus de primes d’éloignement, plus de primes de chaleur et d’installation ! Ces salaires effectivement doivent être corrigés pour correspondre à l’exercice de la fonction dans le pays d'origine du travailleur. Comme l’a tres bien dit Gaz, la France ferait des économies conséquentes, elle en à fortement besoin, et nos jeunes auraient accès à des postes chez eux pour lesquels ils ont étés dument formés.


21.Posté par YK Kalou le 29/11/2011 21:47 | Alerter
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Iaorana, tout le monde et merci à tous pour vos commentaires. C'est bien cette liberté d'expression... C'est bien... Au fonds nous avons tous peur de la nouveauté... Il a raison ou pas notre Faatere Hau? Nous sommes bien obligés de passer par là... Comment me dites vous??? Et toi, ou toi, tu as raison de dire que c'est n'importe quoi!!! Mais voilà... Nous devons passé par... Il nous FAUT montrer que nous sommes capable de nous prendre en charge... Mais pour quoi attendre que la France le fasse à notre place? Lorsque j'étais encore en activité, L'Etat a proposé que le portefeuille de l'Education Polynésien, soit géré par le gouvernement de l'époque... LA PANIQUE de l'époque... Pour éviter cela (Panique) il serait temps et c'est MON avis, que nous commençons à nous prendre en charge... Et pourquoi ne ferons nous pas confiance en notre jeunesse???

22.Posté par topikite le 29/11/2011 22:58 | Alerter
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@ Gigi
Tu te trompes, ce ne sont pas les expatriés qui s'accrochent aux postes, mais bien les locaux qui ne veulent pas prendre leur retraite sous peine de perdre des sous.
Va voir dans les mairies, le nombre incroyable d'incapables payés 300 000 XFP qui ne foutent rien, mais refuse les départs à la retraite car de 300, ils vont passer à peine à 160 000 XFP.
Alors que si les mairies embauchaient, primo, la masse salariale étant plus jeune au 1 er échelon, énorme économie, et de plus, ils sont plus formés et compétents.
Regarde les postes occupés dans les syndicats, CCISM, CESC, APF, ministères, chefs d eservice, beaucoup, mais alors beaucoup d'anciens enseignants LOCAUX à la retraite.
Là, il y a de la place pour nos diplômés polynésiens, et qui empêchent leurs intégrations????
J'ai des potes BAC + 5 qui bossent dans des succursales emmerdés à longueur de journée par des gros p.... BAC - 7 qui se la jouent et ne font jamais avancer le chimblick.
Pourquoi les masterisés polynésiens rechignent à rentrer au pays?
A cause des expatriés?
Tout le monde sait, qu'à diplôme équivalent, le local a la priorité, surtout dans la FPT où l'entretien en tahitien crée la sélection, sauf que l'on oublie que bon nombre de polynésiens ne parle pas leur propre langue.
On se tire une balle dans le pied.
Ce que voudrait le ministre, c'est sous pretexte de ne pas pouvoir "fournir" en BAC + 5, on puisse trouver des jeunes moins diplômés, et une fois la porte ouverte à cela, ce sera fini pour pouvoir exiger des enseignants de qualité.
On se plaint déjà en France depuis que le Master a été rendu obligatoire, on trouve qu'ils ne sont pas assez qualifiés en pédagogie et en mise ne situation.
Que je sache, les 2500 jeunes que tu cites, pourquoi ne choisissent-ils pas les concours de la FPT?
Devine..
Pas fous les jeunes, ils veulent la sécurité de l'emploi, la retraite et la paie.
De reste, que des concours, il n'y en a pas des masses, non?
Au gouvernement, le droit d'en organiser à leur guise.
Toujours le beurre, l'argent du beurre et la crémière.
Que l'on donne la dotation annuelle à la DES, que l'on fasse repartir les expats, et après on voit ce que donne la rentrée 2012/2013 , CHICHE.
On n'a trouvé comme u...

23.Posté par teiva le 29/11/2011 23:32 | Alerter
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Coyote restera toujours Coyote comme mon histoire de citronnier. La prochaine fis quand tu nous donneras des informations.Essaye de lire jusqu'au bout."Vu que le premier réacteur nucléaire français a été mis en service en 1956".Tu as bien raison, sauf que voici la suite , "Neuf réacteurs expérimentaux sont mis en service pendant les années 60".C'est bien du français, la France n'avait pas une maîtrise totale de cette énergie(Juste à but expérimental et non commercial). Pour mieux maîtriser la chose , il fallait bien faire péter la bombe quelque part.J'ai donc eu raison. La Polynésie a bien contribué à fournir l'électricité de nos compatriotes .Je vais même enfoncer le clou. Si les américains (ou alliés) n'étaient pas là y compris mes aïeuls , vous seriez beaucoup plus discipliné aujourd'hui et l'allemand serait alors votre 1er langue y compris d'ailleurs la Polynésie en passant. Générale de Gaulles a bien compris la leçon des défaites consécutives de la France qui s'est quasiment vendue durant les 2 guerres mondiales. Il décide alors de doter la France de l'arme ultime qui lui permettra de protéger la nation. La France a commencé à faire péter leur bombe en Algérie. Mais, les algériens ont manifesté violemment. Générale a donc décidé de nous envoyer sa bombe en Polynésie( Loin du monde).Tout ça pour dire, grâce à la Polynésie, tu pourras ronfler tranquillement tous les jours sans qu'une autre bombe te tombe dessus. La prochaine, argumente jusqu'au bout. Il est vrai que je résume brutalement l'Histoire de la France de manière succincte mais le fond est toutefois juste.Je ne suis pas du tout raciste mais loin de là. Ma femme est une française et nous avons une très belle fille.

24.Posté par MichelF le 30/11/2011 06:18 | Alerter
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Teiva, il me semble que tu te trompes en supposant que les "expérimentation" de bombe en Polynésie française ont fait avancer la recherche pour le nucléaire civil et la production d'électricité nucléaire. Ce sont deux domaines tout à fait différents.
Quand à la suggestion du Tauhiti de remplacer les profs métro par des profs tahitiens, c'est du bruit pour rien puisque c'est ce qui se passe lentement et tranquillement depuis un bon moment.
Il est vrai que l'annonce a un petit arrière goût de xenophobie, et Tauhiti en se faisant un peu mousser en criant avec les (gentils) loups de son gouvernement a au moins réussi à déclencher des réactions enflammées dans ce forum.
Une seule chose positive, la publication du nombre de postes, par matière, que peuvent briguer les jeunes polynésiens voulant devenir prof

25.Posté par Nic le 30/11/2011 07:51 | Alerter
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Moi ce qui m'inquiète beaucoup, c'est que le niveau des profs locaux actuellement en activité (principalement histoire-géo, Anglais, voir Français) est vraiment très très faible.
C'est con à dire mais à chaque rentrée je prie pour que mes enfants aient le plus possible de profs métropolitains au collège et au lycée. Ca ne veut pas dire qu'ils auront forcément des bons profs (les mauvais profs métropolitains, ça existe), mais toutes mes expériences avec des profs ou vacataires locaux ont été catastrophiques jusqu'à présent.

26.Posté par teiva le 30/11/2011 15:48 | Alerter
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Oulala C'est dommage que Tahiti info ait coupé le remake que l'histoire de France avec un petit "h".A Nic, comme moi la majorité des profs métropolitains sont nuls. Ton argument ne tient pas cher ami. C'est de la critique facile pour pour salir. Il peut effectivement y avoir des mauvais profs des deux côtés mais de là à affirmer que les profs locaux nuls.Tu es entrain de remettre la force de l'homme blanc seul à pouvoir éduquer le peuple autochtone.Moi, je dis que les profs métropolitains sont nuls( Voila je suis content, c'est du n'importe quoi)

A michel: C'est bien dommage que info tahiti ait coupé la grande partie de mon texte ou je retrace l'histoire de la France et la raison de essais nucléaire en Polynésie. Le but était d'obtenir la bombe nucléaire pour éviter que la France perd à nouveau une autre guerre et en même temps, la France se perfectionne dans l'utilisation de l'énergie nucléaire.

A Topokite: Tu me fais rire , je suis entrain de te préparer un argument tout en couleur et une vraie bombe quoi non toxique je te rassure. Je suis certainement le seul polynésien qui défend nos intérêts sur cette toile. Nous ne pouvons plus accepter des critiques à notre égard. Et en plus, je vous trouve culotter et pathétique de me prendre pour un indépendantiste.J'ai fait 4 ans d'études universitaires à Angers et 2 ans d'études en Australie pour me perfectionner en anglais.J'ai vu la différence entre les deux systèmes.J'ai juste gardé ce qui bien chez l'un et l'autre.A aucun moment , ne serait ce même avoir l'idée de voter pour un tel parti mais maintenant pour que vous lancez le débat . Je vais y réfléchir. Vous savez ,le tavini profite des voix d'une population moins éduquée mais lorsque je vois les popaa nous cracher dessus. Nous sommes de plus en plus de polynésiens (Éduqués) à vouloir changer de voie.

27.Posté par coco larico le 02/12/2011 10:19 | Alerter
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nena est fou, teiva est un raciste (c'est puni par la loi) les vacataires locaux sont vraiment nuls (mais on prends pas de vacataires popaa c'est comme ça na!!) vivement l'indépendance qu'on puisse se bouffer entre polynésiens

28.Posté par Christophe LOPEZ le 03/12/2011 21:57 | Alerter
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Bon (jour), (soir),

Je suis arrivé de Métro mi-août et je suis enseignant en collège. J'adore mon métier.

La proposition du ministre ne m'étonne pas; elle s'inscrit dans la liste de toutes les actions pour océaniser les emplois du secteur public (je précise que mon ordinateur souligne en mot inconnu le verbe "océaniser").

Je ne connais pas bien la Polynésie. Mon oeil est neuf, grand ouvert; mes oreilles s'ouvrent et j'essaie de comprendre. Pas si simple.

Ouvrir davantage les postes d'enseignement aux étudiants polynésiens me semble une évidence.
Mais la formation qu'on leur propose est-elle à l'échelle des défis qui les attendent? Les universités et autres instituts sont-ils prêts à former cette digne relève?

En tant que nouvel arrivant et français de métropole, ce qui m'a le plus étonné, c'est le niveau insalubre des bâtiments scolaires, dans lesquels nos enfants passent 7 à 8 h par jour.
Si de l'argent doit être injecté, c'est dans la réhabilitation des bâtiments scolaires. Que nos payes de popa'a soient réduites, pourquoi pas, mais c'est la France qui paye, pas le fenua, Alors, arrêtons de faire croire aux gens qu'on leur vole emplois et argent.

A ce propos, le ministre a-t-il budgétisé le coût d'enseignants payés exclusivement par Tahiti et pas par la France? Si c'est le cas, je l'applaudis mais j'ai dû rater un épisode.

Merci de m'avoir lu.

29.Posté par Actarus le 04/12/2011 09:25 | Alerter
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Ce ministre tout comme le reste de sa famille politique ne fait qu’appliquer son programme d’indépendantiste. Vous savez ? Cette idéologie réductrice prônée par des complexés pour des complexés marqués par la haine, la jalousie, le racisme et la xénophobie. Ceux qui préfèrent tirer leur peuple vers le bas plutôt que vers le haut.
Que nos enfants puissent de plus en plus avoir accès à des postes autrefois tenus par des expatriés, c’est normal, c’est naturel et déjà le cas depuis quelques années. Par contre ce qui n’a pas suivi, c’est que l’on continue à payer des salaires sur-indexés d’expatriés à des locaux travaillant chez eux. Ca ce n’est pas normal du tout !!! C’est ce qui provoque le déséquilibre de notre économie et de notre société. Alors Mr le ministre, au lieu de nous faire des annonces démagogiques, commencez par désindexer les salaires !

30.Posté par topikite le 04/12/2011 11:13 | Alerter
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@ Teiva,
" je suis entrain de te préparer un argument tout en couleur "
Pourquoi perdre ton temps, et il te faut tant d temps.
Tu ne comprends pas mon propos, comme écrit Christophe LOPEZ, je crois qu'il serait plus positif de bosser tous ensemble pour avoir des locaux digne de ce nom, une qualité d'enseignement et non pas tomber dans le piège dans lequel l'UPLD et son illustre représentant Nena veulent nous tremper.
Diviser pour mieux régner.
Pourquoi tout se blabla alors que quand on pose la question aux personnels locaux "accepteriez vous que l'enveloppe de l'éducation soit reversée au gouvernement pour une gestion locale" la réponse est unanime NON???
Je ne vois aucun problème à ce que de polynésiens enseignent, de toutes façons, c'est déjà le cas, 5700 sur 6500 , alors où est le bleu??
C'est un non débat pour cache reine des choses, trop d'incapables au ministère, à la DES, et aucun gestion des structures dont certaines sont interdites de fonction par les commissions de sécurité mais qui continuent à accueillir des élèves, des internes???
De plus que tu aies fait tes études en France et en Australie n'empêchent pas que tu puisses, c'est ton droit, être indépendantiste ou pas, regarde Drollet, bon nombre de l'UC ou FNLKS en Nouvelle Calédonie, voire el Che, ou beaucoup d'étudiants africains qui ont mené des révolutions après des études à la Sorbonne.
Le discours actuel est tellement xénophobe que l'on oublie qu'il s'agit de l'éducation de nos enfants pas de savoir si les Marquisiens doivent avoir des profs marquisiens, les tahitiens des tahitiens, ect, cet…car pourquoi croire que les habitants des îles puissent faire une distinction entre un prof tahitien ou popa'a.
Par contre, pour un universitaire, et professeur comme je lis, tu risques d'avoir à accepter des critiques tout le long d eta vie professionnelle, tout comme moi dans mon exercice, chaque professionnel est amené à être critiqué, tu verras quand ton inspecteur polynésien viendra te puer ton projet scolaire.
Mais le débat actuel est puant, mêlant les origines, les privilèges des uns et des autres, la politique locale mafieuse.
Pour info, donne-moi quelque nouvelles des stagiaires que M. le ministre avait s...

31.Posté par ponui le 04/12/2011 20:27 | Alerter
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Tiens, en parlant d'école, au fait, Mister Ministre , ou en est la construction de l'école "provisoire" de Maharepa?Est ce que nos bambins vont rester toute l'année dans les faré 'âmuira'a ? (Je dis provisoire,comme cela était prévu, car la définitive est prévue début d'année,mais à ce rythme là.......)

32.Posté par topikite le 05/12/2011 04:42 | Alerter
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Intervention du HC hier soir, qui confirme que le gouvernement ne veut pas prendre en charge le budget de l"éducation il préfère que l'état le fasse.
Alors, de ce fait, qu'ils f…. leur gueule.
Aussi, virons tous les expat, et ainsi on pourra ENFIN arrêter d'indexer les salaires , déjà être payés pour 30 h /semaine sur 7 mois, c'est pas mal.
Après on verra si il y aura autant qui se présenteront au portillon.
On croit r$ever???