Lundi à partir de 8 h 30, au fare potee des Jardins de Paofai à Papeete, le Syndicat pour la défense des intérêts des retraités actuels et futurs (SDIRAF) organise un rassemblement sur le thème de la situation et de l'avenir des retraites en Polynésie française et de la problématique comptable de la caisse de l'assurance vieillesse de la CPS : "Cette semaine, l'annonce que le SDIRAF a faite d'une cessation de paiement des pensions de retraite, mais aussi de difficultés pour la maladie, les prestations familiales, etc, pour 2012 n'a pas été dénoncée, voire a été confirmée par les autorités de la CPS", remarque le communiqué du syndicat des retraités. "Cette annonce est insupportable surtout quand on lit dans les chiffres de la CPS que les réserves du régime retraite du RGS de la CPS dépassent encore 50 Mds Fcfp.
Bien souvent, quel qu'en soit le montant, la pension de retraite est le seul revenu des familles et la légèreté avec laquelle nos décideurs ont appris -- ou pire, connaissent depuis longtemps, mais l'ont cachée --, la situation financière catastrophique, est plus qu'inquiétante. De même, on ne peut que s'insurger de la passivité des dirigeants, quels qu'ils soient, devant la chute vertigineuse des réserves de la retraite, suite à des ponctions, des emprunts ou autres.
Le SDIRAF appelle tous ceux et celles qui se sentent concernés, retraités ou non, à en parler, lundi 3 septembre, dans les jardins de Paofai, à partir de 8 h 30.
Rester sans rien faire, en se disant qu'après tout cela ne nous regarde pas, serait criminel et nous en serions comptables devant nos jeunes. On ne pourra pas dire On ne savait pas".
Bien souvent, quel qu'en soit le montant, la pension de retraite est le seul revenu des familles et la légèreté avec laquelle nos décideurs ont appris -- ou pire, connaissent depuis longtemps, mais l'ont cachée --, la situation financière catastrophique, est plus qu'inquiétante. De même, on ne peut que s'insurger de la passivité des dirigeants, quels qu'ils soient, devant la chute vertigineuse des réserves de la retraite, suite à des ponctions, des emprunts ou autres.
Le SDIRAF appelle tous ceux et celles qui se sentent concernés, retraités ou non, à en parler, lundi 3 septembre, dans les jardins de Paofai, à partir de 8 h 30.
Rester sans rien faire, en se disant qu'après tout cela ne nous regarde pas, serait criminel et nous en serions comptables devant nos jeunes. On ne pourra pas dire On ne savait pas".
