La garde à vue du jeune homme a été prolongée à la DSP et son expertise psychiatrique demandée.
PAPEETE, le 23 septembre 2016 - Un jeune homme d'une vingtaine d'année a été placé en garde à vue à la DSP, jeudi dernier, pour avoir roué de coups sa mère parce qu'elle lui demandait d'arrêter sa consommation de pakalolo. L'agression a été d'une telle violence que le pronostic vital de la malheureuse a même été engagé à son admission aux urgences de l'hôpital du Taaone. Elle est aujourd'hui hors de danger mais grièvement blessée.
Le jeune homme a agressé sa mère dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, a-t-on appris ce vendredi de sources judiciaires. C'est le personnel médical du centre hospitalier de la Polynésie française qui a alerté les policiers de la direction de la sécurité publique (DSP), lors de la prise en charge de la malheureuse à l'hôpital. La victime souffrait en effet de plusieurs fractures graves au visage, 21 jours d'incapacité totale de travail (ITT) lui ont d'ailleurs été délivrés.
Coups de pied et de poing au visage, une expertise psychiatrique demandée
Interpellé par les policiers dès le lendemain, chez lui à la première heure, le jeune homme, un étudiant apparemment sans histoire et sans antécédents de violence, a été conduit à l'hôtel de police pour y être interrogé en garde à vue. Il a reconnu les faits, nous a précisé une source policière, ajoutant que sa mère l'aurait énervé parce qu'elle lui demandait d'arrêt de fumer le pakalolo. S'en est alors suivi une pluie de coups de poing et de pied, certains portés au visage. Le jeune homme se serait déjà montré violent avec sa mère une première fois, en mai dernier. Sa garde à vue a été prolongée et le jeune homme doit être déféré ce vendredi au parquet. Une expertise psychiatrique a été demandée.
Le jeune homme a agressé sa mère dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, a-t-on appris ce vendredi de sources judiciaires. C'est le personnel médical du centre hospitalier de la Polynésie française qui a alerté les policiers de la direction de la sécurité publique (DSP), lors de la prise en charge de la malheureuse à l'hôpital. La victime souffrait en effet de plusieurs fractures graves au visage, 21 jours d'incapacité totale de travail (ITT) lui ont d'ailleurs été délivrés.
Coups de pied et de poing au visage, une expertise psychiatrique demandée
Interpellé par les policiers dès le lendemain, chez lui à la première heure, le jeune homme, un étudiant apparemment sans histoire et sans antécédents de violence, a été conduit à l'hôtel de police pour y être interrogé en garde à vue. Il a reconnu les faits, nous a précisé une source policière, ajoutant que sa mère l'aurait énervé parce qu'elle lui demandait d'arrêt de fumer le pakalolo. S'en est alors suivi une pluie de coups de poing et de pied, certains portés au visage. Le jeune homme se serait déjà montré violent avec sa mère une première fois, en mai dernier. Sa garde à vue a été prolongée et le jeune homme doit être déféré ce vendredi au parquet. Une expertise psychiatrique a été demandée.
