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Rencontre littéraire avec Moetai Brotherson à l'UPF

Débat (en français) animé par Titaua Porcher, professeur de littérature océanienne à l’UPF


Rencontre littéraire avec Moetai Brotherson à l'UPF
Dans le cadre de son Master « Langues, cultures et sociétés en Océanie », l’université de la Polynésie française recevra cette année des auteurs pour venir discuter avec les étudiants de leur parcours, de l’art de raconter, de la littérature et de la culture polynésiennes. L’université a choisi d’ouvrir au plus grand nombre ces débats, et c’est dans cet esprit que nous vous proposons cette rencontre avec Moetai Brotherson, ouverte au public Jeudi 7 mars 2013 à 18h, amphithéâtre A3 de l'Université.

Moetai Brotherson (Editions Au vent des îles)

« Moetai Brotherson se définit comme conteur. Il aime inscrire les histoires dans l’Histoire et tresser les fils du réel à ceux des légendes. Enfant de Huahine (archipel des îles Sous-le-Vent), il écrit depuis l’âge de quatorze ans. Passionné par son pays et sa culture, il part pourtant s’installer et travailler à New York. Là, il vivra directement les événements du 11 septembre 2001 qui le feront revenir au fenua.
Paradoxalement, il écrit par amour de l’oralité, considérant que le livre n’est que la partition d’une mélodie que chaque lecteur est libre d’interpréter. »

Rédigé par UPF le Jeudi 28 Février 2013 à 16:59 | Lu 1614 fois
           



Commentaires

1.Posté par Bigdew le 28/02/2013 21:29 | Alerter
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Faîtes moi rire: oui, Moetai est un conteur, mais d'un genre spécial: des contes de foutage de gueule! Qu'il arrête de nous prendre pour des abrutis et qu'il dégage du paysage politique. Y en a marre de ces alimentaires de la politique!

2.Posté par tauarai le 01/03/2013 07:21 | Alerter
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ia ora na Big dew

Il est clair qu'il sait conter, mais qu'il se contente d'écrire car pour le reste ce n'est qu'égo et l'égo mènes à tout la preuve et puis les "relations familiales" aussi, remarque côté égo son beau père en tient une sacré tranche.. le souçi c'est que de cet égo se joue notre avenir.

pärahi

3.Posté par Moetai Brotherson le 01/03/2013 08:14 | Alerter
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Messieurs les grands courageux anonymes de toujours, smalldew et tauarepo,

Au plaisir de vous rencontrer pour discuter de cela, puisque la littérature ne semble pas vous intéresser.
Quand vous voulez, si vous l'osez.

Te aroha ia rahi.

4.Posté par MANUARII12 le 01/03/2013 08:34 | Alerter
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@Big Dew @ Tauarai
Vous avez été le voir jeudi a l'UPF, les mecs? Vs lui avez vous dit ce que vs pensez de lui ? Aita paha to orua e tarihua; et il ne vs prendra pas pour abrutis il vous laisse abrutis...


5.Posté par MANUARII12 le 01/03/2013 08:36 | Alerter
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Oui Moetai, minusdiou et Tarihuaperehu...

6.Posté par tamoussia le 01/03/2013 09:17 | Alerter
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Ia ora na
fiu des personnes qui trouvent le moindre prétexte pour plomber l'ambiance et dénigrer tout le monde et tout le temps, dès lors que quelqu'un se retrouve sur la "scène" publique de par son métier. Et puis on parle de littérature, pas de politique !!! j'ai beaucoup aimé le roman de Moetai, et vous, l'avez vous lu, au moins ?
Bonne journée

7.Posté par Le vieux le 01/03/2013 10:11 | Alerter
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Je suis attristé, ce beau pays s’effrite doucement. Les jalousies, les rancœurs, les haines et les insultes sont devenues presque habituelles. Que cela soit sur la route, en ville ou sur les forums on retrouve les même propos le même rejet de l’autre. L’autre n’est pas forcément un étranger. Bien souvent il est de la même famille, et c’est même un frère ou une sœur. Bien triste. Dommage que je vive dans un des archipels oubliés, car j’aurai aimé le lire.

8.Posté par Daniel le 01/03/2013 11:00 | Alerter
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Bonjour Moetai, j'ai adoré ton roman ,ainsi que mes enfants, mais je reste sur ma faim ,à quand la suite ...... Cordialement

9.Posté par topikite le 01/03/2013 11:33 | Alerter
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Que l'on aime ou pas le personnage, reste qu'il faut distinguer l'homme public, a la vice présidence, et l'auteur.
Des jeunes polynésiens, qui ont des choses a dire, qui plus est en littérature, ne courent pas les rues, je suis d'accord avec MANUARII2.
Ensuite, on peut, et je suis le premier, trouver son engagement auprès de son beau-père loin des compétences qu'ils pourraient mettre en oeuvre pour créer un nouveau monde de société polynésienne en accord avec mes idées mais je respecte son intelligence et son savoir.
Je crois qu'il fait parti des rêveurs, et il en faut, espérons que les fabulations chinoises n'auront pas le dessus sur ses idéaux souverainistes.

10.Posté par Chambrin le 01/03/2013 11:59 | Alerter
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Moetai, je suis un farani, un papa faa'amu d'un petit garçon qui se prénomme Temoe dont la famille est originaire comme toi de Huanine, et ton merveilleux "Roi absent" m'a offert de belles heures de rêveries et de pensées en attendant de pouvoir revenir à Tahiti pour partager quelques bons moments avec sa famille de naissance. Merci Moetai. J'espère qu'un jour mon fils, quand il aura un peu grandi, lira lui aussi avec bonheur ton oeuvre. Mauruuru Moetai.

11.Posté par Wilfrid POMARE le 01/03/2013 15:35 | Alerter
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Ia ha'a faufa'a hia i te mau rahu'a o te fenua o Ta'aroa.

Ia 'ite hia 'rave rahi o ratou.

'Pou'pou, ta tatou fare ha'api'ira'a tua toru no Manotahi, no teie opuara'a fa'ahia'hia mau, o tei 'tano ia tamau hia.

Wilfrid POMARE

12.Posté par LINDA JAUNEAU le 02/03/2013 11:22 | Alerter
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le livre de Moetai Brotherson est magique, magnifique; un seul défaut : à quand la suite ?
bon weekend,
Linda

13.Posté par Bigdew le 02/03/2013 16:00 | Alerter
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Quoi, je n'ai pas le droit de répondre sous mon pseudo. C'est ça le problème avec les taata maohi. Ils se font berner par des dictateurs /auteurs/conteurs. Je ne pers plus une seule seconde à lire et supporter ce genre de personnages!

14.Posté par Titaua Porcher-Wiart le 04/03/2013 12:14 | Alerter
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Bonjour à tous,
Je rappelle que cette rencontre entre Moetai Brotherson et les étudiants de Master LCSO qui travaillent sur "Le Roi absent" a été ouverte à tous ceux qui souhaitent venir entendre ce magnifique auteur. J'ai invité Moetai pour qu'il nous parle de son livre, il n'est donc pas question de faire de cette rencontre littéraire une tribune politique ( il y en a suffisamment ! )
Titaua Porcher-Wiart

15.Posté par emere cunning le 04/03/2013 22:04 | Alerter
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Ola, le vieux post 7,
Tu es franchement mal placé pour faire de telles réflexions en donneur de leçons quand tu n'as jamais excellé qu'à SEMER GRATUITEMENT ET SUSCITER haine, jalousie, rancoeur ET INSULTES ici même. J'ai d'ailleurs copié quelques-uns de tes commentaires que je peut te coller à la face, si ça peut te rafraîchir la mémoire. Et si quelques-uns s'amusent à ton petit jeu, c'est très certainement parce que tu as fini par déteindre sur eux.