PAPEETE, le 3 avril 2018 - Les deux jeunes hommes, âgés de 27 ans, comparaissaient pour des infractions à la loi sur les stupéfiants. Interpellés en possession de boites contenant plusieurs sticks de paka, ils avaient reconnu dealer pour payer leur consommation. Ils ont écopé de peines de prison avec sursis.
A la barre du tribunal correctionnel ce mardi, les deux prévenus ont encore l’air d’être des adolescents. Ils sourient souvent et écoutent attentivement le président du tribunal qui relate leur arrestation un matin dans le centre-ville de Papeete avec deux boîtes contenant 5 et 8 sticks de paka. L’un, sans emploi, a déjà été condamné une fois pour des faits similaires. Le second, fils de policier et titulaire du baccalauréat, présente un casier vierge. Les deux jeunes admettent qu’ils vendent de temps en temps pour payer leur consommation. Evoquant une affaire de moyenne importance, le procureur de la République requiert de la prison avec sursis et des heures de travail d’intérêt général (TIG). L’un des deux prévenus lève le pouce en l’air et remercie chaleureusement le représentant du ministère public, le sourire aux lèvres.
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné le prévenu au casier vierge à un mois de prison avec sursis et 140 heures de TIG. Le second écope de trois mois de prison avec sursis et une peine de TIG similaire à celle de son ami.
A la barre du tribunal correctionnel ce mardi, les deux prévenus ont encore l’air d’être des adolescents. Ils sourient souvent et écoutent attentivement le président du tribunal qui relate leur arrestation un matin dans le centre-ville de Papeete avec deux boîtes contenant 5 et 8 sticks de paka. L’un, sans emploi, a déjà été condamné une fois pour des faits similaires. Le second, fils de policier et titulaire du baccalauréat, présente un casier vierge. Les deux jeunes admettent qu’ils vendent de temps en temps pour payer leur consommation. Evoquant une affaire de moyenne importance, le procureur de la République requiert de la prison avec sursis et des heures de travail d’intérêt général (TIG). L’un des deux prévenus lève le pouce en l’air et remercie chaleureusement le représentant du ministère public, le sourire aux lèvres.
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné le prévenu au casier vierge à un mois de prison avec sursis et 140 heures de TIG. Le second écope de trois mois de prison avec sursis et une peine de TIG similaire à celle de son ami.
