Laurence Lacombe était présente, elle est également une de nos grandes championnes de natation
La fédération tahitienne de natation, présidée par Michel Sommers, regroupe environ 1500 licenciés. Les clubs affiliés sont le cercle des nageurs de Polynésie, l’Olympique de Pirae, Imua Natation, Taina Natation...La Coupe Diane Lacombe, organisée par le CNP, fait la promotion de la natation auprès des plus jeunes.
Le président du CNP, Jean Marc Vermorel, est le père de Guillaume et Nicolas qui sont tous deux en métropole dans des structures de haut niveau. Cela n’empêche pas Jean Marc de continuer à œuvrer pour le développement de la natation polynésienne. Nous avons pu l’interviewer en marge de la Coupe Diane Lacombe. SB
Le président du CNP, Jean Marc Vermorel, est le père de Guillaume et Nicolas qui sont tous deux en métropole dans des structures de haut niveau. Cela n’empêche pas Jean Marc de continuer à œuvrer pour le développement de la natation polynésienne. Nous avons pu l’interviewer en marge de la Coupe Diane Lacombe. SB
Jean Marc Vermorel, président du CNP
Parole à Jean Marc Vermorel :
Quelques mots sur cet événement ?
« Cette compétition est organisée par le cercle des nageurs de Polynésie depuis 17 ans maintenant, en hommage à Diane Lacombe, une ancienne nageuse du club qui a évolué en équipe de France et qui a participé aux Jeux Olympiques de 1992 à Barcelone, dans le relais 4x100 quatre nages français. »
L’idée c’est de promouvoir la natation ?
« Voilà, la compétition est très ouverte puisqu’on a pas d’obligation de minimas de temps, pour avoir un maximum de gens. Aujourd’hui, on a réussi à réunir 230 nageurs au bord du bassin. Avec les parents cela fait du monde, comme on peut le voir dans les tribunes. Il n’y pas d’objectif de performance, on est sur un objectif de partage, de démocratisation de la natation et c’est réussi. »
Comment cela se passe au niveau des séries ?
« On a eu, avec les petits de la catégorie « avenir », un seul 50m nage libre. Pour les plus grands, en junior-sénior, on est sur un challenge 50m trois nages différentes au choix brasse, crawl, dos ou papillon. Là on a des nageurs plus expérimentés, des habitués des compétitions. »
La natation reste une valeur sûre ?
« Oui, on a aujourd’hui environ 1500 licenciés affiliés à la fédération tahitienne de natation. On a des jeunes qui sont très bons, qui participent aux différents championnats jeunes voire séniors. On des Polynésiens qui sont en métropole dans des circuits pôle espoir et pôle France. La natation polynésienne se porte bien, pas de souci. »
Tes enfants sont en métropole mais tu continues de t’impliquer ?
« Nicolas est au pôle France à Marseille et Guillaume au centre d’entrainement de Chalon-sur-Saône. Ils seront de retour l’année prochaine pour participer aux Jeux du Pacifique de 2019 aux Samoa. Oui, je continue à passer du temps près du bassin avec les jeunes, avec les coachs, pour structurer le club pour qu’on ait quelque chose qui soit le mieux possible pour les enfants, pour les parents. »
Un dernier mot ?
« Merci à l’ensemble des officiels qui sont là aujourd’hui, qui nous permettent de mener à bien l’organisation. Merci à l’ensemble des partenaires et des sponsors qui nous aident. » Propos recueillis par SB
Quelques mots sur cet événement ?
« Cette compétition est organisée par le cercle des nageurs de Polynésie depuis 17 ans maintenant, en hommage à Diane Lacombe, une ancienne nageuse du club qui a évolué en équipe de France et qui a participé aux Jeux Olympiques de 1992 à Barcelone, dans le relais 4x100 quatre nages français. »
L’idée c’est de promouvoir la natation ?
« Voilà, la compétition est très ouverte puisqu’on a pas d’obligation de minimas de temps, pour avoir un maximum de gens. Aujourd’hui, on a réussi à réunir 230 nageurs au bord du bassin. Avec les parents cela fait du monde, comme on peut le voir dans les tribunes. Il n’y pas d’objectif de performance, on est sur un objectif de partage, de démocratisation de la natation et c’est réussi. »
Comment cela se passe au niveau des séries ?
« On a eu, avec les petits de la catégorie « avenir », un seul 50m nage libre. Pour les plus grands, en junior-sénior, on est sur un challenge 50m trois nages différentes au choix brasse, crawl, dos ou papillon. Là on a des nageurs plus expérimentés, des habitués des compétitions. »
La natation reste une valeur sûre ?
« Oui, on a aujourd’hui environ 1500 licenciés affiliés à la fédération tahitienne de natation. On a des jeunes qui sont très bons, qui participent aux différents championnats jeunes voire séniors. On des Polynésiens qui sont en métropole dans des circuits pôle espoir et pôle France. La natation polynésienne se porte bien, pas de souci. »
Tes enfants sont en métropole mais tu continues de t’impliquer ?
« Nicolas est au pôle France à Marseille et Guillaume au centre d’entrainement de Chalon-sur-Saône. Ils seront de retour l’année prochaine pour participer aux Jeux du Pacifique de 2019 aux Samoa. Oui, je continue à passer du temps près du bassin avec les jeunes, avec les coachs, pour structurer le club pour qu’on ait quelque chose qui soit le mieux possible pour les enfants, pour les parents. »
Un dernier mot ?
« Merci à l’ensemble des officiels qui sont là aujourd’hui, qui nous permettent de mener à bien l’organisation. Merci à l’ensemble des partenaires et des sponsors qui nous aident. » Propos recueillis par SB
Pour certains c'était leur première "traversée" en compétition du bassin de 50 mètres
Belle ambiance à la piscine de Tipaerui ce samedi
