Découverte macabre, samedi soir, rue Paraita à Papeete.
Une découverte macabre a été faite à Mamao, dans la nuit de samedi à dimanche 17 juin, rue Paraita, à Papeete : peu après minuit, un homme de quarante-quatre ans est trouvé mort, gisant dans son véhicule. Il est nu et porte un préservatif. La voiture est en stationnement sur le terrain vague flanqué au magasin de meubles. Cette section, à l’entrée de la rue Paraita, est connue pour être un lieu de prostitution, la nuit.
La Police est prévenue vers 1 heure 30 par des travestis qui tapinent dans la zone : un peu plus tôt, ils ont vu une prostituée fuir, paniquée. Celle-ci, la trentaine, est rapidement identifiée. Elle est entendue dans la journée de dimanche, pour le fait de non assistance à personne en péril. Elle était encore maintenue en garde à vue, lundi 18 juin et a été relâchée en fin de matinée.
Elle révèle à la DSP que l’homme a eu un malaise et a perdu connaissance, pendant leur relation sexuelle : supposant qu’il était mort, elle a pris la fuite, effrayée. Le décès ne semble pas d’origine crapuleuse ; mais l’hypothèse n’est toujours pas exclue par l’enquête. Des médicaments sont découverts dans la boîte à gants de son véhicule. L’identification de ceux-ci était en cours lundi. Le véhicule à quant à lui été transféré à la DSP.
Une autopsie du corps a été effectuée lundi 18 juin, à 9 heures au Centre hospitalier de Taaone. Celle-ci a révélé que l'homme était mort d'une crise cardiaque. Au cours de cet examen post mortem le corps de la victime a fait l'objet d'un scanner et de diverses radiographies. Des prélèvements y ont également été faits sur la dépouille en vue des analyses toxicologique et anatomopathologique ordonnées par le Parquet. Ces échantillons seront adressés à un laboratoire spécialisé à Paris. Les résultats ne seront pas connus avant plusieurs semaines.
La Police est prévenue vers 1 heure 30 par des travestis qui tapinent dans la zone : un peu plus tôt, ils ont vu une prostituée fuir, paniquée. Celle-ci, la trentaine, est rapidement identifiée. Elle est entendue dans la journée de dimanche, pour le fait de non assistance à personne en péril. Elle était encore maintenue en garde à vue, lundi 18 juin et a été relâchée en fin de matinée.
Elle révèle à la DSP que l’homme a eu un malaise et a perdu connaissance, pendant leur relation sexuelle : supposant qu’il était mort, elle a pris la fuite, effrayée. Le décès ne semble pas d’origine crapuleuse ; mais l’hypothèse n’est toujours pas exclue par l’enquête. Des médicaments sont découverts dans la boîte à gants de son véhicule. L’identification de ceux-ci était en cours lundi. Le véhicule à quant à lui été transféré à la DSP.
Une autopsie du corps a été effectuée lundi 18 juin, à 9 heures au Centre hospitalier de Taaone. Celle-ci a révélé que l'homme était mort d'une crise cardiaque. Au cours de cet examen post mortem le corps de la victime a fait l'objet d'un scanner et de diverses radiographies. Des prélèvements y ont également été faits sur la dépouille en vue des analyses toxicologique et anatomopathologique ordonnées par le Parquet. Ces échantillons seront adressés à un laboratoire spécialisé à Paris. Les résultats ne seront pas connus avant plusieurs semaines.
