PARIS, le 2 février 2016. La ministre de l'Education, Nicole Sanquer-Fareata, a procédé, la semaine dernière, à Paris, à l'audition de candidats pour des postes de chefs d'établissement ou d'adjoints, pour la prochaine rentrée. Elle était accompagnée du vice-recteur de la Polynésie française, Jean-Louis Baglan, et de deux personnels de la direction générale des ressources humaines (DGRH) du ministère de l'Education nationale.
150 dossiers ont été reçus à la DGRH, 30 ont été présélectionnés pour une quinzaine de postes à pourvoir en Polynésie française, à la prochaine rentrée scolaire.
Les auditions ont permis d’évaluer chaque candidat sur leurs connaissances du système éducatif polynésien et ses spécificités, sur leurs motivations pour postuler en Polynésie française et dans les archipels éloignés pour certains d'entre eux. Les échanges se sont poursuivis autour des priorités de la rentrée 2016, tels que la mise en œuvre de la réforme du collège, des projets numériques, la gestion des internats pour les postes des archipels éloignés (Taiohae, Rangiroa et Rurutu), et la place des parents au sein de l'établissement.
Le candidat, pour finir, devait définir ses méthodes de management et de pilotage d'un établissement, ainsi que des équipes pédagogiques et éducatives.
"La difficulté de ces entretiens est de repérer le meilleur profil pour les postes vacants, tout en respectant à la fois les spécificités géographiques et culturelles du fenua et la situation familiale de chaque postulant", indique un communiqué de la présidence.
150 dossiers ont été reçus à la DGRH, 30 ont été présélectionnés pour une quinzaine de postes à pourvoir en Polynésie française, à la prochaine rentrée scolaire.
Les auditions ont permis d’évaluer chaque candidat sur leurs connaissances du système éducatif polynésien et ses spécificités, sur leurs motivations pour postuler en Polynésie française et dans les archipels éloignés pour certains d'entre eux. Les échanges se sont poursuivis autour des priorités de la rentrée 2016, tels que la mise en œuvre de la réforme du collège, des projets numériques, la gestion des internats pour les postes des archipels éloignés (Taiohae, Rangiroa et Rurutu), et la place des parents au sein de l'établissement.
Le candidat, pour finir, devait définir ses méthodes de management et de pilotage d'un établissement, ainsi que des équipes pédagogiques et éducatives.
"La difficulté de ces entretiens est de repérer le meilleur profil pour les postes vacants, tout en respectant à la fois les spécificités géographiques et culturelles du fenua et la situation familiale de chaque postulant", indique un communiqué de la présidence.