PAPEETE, le 7 mai 2014 – Le climat des affaires établit par l’IEOM est en augmentation de quatre points au premier trimestre 2014. Il passe ainsi de 99 à 103, dépassant enfin la moyenne de long terme qui n’avait été surmontée qu’une seule fois (au deuxième trimestre 2013) depuis 2007.
Si les chefs d’entreprise sont enfin plus optimistes c’est que leur activité s’est stabilisée au premier trimestre alors qu’ils tablaient sur une baisse, que leurs charges d’exploitation ont diminué et que leur trésorerie a arrêté de se dégrader. Du coup ils anticipent un regain d’activité et une amélioration de leur trésorerie dans le trimestre à venir. Peut-être que l’on peut aussi voir dans ce regain d’optimisme l’effet de la grand-messe organisée par le gouvernement pour présenter son plan de relance. Car si les 300 patrons présents le 16 avril semblaient dubitatifs dans les questions qu’ils ont posées aux ministres et au président, la mise en application ou l'ouverture des débats sur certaines des mesures du plan (tourisme, contrats de chantiers, travaux) a pu en convaincre certains qu’un retournement de la conjoncture était sur le point de se réaliser. Une chose est certaine : les prévisions d’investissement à un an des entreprises se redressent et repassent en positif.
Seul point noir révélé par les analystes de l’IEOM : un repli des prévisions d’effectifs qui repassent en négatif. Les patrons ne sont donc pas prêts à embaucher, et pourraient même détruire des emplois au prochain trimestre.
Si les chefs d’entreprise sont enfin plus optimistes c’est que leur activité s’est stabilisée au premier trimestre alors qu’ils tablaient sur une baisse, que leurs charges d’exploitation ont diminué et que leur trésorerie a arrêté de se dégrader. Du coup ils anticipent un regain d’activité et une amélioration de leur trésorerie dans le trimestre à venir. Peut-être que l’on peut aussi voir dans ce regain d’optimisme l’effet de la grand-messe organisée par le gouvernement pour présenter son plan de relance. Car si les 300 patrons présents le 16 avril semblaient dubitatifs dans les questions qu’ils ont posées aux ministres et au président, la mise en application ou l'ouverture des débats sur certaines des mesures du plan (tourisme, contrats de chantiers, travaux) a pu en convaincre certains qu’un retournement de la conjoncture était sur le point de se réaliser. Une chose est certaine : les prévisions d’investissement à un an des entreprises se redressent et repassent en positif.
Seul point noir révélé par les analystes de l’IEOM : un repli des prévisions d’effectifs qui repassent en négatif. Les patrons ne sont donc pas prêts à embaucher, et pourraient même détruire des emplois au prochain trimestre.
