Des sculptures en pierre volcanique mesurant entre 1,50 m et 2 m ont été immergées dans l'eau cristalline du lagon de Moorea, devant Papetoai. Elles sont l'oeuvre du sculpteur Tihoti qui a longtemps vécu à Moorea puis à Huahine et séjourne actuellement dans l’île Norfolk (près de l'Australie).
Le Monde de Mu est un continent englouti mythique qui se situé dans l'océan Pacifique. Il a été cité dans des écrits 19ème siècle, mais c’est le Colonel James Churchward, qui l’a popularisé dans les années 1930 avec une série de livres, dont le fameux « Lost Continent of Mu ».
Le continent de Mu s’étendait des îles Mariannes à l’Est, Hawaï au Nord, l’île de Pâques à l’Ouest et les îles Tonga au Sud. Il possédait une civilisation très évoluée qui a influencé à la fois les Chinois et les civilisations autochtones américaines. Comme l'Atlantide (située dans l’océan Atlantique), Mu aurait été détruit il y a 12 000 ans par un cataclysmique naturel qui a enfoncé le continent sous la mer.
L'artiste Tihoti a créé cette exposition lagonaire d'une dizaine de tiki en 1998 afin de rendre hommage à aux ancêtres polynésiens qui, au cours des deux siècles précédents, jetèrent toutes leurs croyances à la mer.
Retrouver l'article sur le site www.tahitiheritage.pf
Le Monde de Mu est un continent englouti mythique qui se situé dans l'océan Pacifique. Il a été cité dans des écrits 19ème siècle, mais c’est le Colonel James Churchward, qui l’a popularisé dans les années 1930 avec une série de livres, dont le fameux « Lost Continent of Mu ».
Le continent de Mu s’étendait des îles Mariannes à l’Est, Hawaï au Nord, l’île de Pâques à l’Ouest et les îles Tonga au Sud. Il possédait une civilisation très évoluée qui a influencé à la fois les Chinois et les civilisations autochtones américaines. Comme l'Atlantide (située dans l’océan Atlantique), Mu aurait été détruit il y a 12 000 ans par un cataclysmique naturel qui a enfoncé le continent sous la mer.
L'artiste Tihoti a créé cette exposition lagonaire d'une dizaine de tiki en 1998 afin de rendre hommage à aux ancêtres polynésiens qui, au cours des deux siècles précédents, jetèrent toutes leurs croyances à la mer.
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