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Le directeur Outre-mer de la CDC reçu par Edouard Fritch


PARIS, le 13 mai 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le président du Pays, Edouard Fritch accompagné du vice-président, Nuihau Laurey, a reçu, mercredi en fin matinée, à la Délégation de la Polynésie française à Paris, le directeur interrégional Outre-mer de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), Gérard Perfettini.

Gérard Perfetini, également administrateur de la société Aéroport de Tahiti, s’est réjoui du retour du Pays au conseil d’administration d’ADT, dont la présidence sera assurée par un représentant de la Polynésie française.

Par ailleurs, il a exprimé sa satisfaction de voir le vice-président, Nuihau Laurey, fraîchement élu sénateur, conserver le portefeuille des finances au sein du gouvernement polynésien, dans la perspective de la continuité de gestion des dossiers engagés avec le Pays.

Financement des Contrats de projets

D’autre part, le directeur interrégional Outre-mer de la CDC a assuré sa volonté de contribuer au financement des opérations engagées dans le cadre des deux Contrats de projets signés à Papeete en mars dernier, par le président du Pays et la ministre des Outre-mer : dans le secteur du logement pour le contrat Etat – Polynésie française, et dans les champs d’intervention relatifs à la gestion des déchets, à l’assainissement des eaux usées et à la distribution d’eau potable pour le contrat Etat – Polynésie française – communes.

Développement du logement social

Enfin, la réunion a été l’occasion d’aborder la mise en place d’une coopération entre le Pays, la CDC, l’union sociale pour l’habitat et l’AFD, afin de définir une stratégie de développement du logement social en Polynésie française, passant par une rationalisation et une optimisation des outils dédiés au secteur.

Rédigé par Présidence de la Polynésie Française le Mercredi 13 Mai 2015 à 11:05 | Lu 580 fois
           



Commentaires

1.Posté par emere cunning le 13/05/2015 20:39 | Alerter
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Chaque fois qu'on parle de notre Délégation à Paris, ça me révolte de penser que la Bolliet, Sarko et toute leur clique réclamaient que nous nous en séparions, et leur cédions l'immeuble ! Et tant pis pour nous, tant pis pour notre Président qu'ils voyaient bien travailler sur un coin de table à son hôtel et n'importe où, ils s'en foutent. Sa visite à Paris nous fournit l'occasion de voir comme chacun d'eux disposent de somptueux bureaux ET résidences, tous frais payés. Même pas honte de nous retirer le seul pied à terre dont nous disposons. Faut vraiment être des minables de la pire espèce.