La Délégation de la Polynésie française a participé mercredi à l’inauguration de la cuisine pédagogique du centre de ressources Goût et Education nutritionnelle de la Ville de Paris, premier établissement de ce type en France ouvert en 2007 pour répondre aux problèmes liés à l’alimentation en milieu scolaire.
La richesse culinaire et la diversité culturelle et naturelle des Outre-mer français étaient au centre de la journée, avec une attention particulière portée à la Polynésie.
« C’est absolument formidable, pour tous les sens, et je suis ravie que des enfants des centres de loisirs de Paris puissent découvrir la richesse et la diversité de tout ce qui peut exister comme produits en Polynésie et avoir une petite part de rêve et de voyage aujourd’hui » s’est réjouit Colombe Brossel, adjointe au maire de Paris, chargée de la vie scolaire et de la réussite éducative, en visitant l’espace de 400 m² dédié pour l’occasion à la Polynésie.
Après une dégustation de poe banane au lait de coco et de crème de patate douce préparés par le chef cuisinier, Josh Tinorua, l’élue a pu se familiariser avec les légumes et fruits locaux, dont une sélection avait été acheminée deux jours auparavant en métropole par le ministère de l’Agriculture polynésien, avec la contribution du Service du développement rural et des agriculteurs de Tahiti et ses îles.
Crème de patate douce et colliers de tiare Tahiti
Colombe Brossel a également pu apprécier les actions menées par le Pays en matière d’éducation nutritionnelle, en consultant les supports pédagogiques réalisés par le Département des programmes de prévention de la Direction de la Santé, s’attardant en particulier sur le guide de recettes destiné aux cantines scolaires et à la restauration collective.
« Les représentants des maires, en charge de la restauration scolaire ont été très intéressés par ce guide et veulent tous l’avoir » a d’ailleurs souligné le directeur du centre de ressources, Pierre Maisonny.
Suite à l’inauguration officielle, plusieurs ateliers de découverte ont été proposés tout au long de la journée aux enfants des cinq centres de loisirs invités par la Ville de Paris.
Les élèves ont ainsi appris à préparer des brochettes de uru et de taro ainsi que de la crème de patate douce avec le chef polynésien, Josh Tinorua, ou encore à confectionner des colliers de tiare Tahiti avec les apprentis de l’école de la Chambre syndicale des fleuristes d’Ile de France, encadrés par une Polynésienne.
Les produits polynésiens à l’honneur dans les cantines scolaires
Ils ont également pu s’initier à la danse polynésienne et repartir, pour ceux qui le souhaitaient, avec un motif traditionnel sur le bras, dessiné au feutre par le tatoueur marquisien, Tetiu Huuti.
Les enfants ont par ailleurs visionné un film sur la préparation du ahima’a et les apports nutritionnels des aliments entrant dans sa composition.
En écho à l’inauguration de la cuisine pédagogique, les produits ultramarins, et notamment polynésiens, ont en outre été mis à l’honneur dans toutes les cantines du dixième arrondissement de Paris.
« Nous avons été bluffés par la disponibilité et la réactivité de la Délégation de la Polynésie, et nous envisageons d’ores et déjà d’autres collaborations » s’est félicité Pierre Maisonny à l’issue de cette journée réussie.
Une semaine dédiée à la Polynésie
« Nous souhaiterions notamment, et j’en ai déjà parlé à Colombe Brossel, organiser une semaine sur laquelle nous mettrions en valeur la Polynésie à travers tous les centres de ressources et leur thématiques particulières, l’informatique, l’art plastique, la musique, ou encore l’environnement » a-t-il développé, précisant que l’opération serait ouverte à un large public.
Les centres de ressources sont des espaces d’ateliers thématiques assurés par des animateurs aux compétences professionnelles spécifiques. Il en existe onze à Paris.
Le centre Goût et Education nutritionnelle a pour vocation d’accompagner les projets des centres de loisirs, de former les équipes d’animation et d’assurer un rôle d’expertise dans ce domaine.
La création d’une cuisine pédagogique permettra d’enrichir les activités pédagogiques proposées aux enfants en leur permettant d’apprendre, dans les meilleures conditions d’hygiène et de sécurité, les gestes simples à la base de la cuisine et en leur faisant découvrir les multiples plaisirs que peuvent apporter les saveurs.
La richesse culinaire et la diversité culturelle et naturelle des Outre-mer français étaient au centre de la journée, avec une attention particulière portée à la Polynésie.
« C’est absolument formidable, pour tous les sens, et je suis ravie que des enfants des centres de loisirs de Paris puissent découvrir la richesse et la diversité de tout ce qui peut exister comme produits en Polynésie et avoir une petite part de rêve et de voyage aujourd’hui » s’est réjouit Colombe Brossel, adjointe au maire de Paris, chargée de la vie scolaire et de la réussite éducative, en visitant l’espace de 400 m² dédié pour l’occasion à la Polynésie.
Après une dégustation de poe banane au lait de coco et de crème de patate douce préparés par le chef cuisinier, Josh Tinorua, l’élue a pu se familiariser avec les légumes et fruits locaux, dont une sélection avait été acheminée deux jours auparavant en métropole par le ministère de l’Agriculture polynésien, avec la contribution du Service du développement rural et des agriculteurs de Tahiti et ses îles.
Crème de patate douce et colliers de tiare Tahiti
Colombe Brossel a également pu apprécier les actions menées par le Pays en matière d’éducation nutritionnelle, en consultant les supports pédagogiques réalisés par le Département des programmes de prévention de la Direction de la Santé, s’attardant en particulier sur le guide de recettes destiné aux cantines scolaires et à la restauration collective.
« Les représentants des maires, en charge de la restauration scolaire ont été très intéressés par ce guide et veulent tous l’avoir » a d’ailleurs souligné le directeur du centre de ressources, Pierre Maisonny.
Suite à l’inauguration officielle, plusieurs ateliers de découverte ont été proposés tout au long de la journée aux enfants des cinq centres de loisirs invités par la Ville de Paris.
Les élèves ont ainsi appris à préparer des brochettes de uru et de taro ainsi que de la crème de patate douce avec le chef polynésien, Josh Tinorua, ou encore à confectionner des colliers de tiare Tahiti avec les apprentis de l’école de la Chambre syndicale des fleuristes d’Ile de France, encadrés par une Polynésienne.
Les produits polynésiens à l’honneur dans les cantines scolaires
Ils ont également pu s’initier à la danse polynésienne et repartir, pour ceux qui le souhaitaient, avec un motif traditionnel sur le bras, dessiné au feutre par le tatoueur marquisien, Tetiu Huuti.
Les enfants ont par ailleurs visionné un film sur la préparation du ahima’a et les apports nutritionnels des aliments entrant dans sa composition.
En écho à l’inauguration de la cuisine pédagogique, les produits ultramarins, et notamment polynésiens, ont en outre été mis à l’honneur dans toutes les cantines du dixième arrondissement de Paris.
« Nous avons été bluffés par la disponibilité et la réactivité de la Délégation de la Polynésie, et nous envisageons d’ores et déjà d’autres collaborations » s’est félicité Pierre Maisonny à l’issue de cette journée réussie.
Une semaine dédiée à la Polynésie
« Nous souhaiterions notamment, et j’en ai déjà parlé à Colombe Brossel, organiser une semaine sur laquelle nous mettrions en valeur la Polynésie à travers tous les centres de ressources et leur thématiques particulières, l’informatique, l’art plastique, la musique, ou encore l’environnement » a-t-il développé, précisant que l’opération serait ouverte à un large public.
Les centres de ressources sont des espaces d’ateliers thématiques assurés par des animateurs aux compétences professionnelles spécifiques. Il en existe onze à Paris.
Le centre Goût et Education nutritionnelle a pour vocation d’accompagner les projets des centres de loisirs, de former les équipes d’animation et d’assurer un rôle d’expertise dans ce domaine.
La création d’une cuisine pédagogique permettra d’enrichir les activités pédagogiques proposées aux enfants en leur permettant d’apprendre, dans les meilleures conditions d’hygiène et de sécurité, les gestes simples à la base de la cuisine et en leur faisant découvrir les multiples plaisirs que peuvent apporter les saveurs.
