Alors que les Députés viennent de donner un vote favorable en première lecture au projet de loi pour la « Refondation » de l’Ecole, présenté par le Ministre de l’Education Nationale.
Alors que ce projet n’avait pas le soutien d’organisations représentatives des personnels comme le SNETAA, 1er syndicat de l’Enseignement Professionnel, ni celui de sa Fédération, la FNEC FP, ni de sa confédération la CGT-Force Ouvrière, FO première organisation représentative dans la fonction publique d’Etat.
Le Ministre n’a pas voulu entendre les arguments qui lui ont été communiqués par nos organisations au cours des précédentes semaines.
Le SNETAA FO avait déjà appelé à la grève les personnels le 23 janvier et le 12 février 2013. Le passage de la carte des formations professionnelles sous la responsabilité des Régions, les projets de régionalisation de la formation professionnelle initiale publique et laïque et de ses personnels, les intentions de rapprocher les voies générales, technologiques et professionnelles dans un lycée unique entraineront à terme la disparition des Lycées Professionnels, des SEGPA et des CETAD.
Ce sont autant de raisons d’avoir appelé à nouveau les personnels de lycées professionnels, SEP SEGPA et CETAD à faire grève le 28 mars 2013.
Il y va de l’intérêt des personnels, et des jeunes scolarisés dans ces établissements pour y préparer leur avenir. C’est aussi l’intérêt économique du pays d’avoir des jeunes formés à égale dignité avec les jeunes des autres voies et capables par la suite de s’adapter aux mutations économiques du pays.
Aussi, le SNETAA-FO Polynésie a appelé ce 28 Mars 2013 à montrer son mécontentement.
C‘est ainsi que tous vêtus de noir, les enseignants se sont réunis devant les établissements du lycée Hôtelier de Tahiti, des lycées professionnels d’Uturoa, de Faa’a et de Mahina, des lycées polyvalents d’Aorai, de Papara, de Taravao et Taaone et dans les différents Cetad et Segpa pour se faire entendre.
Site : http://snetaapolynesie.blogspot.com
Alors que ce projet n’avait pas le soutien d’organisations représentatives des personnels comme le SNETAA, 1er syndicat de l’Enseignement Professionnel, ni celui de sa Fédération, la FNEC FP, ni de sa confédération la CGT-Force Ouvrière, FO première organisation représentative dans la fonction publique d’Etat.
Le Ministre n’a pas voulu entendre les arguments qui lui ont été communiqués par nos organisations au cours des précédentes semaines.
Le SNETAA FO avait déjà appelé à la grève les personnels le 23 janvier et le 12 février 2013. Le passage de la carte des formations professionnelles sous la responsabilité des Régions, les projets de régionalisation de la formation professionnelle initiale publique et laïque et de ses personnels, les intentions de rapprocher les voies générales, technologiques et professionnelles dans un lycée unique entraineront à terme la disparition des Lycées Professionnels, des SEGPA et des CETAD.
Ce sont autant de raisons d’avoir appelé à nouveau les personnels de lycées professionnels, SEP SEGPA et CETAD à faire grève le 28 mars 2013.
Il y va de l’intérêt des personnels, et des jeunes scolarisés dans ces établissements pour y préparer leur avenir. C’est aussi l’intérêt économique du pays d’avoir des jeunes formés à égale dignité avec les jeunes des autres voies et capables par la suite de s’adapter aux mutations économiques du pays.
Aussi, le SNETAA-FO Polynésie a appelé ce 28 Mars 2013 à montrer son mécontentement.
C‘est ainsi que tous vêtus de noir, les enseignants se sont réunis devant les établissements du lycée Hôtelier de Tahiti, des lycées professionnels d’Uturoa, de Faa’a et de Mahina, des lycées polyvalents d’Aorai, de Papara, de Taravao et Taaone et dans les différents Cetad et Segpa pour se faire entendre.
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