Mita Teriipaia a tenu à ce que les cultures de tous les archipels soient représentées au sein de ce groupe de travail.
« J’ai souhaité, en accord avec le Conseil des Ministres, laisser une large place aux archipels dans la réflexion que l’on doit mener. Car avant d’être un projet technique, le Centre Culturel doit d’abord refléter les différentes cultures de la Polynésie française. Et qui peut mieux parler de la culture paumotu ? C’est quelqu’un originaire des Tuamotu, imprégné de sa culture et de ses particularités », a souligné le ministre de la culture en ouvrant la première réunion de travail officiel.
Le coup d’envoi est donné, le ministre a donné la cadence des coups de rames pour faire avancer et surement cette grande pirogue de la culture Polynésienne avec à son bord, l’ensemble des polynésiens. Il a donc été convenu par l’ensemble des membres que les réunions de travail se feront régulièrement deux fois par mois. Selon le ministre, à l’issue de chacune de ces réunions, une information sera adressée au Conseil des Ministres, qui validera ou invalidera certains choix, puis une information de l'Etat sera également organisée sur le même rythme, afin de lui permettre de réagir sur certains aspects plus techniques ou administratifs.
Ces retours du Conseil des Ministres et de l’Etat seront communiqués au groupe de travail lors de la réunion suivante. Ainsi, les travaux pourront être menés dans une totale transparence et une meilleure efficacité.
Dans un premier tour de table, le ministre a souhaité percevoir l’avis des membres du comité de pilotage sur ses priorités à l’égard de ce projet.
« A l’aube de la naissance d’un nouveau né, il est indispensable que les parents lui trouvent rapidement un nom ». C’est bien entendu en faisant allusion au nouveau centre culturel de Polynésie française que le ministre a pris cette comparaison afin d’inviter l’ensemble des représentants à lui trouver un nom digne des cinq archipels de la Polynésie française.
La prochaine réunion de travail se tiendra le 6 Août 2010 et devrait impliquer davantage de personnes, notamment les membres de l’Académie tahitienne.
« J’ai souhaité, en accord avec le Conseil des Ministres, laisser une large place aux archipels dans la réflexion que l’on doit mener. Car avant d’être un projet technique, le Centre Culturel doit d’abord refléter les différentes cultures de la Polynésie française. Et qui peut mieux parler de la culture paumotu ? C’est quelqu’un originaire des Tuamotu, imprégné de sa culture et de ses particularités », a souligné le ministre de la culture en ouvrant la première réunion de travail officiel.
Le coup d’envoi est donné, le ministre a donné la cadence des coups de rames pour faire avancer et surement cette grande pirogue de la culture Polynésienne avec à son bord, l’ensemble des polynésiens. Il a donc été convenu par l’ensemble des membres que les réunions de travail se feront régulièrement deux fois par mois. Selon le ministre, à l’issue de chacune de ces réunions, une information sera adressée au Conseil des Ministres, qui validera ou invalidera certains choix, puis une information de l'Etat sera également organisée sur le même rythme, afin de lui permettre de réagir sur certains aspects plus techniques ou administratifs.
Ces retours du Conseil des Ministres et de l’Etat seront communiqués au groupe de travail lors de la réunion suivante. Ainsi, les travaux pourront être menés dans une totale transparence et une meilleure efficacité.
Dans un premier tour de table, le ministre a souhaité percevoir l’avis des membres du comité de pilotage sur ses priorités à l’égard de ce projet.
« A l’aube de la naissance d’un nouveau né, il est indispensable que les parents lui trouvent rapidement un nom ». C’est bien entendu en faisant allusion au nouveau centre culturel de Polynésie française que le ministre a pris cette comparaison afin d’inviter l’ensemble des représentants à lui trouver un nom digne des cinq archipels de la Polynésie française.
La prochaine réunion de travail se tiendra le 6 Août 2010 et devrait impliquer davantage de personnes, notamment les membres de l’Académie tahitienne.
