Gérald Mingo fête cette année ses 40 ans de carrière. Pour l'occasion, il présente un nouveau spectacle coloré, festif, et forcément musical ! Entouré de sa petite équipe d’inconditionnels (Frédéric Rossoni, Christine, Laurie et Jean Luc Casula, et bien d’autres encore), il monte sur les planches du Petit Théâtre de la Maison de la Culture du 04 au 19 octobre 2013 pour y présenter « Gérald Mingo au Paradis ».
Rencontre avec un groupe d’artistes lors des dernières répétitions au studio de Jean Luc Casula à Punaauia.
Gérald Mingo , 40 ans de scène :
« Cela fait 40 ans que je suis en scène et j’avais décidé de fêter ces 40 ans de passion, de joies, de plaisirs, de coup durs aussi. Je suis passé par plein de stades pour arriver à assouvir cette passion que j’avais pour la scène. A la base je voulais être acteur, j’étais plutôt orienté vers le théâtre, mais quand je suis arrivé à Paris, j’ai vu qu’il n’y avait pas moyen de gagner sa vie avec ce genre de chose, donc j’ai commencé à être stripteaseur dans les années 70, puis j’ai bossé comme transformiste dans les cabarets, après j’ai monté ma troupe et je suis parti en tournée à travers le monde pendant une vingtaine d’années, puis j’ai tenu une discothèque à Cannes pendant 7-8 ans et dans les années 90 j’ai décidé de venir m’installer ici à Tahiti et là j’ai fait un break de pratiquement 10 ans. »
« Depuis l’an 2000 les choses se sont accélérées à nouveau et j’ai fait plein de comédies musicales, des commandes, du théâtre, des projets pédagogiques, plein de trucs…C’est le 23ème spectacle en 13 ans. C’est tout ça que je raconte le temps d’un spectacle mais au lieu de bla bla je fais passer des sentiments au travers de certaines chansons qui ont marqué ma vie, plus fortes que toutes les paroles du monde. Ces chansons qui éveillent en nous quelque chose de viscéral. »
« Ce spectacle étant important pour moi je voulais être entouré de gens avec qui j’ai l’habitude de travailler et avec lesquels je sais qu’il n’y aura pas d’accrocs, on est tous animés de la même passion, du même amour du travail bien fait. Fred c’est mon complice pour toutes mes comédies musicales que je n’ai pu faire que parce qu’il y avait Fred, qui est un formidable adaptateur capable d’écrire des partitions et de faire tous les arrangements. Christine coache tous les cœurs, Ariel au niveau de la rythmique est d’une efficacité redoutable, Riccardo a une voix et une oreille de folie et je sais qu’avec Jean Luc tout va être au ‘rasoir’ au niveau technique. Je me suis entouré de gens que j’aime et avec qui je sais que je vais faire du bon travail. Laurie, c’est sa deuxième expérience, elle a confiance en moi et n’a pas peur de remettre le pied à l’étrier. »
« Pour tous les gens qui me suivent et ceux qui ne me connaissent pas encore, c’est le moment ou jamais, car ce spectacle est le concentré de tout le travail que j’ai pu faire pendant ma vie, c’est ce que je sais faire de mieux que je vais offrir sur ces six représentations, dans un écrin le plus confortable, le plus chouette possible, le plus beau des bijoux que je puisse offrir aux gens pour cet anniversaire. »
Rencontre avec un groupe d’artistes lors des dernières répétitions au studio de Jean Luc Casula à Punaauia.
Gérald Mingo , 40 ans de scène :
« Cela fait 40 ans que je suis en scène et j’avais décidé de fêter ces 40 ans de passion, de joies, de plaisirs, de coup durs aussi. Je suis passé par plein de stades pour arriver à assouvir cette passion que j’avais pour la scène. A la base je voulais être acteur, j’étais plutôt orienté vers le théâtre, mais quand je suis arrivé à Paris, j’ai vu qu’il n’y avait pas moyen de gagner sa vie avec ce genre de chose, donc j’ai commencé à être stripteaseur dans les années 70, puis j’ai bossé comme transformiste dans les cabarets, après j’ai monté ma troupe et je suis parti en tournée à travers le monde pendant une vingtaine d’années, puis j’ai tenu une discothèque à Cannes pendant 7-8 ans et dans les années 90 j’ai décidé de venir m’installer ici à Tahiti et là j’ai fait un break de pratiquement 10 ans. »
« Depuis l’an 2000 les choses se sont accélérées à nouveau et j’ai fait plein de comédies musicales, des commandes, du théâtre, des projets pédagogiques, plein de trucs…C’est le 23ème spectacle en 13 ans. C’est tout ça que je raconte le temps d’un spectacle mais au lieu de bla bla je fais passer des sentiments au travers de certaines chansons qui ont marqué ma vie, plus fortes que toutes les paroles du monde. Ces chansons qui éveillent en nous quelque chose de viscéral. »
« Ce spectacle étant important pour moi je voulais être entouré de gens avec qui j’ai l’habitude de travailler et avec lesquels je sais qu’il n’y aura pas d’accrocs, on est tous animés de la même passion, du même amour du travail bien fait. Fred c’est mon complice pour toutes mes comédies musicales que je n’ai pu faire que parce qu’il y avait Fred, qui est un formidable adaptateur capable d’écrire des partitions et de faire tous les arrangements. Christine coache tous les cœurs, Ariel au niveau de la rythmique est d’une efficacité redoutable, Riccardo a une voix et une oreille de folie et je sais qu’avec Jean Luc tout va être au ‘rasoir’ au niveau technique. Je me suis entouré de gens que j’aime et avec qui je sais que je vais faire du bon travail. Laurie, c’est sa deuxième expérience, elle a confiance en moi et n’a pas peur de remettre le pied à l’étrier. »
« Pour tous les gens qui me suivent et ceux qui ne me connaissent pas encore, c’est le moment ou jamais, car ce spectacle est le concentré de tout le travail que j’ai pu faire pendant ma vie, c’est ce que je sais faire de mieux que je vais offrir sur ces six représentations, dans un écrin le plus confortable, le plus chouette possible, le plus beau des bijoux que je puisse offrir aux gens pour cet anniversaire. »
Jean Luc Casula au micro de Tahiti Infos :
« On a dans le studio aujourd’hui Frédéric Rossoni qui joue du piano, keyboard et qui fait les arrangements, on a Ariel Cruz musicien percussionniste qui va faire du piano aussi et beaucoup de percussions, on a Ricardo Cortez qui chante merveilleusement bien, mon épouse Christine Casula qui est chanteuse et ma fille Laurie Casula choriste, et bien sûr ‘Mister’ Gérald Mingo le ‘Monsieur Loyal’ du Spectacle. »
« On peaufine les arrangements pour voir si l’on ne doit pas enlever certaines choses pour privilégier un peu plus les voix. On veut privilégier le côté intimiste pour que les gens entrent dans une bulle et puissent voyager au travers de l’histoire que Gérald veut leur raconter au travers de ses émotions. »
« Cela se passe au petit théâtre, je suis chargé du ‘design sonore’ pour que l’émotion puisse passer directement. Il y aura une mise en scène que Gérald a fait, nous aurons des danseuses qui vont faire l’habillage rythmique et visuel du spectacle, tout ça pour rendre les gens les plus heureux possible. »
« La musique c’est plus qu’une passion, cela fait partie de moi, je ne peux pas vivre sans. J’ai un passif de musicien avant celui d’ingénieur du son, en Europe notamment. Arrivé ici, j’ai continué à faire ça mais avec des moyens réduits mais ce qui est sympa c’est que l’on crée tout avec nos petits doigts. Beaucoup sont passionnés de musique ici à Tahiti. Il y a beaucoup de choses à faire, il y a un gros potentiel artistique, tu ne peux pas imaginer le nombre d’artistes dont ne soupçonne pas l’existence et que l’on voit apparaître. »
« Il faudrait plus de structures pour se rapprocher de l’esprit professionnel, pour pousser à l’assiduité et à la persévérance, pour aider ces talents à croire en ce qu’ils font. »
« On peaufine les arrangements pour voir si l’on ne doit pas enlever certaines choses pour privilégier un peu plus les voix. On veut privilégier le côté intimiste pour que les gens entrent dans une bulle et puissent voyager au travers de l’histoire que Gérald veut leur raconter au travers de ses émotions. »
« Cela se passe au petit théâtre, je suis chargé du ‘design sonore’ pour que l’émotion puisse passer directement. Il y aura une mise en scène que Gérald a fait, nous aurons des danseuses qui vont faire l’habillage rythmique et visuel du spectacle, tout ça pour rendre les gens les plus heureux possible. »
« La musique c’est plus qu’une passion, cela fait partie de moi, je ne peux pas vivre sans. J’ai un passif de musicien avant celui d’ingénieur du son, en Europe notamment. Arrivé ici, j’ai continué à faire ça mais avec des moyens réduits mais ce qui est sympa c’est que l’on crée tout avec nos petits doigts. Beaucoup sont passionnés de musique ici à Tahiti. Il y a beaucoup de choses à faire, il y a un gros potentiel artistique, tu ne peux pas imaginer le nombre d’artistes dont ne soupçonne pas l’existence et que l’on voit apparaître. »
« Il faudrait plus de structures pour se rapprocher de l’esprit professionnel, pour pousser à l’assiduité et à la persévérance, pour aider ces talents à croire en ce qu’ils font. »
