le dernier numéro de Tahiti Pacifique est dans les kiosques depuis ce matin au prix de 250 Francs.
Le dossier – Secteur clé de l’économie polynésienne, le tourisme est encore très loin d’avoir atteint les objectifs que les différents gouvernements lui avaient assignés. Victime des aléas extérieurs mais aussi de ses propres faiblesses structurelles, il peine à se relever d’une très longue traversée du désert. Capacité hôtelière insuffisante, coût de la vie, population moins réceptive sont quelques-uns des maux que nous avons abordés pour expliquer le désamour qu’a connu la destination. Si l’année 2016 marque une reprise, quelles garanties a le secteur de ne pas replonger au moindre soubresaut international, quand d’autres pays vivent mieux les crises ?
Économie. Les promesses n’engagent que ceux qui les tiennent, dit-on. Nous avons pris au mot Albert Solia, ministre de l’Équipement, sur celles annoncées en début d’année concernant l’utilisation des crédits d’investissement dont il disposait. Force est de reconnaître que l’homme est de parole. On ne peut que regretter, comme lui, un manque de moyens qui nuit au bon fonctionnement des entreprises du BTP.
Culture – Depuis quelques années, la jeunesse polynésienne s’attache à retrouver ses racines, ses valeurs ; un phénomène qui prend de l’ampleur et nul ne s’en plaindra. Danse, tatouage, art et langue polynésienne sont devenus de nouveaux centres d’intérêts.
De ses archives, Alex du Prel a extrait un article daté de juillet 2000 ayant trait au « Code cochon » en cours à Wallis-et-Futuna. Un sujet traité avec beaucoup d’humour que vous prendrez plaisir à découvrir.
NOUVEAU: vous pouvez désormais commander votre magazine en ligne sur le site www.tahiti-pacifique. com
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Le dossier – Secteur clé de l’économie polynésienne, le tourisme est encore très loin d’avoir atteint les objectifs que les différents gouvernements lui avaient assignés. Victime des aléas extérieurs mais aussi de ses propres faiblesses structurelles, il peine à se relever d’une très longue traversée du désert. Capacité hôtelière insuffisante, coût de la vie, population moins réceptive sont quelques-uns des maux que nous avons abordés pour expliquer le désamour qu’a connu la destination. Si l’année 2016 marque une reprise, quelles garanties a le secteur de ne pas replonger au moindre soubresaut international, quand d’autres pays vivent mieux les crises ?
Économie. Les promesses n’engagent que ceux qui les tiennent, dit-on. Nous avons pris au mot Albert Solia, ministre de l’Équipement, sur celles annoncées en début d’année concernant l’utilisation des crédits d’investissement dont il disposait. Force est de reconnaître que l’homme est de parole. On ne peut que regretter, comme lui, un manque de moyens qui nuit au bon fonctionnement des entreprises du BTP.
Culture – Depuis quelques années, la jeunesse polynésienne s’attache à retrouver ses racines, ses valeurs ; un phénomène qui prend de l’ampleur et nul ne s’en plaindra. Danse, tatouage, art et langue polynésienne sont devenus de nouveaux centres d’intérêts.
De ses archives, Alex du Prel a extrait un article daté de juillet 2000 ayant trait au « Code cochon » en cours à Wallis-et-Futuna. Un sujet traité avec beaucoup d’humour que vous prendrez plaisir à découvrir.
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