Avec le Totara Festival, Rodolphe Raynaud veut mettre en lumière les auteurs-compositeurs de musique actuelle de Polynésie.
Tahiti, le 9 octobre 2025 – Le Totara Festival revient pour sa deuxième édition “officielle” avec toujours le même objectif : mettre en lumière les auteurs-compositeurs de la musique actuelle polynésienne. Organisé du 24 au 26 octobre au restaurant Le Belvédère à Pirae, le festival réunira cette année 32 groupes aux univers musicaux variés.
“Il nous a fallu quelques années pour nous remettre en ordre de marche et nous redémarrons cette année officiellement”, explique Rodolphe Raynaud, l’un des organisateurs du Totara Festival qui se tient cette année du 24 au 26 octobre au restaurant Le Belvédère de Pirae.
La dernière édition du Totara Festival, initialement prévue en 2020, avait dû être annulée en raison de la pandémie. Cette année, le festival prend de l’ampleur avec 32 groupes au lieu de 18, la fois précédente, soit 110 artistes qui se succéderont sur scène pendant trois jours, avec des sets de 30 à 45 minutes. “L’idée est de donner une opportunité à des artistes qui n’ont pas de scène le reste de l’année, parce qu’ils ne sont pas considérés comme bankables [rentables, NDLR] pour les bars, qu’ils ont des sets trop courts, qu’ils ne sont pas assez connus ou qu’ils ne peuvent pas assurer trois heures d’animation”, précise Rodolphe.
Le festival proposera un véritable mélange de styles musicaux : pop, chanson française, rock, rap, électro, reggae, slam, punk ou encore métal. Parmi les groupes à l’affiche, on retrouvera des artistes confirmés comme Code 98 ou Manino, mais aussi de très jeunes talents, à l’image de Anna ou Yoomi, 17 ans, encore inconnues du grand public. “Nous avons sélectionné 32 groupes parmi les 60 qui souhaitaient participer. Tous sont intéressants, chacun à sa manière”, souligne Rodolphe, qui avoue quelques coups de cœur, notamment pour Les Funky Monks qui, estime-t-il,“réussissent à faire aimer au public une musique ultra complexe comme le jazz” ou encore Juju Wings, pour lesquels il s’étonne : “Je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas encore une carrière internationale.”
Après trois jours de découvertes musicales, le festival se clôturera par une jam session créative.
300 à 400 personnes par soir sont attendues
À long terme, les organisateurs souhaitent faire évoluer le Totara vers un festival d’échanges internationaux, réunissant des groupes du Pacifique Sud, notamment de Nouvelle-Calédonie ou de Nouvelle-Zélande.
Le choix du Belvédère ne doit rien au hasard : selon les organisateurs, le lieu se prête parfaitement à ce type d’événements, avec une capacité d’environ 300 à 400 personnes par soir et la possibilité de camper sur place.
Si le festival se veut “très familial” et ouvert à tous, Rodolphe recommande toutefois de venir “de préférence sans enfants” pour ceux qui souhaitent dormir sur place, et de ne pas oublier les protections auditives pour les plus jeunes.
Côté logistique, il est encore possible d’acheter des pass trois jours ou journaliers. Des navettes seront mises en place pour assurer les montées et descentes du Belvédère. “La réservation au 89 403 403 est obligatoire”, préviennent à ce sujet les organisateurs. Ils recommandent également de privilégier le covoiturage. Des éthylotests seront disponibles sur place “avant que les gens ne redescendent”. Et Rodolphe de plaisanter : “On a toute une équipe de bénévoles chargée de vérifier que personne ne redescende en faisant des virages, même à pied !”
“Il nous a fallu quelques années pour nous remettre en ordre de marche et nous redémarrons cette année officiellement”, explique Rodolphe Raynaud, l’un des organisateurs du Totara Festival qui se tient cette année du 24 au 26 octobre au restaurant Le Belvédère de Pirae.
La dernière édition du Totara Festival, initialement prévue en 2020, avait dû être annulée en raison de la pandémie. Cette année, le festival prend de l’ampleur avec 32 groupes au lieu de 18, la fois précédente, soit 110 artistes qui se succéderont sur scène pendant trois jours, avec des sets de 30 à 45 minutes. “L’idée est de donner une opportunité à des artistes qui n’ont pas de scène le reste de l’année, parce qu’ils ne sont pas considérés comme bankables [rentables, NDLR] pour les bars, qu’ils ont des sets trop courts, qu’ils ne sont pas assez connus ou qu’ils ne peuvent pas assurer trois heures d’animation”, précise Rodolphe.
Le festival proposera un véritable mélange de styles musicaux : pop, chanson française, rock, rap, électro, reggae, slam, punk ou encore métal. Parmi les groupes à l’affiche, on retrouvera des artistes confirmés comme Code 98 ou Manino, mais aussi de très jeunes talents, à l’image de Anna ou Yoomi, 17 ans, encore inconnues du grand public. “Nous avons sélectionné 32 groupes parmi les 60 qui souhaitaient participer. Tous sont intéressants, chacun à sa manière”, souligne Rodolphe, qui avoue quelques coups de cœur, notamment pour Les Funky Monks qui, estime-t-il,“réussissent à faire aimer au public une musique ultra complexe comme le jazz” ou encore Juju Wings, pour lesquels il s’étonne : “Je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas encore une carrière internationale.”
Après trois jours de découvertes musicales, le festival se clôturera par une jam session créative.
300 à 400 personnes par soir sont attendues
À long terme, les organisateurs souhaitent faire évoluer le Totara vers un festival d’échanges internationaux, réunissant des groupes du Pacifique Sud, notamment de Nouvelle-Calédonie ou de Nouvelle-Zélande.
Le choix du Belvédère ne doit rien au hasard : selon les organisateurs, le lieu se prête parfaitement à ce type d’événements, avec une capacité d’environ 300 à 400 personnes par soir et la possibilité de camper sur place.
Si le festival se veut “très familial” et ouvert à tous, Rodolphe recommande toutefois de venir “de préférence sans enfants” pour ceux qui souhaitent dormir sur place, et de ne pas oublier les protections auditives pour les plus jeunes.
Côté logistique, il est encore possible d’acheter des pass trois jours ou journaliers. Des navettes seront mises en place pour assurer les montées et descentes du Belvédère. “La réservation au 89 403 403 est obligatoire”, préviennent à ce sujet les organisateurs. Ils recommandent également de privilégier le covoiturage. Des éthylotests seront disponibles sur place “avant que les gens ne redescendent”. Et Rodolphe de plaisanter : “On a toute une équipe de bénévoles chargée de vérifier que personne ne redescende en faisant des virages, même à pied !”