Tahiti le 6 novembre 2025. La compagnie aérienne de fret inter-îles a été reçue à la présidence cette semaine. Elle annonce vouloir débuter ses activités le 12 décembre prochain.
Le président de la Polynésie française, Moetai Brotherson, a reçu ce mercredi à la présidence, Alexandre Mu, président-directeur général de la société Motu Link Airline (SAS).
Cette rencontre a permis de présenter au président le plan prévisionnel stratégique de la nouvelle compagnie aérienne, ainsi que les étapes préparatoires à son début d’exploitation, prévu pour le 12 décembre 2025.
Basée en Polynésie française, la société Motu Link Airline a pour vocation d’assurer le transport de fret aérien interinsulaire, en complément des opérateurs existants, afin de renforcer la continuité logistique entre les archipels. Le projet prévoit la mise en service progressive d’une flotte adaptée aux besoins du marché local et à la configuration des aérodromes polynésiens.
Le président Brotherson a salué cette initiative privée qui s’inscrit dans la stratégie de soutien à la connectivité territoriale et de sécurisation des chaînes d’approvisionnement du Pays. Il a également réaffirmé la volonté du gouvernement d’accompagner les projets innovants contribuant au désenclavement économique des îles et au développement durable du transport aérien intérieur.
La compagnie Motu Link Airline ambitionne de débuter ses opérations par des liaisons de fret régulières entre Tahiti et les principaux centres logistiques des archipels, avant d’étendre progressivement son réseau et ses capacités opérationnelles.
La compagnie aérienne de fret a déjà disposé d’une licence en 2021, sans pouvoir démarrer son exploitation dans les délais réglementaires et avait fait renouveler sa licence en 2025.
La jeune compagnie aérienne comptait alors acquérir son premier avion-cargo par le biais d’un financement participatif, via un ATR 72-500 entièrement dédié au fret.
En 2025, Motu Link Airline expliquait vouloir desservir une dizaine d’îles réparties sur les cinq archipels, avec un programme de 20 fréquences hebdomadaires. Deux autres appareils seraient amenés à compléter la flotte d’ici 2027 si la société parvient à développer son business plan.
Le président de la Polynésie française, Moetai Brotherson, a reçu ce mercredi à la présidence, Alexandre Mu, président-directeur général de la société Motu Link Airline (SAS).
Cette rencontre a permis de présenter au président le plan prévisionnel stratégique de la nouvelle compagnie aérienne, ainsi que les étapes préparatoires à son début d’exploitation, prévu pour le 12 décembre 2025.
Basée en Polynésie française, la société Motu Link Airline a pour vocation d’assurer le transport de fret aérien interinsulaire, en complément des opérateurs existants, afin de renforcer la continuité logistique entre les archipels. Le projet prévoit la mise en service progressive d’une flotte adaptée aux besoins du marché local et à la configuration des aérodromes polynésiens.
Le président Brotherson a salué cette initiative privée qui s’inscrit dans la stratégie de soutien à la connectivité territoriale et de sécurisation des chaînes d’approvisionnement du Pays. Il a également réaffirmé la volonté du gouvernement d’accompagner les projets innovants contribuant au désenclavement économique des îles et au développement durable du transport aérien intérieur.
La compagnie Motu Link Airline ambitionne de débuter ses opérations par des liaisons de fret régulières entre Tahiti et les principaux centres logistiques des archipels, avant d’étendre progressivement son réseau et ses capacités opérationnelles.
La compagnie aérienne de fret a déjà disposé d’une licence en 2021, sans pouvoir démarrer son exploitation dans les délais réglementaires et avait fait renouveler sa licence en 2025.
La jeune compagnie aérienne comptait alors acquérir son premier avion-cargo par le biais d’un financement participatif, via un ATR 72-500 entièrement dédié au fret.
En 2025, Motu Link Airline expliquait vouloir desservir une dizaine d’îles réparties sur les cinq archipels, avec un programme de 20 fréquences hebdomadaires. Deux autres appareils seraient amenés à compléter la flotte d’ici 2027 si la société parvient à développer son business plan.