Tahiti le 7 août 2025. Le congrès des maires s’est achevé jeudi soir. Les tavana ont réitéré leur volonté de prendre plus de compétences malgré l’opposition du président du Pays et insistent pour voir leur texte voté à Paris.
Le 34e congrès des communes s’est achevé ce jeudi par un travail sur les finances duquel est ressorti un bilan positif pour les tavana. De 2020 à 2025 les communes ont, toutes ensembles, initiées plus de 1300 opérations pour plus de 64 milliards de francs. Certaines sont achevées, beaucoup sont en cours.
Selon le communiqué envoyé en fin de congrès, les communes ont, dans le même temps, injecté près de 70 milliards en investissement. 80 milliards sont escomptés pour la fin de mandature.
Les dépenses d’investissement quant à elles restent toujours dans les mêmes critères principaux : Eau potable, enseignement, assainissement, transition énergétique et renforcement des moyens internes.
Ces investissements sont cependant soumis à plusieurs contraintes comme les problèmes de foncier, le manque de compétences locales, les contraintes budgétaires et les coût des projets, les difficultés de coordination entre acteurs et la résistance au changement et évolution des comportements.
De fait, en conclusion de ce nouveau congrès, le syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française entend mettre de nouvelles priorités concernant le développement économique, l’autonomie alimentaire, la préservation des ressources marines, la transition énergétique, la sécurité publique, la collecte et le traitement des déchets, la jeunesse et le sport et enfin le patrimoine et la culture.
Ces dossiers seront à mettre en œuvre par l’utilisation de plusieurs leviers comme la modernisation de la fiscalité communale, le recours plus important à l’emprunt ou encore l’amélioration de l’autofinancement.
Surtout, afin de pouvoir activer ces leviers, les tavana sont revenus avec force sur la volonté de modifier l’article 43.2 du statut. « Les maires polynésiens appellent les députés de la nation à un vote conforme de la proposition de loi organique portée par les Sénateurs polynésiens (Lana Tetuanui et Teva Rohfritsch), explique le communiqué. Un texte qui sera porté à l’Assemblée nationale par Nicole Sanquer malgré une résolution contre votée par la majorité Tavini à Tarahoi, sous l’impulsion du président Brotherson.
Le 34e congrès des communes s’est achevé ce jeudi par un travail sur les finances duquel est ressorti un bilan positif pour les tavana. De 2020 à 2025 les communes ont, toutes ensembles, initiées plus de 1300 opérations pour plus de 64 milliards de francs. Certaines sont achevées, beaucoup sont en cours.
Selon le communiqué envoyé en fin de congrès, les communes ont, dans le même temps, injecté près de 70 milliards en investissement. 80 milliards sont escomptés pour la fin de mandature.
Les dépenses d’investissement quant à elles restent toujours dans les mêmes critères principaux : Eau potable, enseignement, assainissement, transition énergétique et renforcement des moyens internes.
Ces investissements sont cependant soumis à plusieurs contraintes comme les problèmes de foncier, le manque de compétences locales, les contraintes budgétaires et les coût des projets, les difficultés de coordination entre acteurs et la résistance au changement et évolution des comportements.
De fait, en conclusion de ce nouveau congrès, le syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française entend mettre de nouvelles priorités concernant le développement économique, l’autonomie alimentaire, la préservation des ressources marines, la transition énergétique, la sécurité publique, la collecte et le traitement des déchets, la jeunesse et le sport et enfin le patrimoine et la culture.
Ces dossiers seront à mettre en œuvre par l’utilisation de plusieurs leviers comme la modernisation de la fiscalité communale, le recours plus important à l’emprunt ou encore l’amélioration de l’autofinancement.
Surtout, afin de pouvoir activer ces leviers, les tavana sont revenus avec force sur la volonté de modifier l’article 43.2 du statut. « Les maires polynésiens appellent les députés de la nation à un vote conforme de la proposition de loi organique portée par les Sénateurs polynésiens (Lana Tetuanui et Teva Rohfritsch), explique le communiqué. Un texte qui sera porté à l’Assemblée nationale par Nicole Sanquer malgré une résolution contre votée par la majorité Tavini à Tarahoi, sous l’impulsion du président Brotherson.