Tahiti, le 6 novembre 2025 - La suspension de Willy Vaiho de ses fonctions de principal du collège de Tubuai crée l’incompréhension chez les parents d’élèves qui manifesteront lundi matin à la rentrée.
Alors que les vacances scolaires se terminent doucement, nos confrères de Polynésie La 1ère rapportaient en début de semaine que le principal du collège de Tubuai, Willy Vaiho, venait brutalement d’être suspendu de ses fonctions, “son maintien nuisant gravement au bon fonctionnement de l'établissement”, rapportait la station de Pamatai.
Une enquête administrative aurait été menée suite à des dépôts de plaintes de plusieurs professeurs sur la gestion de l’établissement.
Dans un second article, Polynésie La 1ère évoque même des “abus de pouvoir et du favoritisme : accès aux cuisines accordé à des associations sans lien avec des projets éducatifs, heures de mathématiques remplacées par des cours de reo Tahiti en vue du Heiva Taure’a et réaffectation de fonds à des initiatives pour lesquelles ils n’étaient pas prévus”.
Une décision qui surprend en dehors des murs du collège et qui agite la petite île des Australes puisque même la mairie se mêle désormais du sujet.
En effet, dès le lendemain de la divulgation de la décision, la commune partageait une pétition en ligne en soutien au principal du collège.
Dans cette dernière, le lanceur de la pétition explique que “sous la direction inspirée de Willy Vaiho, ce collège a su s'élever remarquablement, plaçant l'épanouissement de chaque élève au cœur de sa mission”.
Concernant la décision prise par le ministère de l’Éducation à Paris, la pétition dénonce “une décision (qui) menace le climat positif qui a été soigneusement cultivé au cours de ces deux dernières années au collège de Mataura. Bien qu’indispensable au développement des jeunes esprits de l'île, il serait regrettable de laisser cet élan s'éteindre pour une raison qui est, selon nous, incohérente et injustifiée.”
Ce lundi, une marche de protestation contre cette décision sera organisée sur l’île, devant le collège, à l’heure d’ouverture de l’établissement.
Interpellé sur le sujet, le gouvernement n’a pas souhaité prendre position pour l’instant.
Alors que les vacances scolaires se terminent doucement, nos confrères de Polynésie La 1ère rapportaient en début de semaine que le principal du collège de Tubuai, Willy Vaiho, venait brutalement d’être suspendu de ses fonctions, “son maintien nuisant gravement au bon fonctionnement de l'établissement”, rapportait la station de Pamatai.
Une enquête administrative aurait été menée suite à des dépôts de plaintes de plusieurs professeurs sur la gestion de l’établissement.
Dans un second article, Polynésie La 1ère évoque même des “abus de pouvoir et du favoritisme : accès aux cuisines accordé à des associations sans lien avec des projets éducatifs, heures de mathématiques remplacées par des cours de reo Tahiti en vue du Heiva Taure’a et réaffectation de fonds à des initiatives pour lesquelles ils n’étaient pas prévus”.
Une décision qui surprend en dehors des murs du collège et qui agite la petite île des Australes puisque même la mairie se mêle désormais du sujet.
En effet, dès le lendemain de la divulgation de la décision, la commune partageait une pétition en ligne en soutien au principal du collège.
Dans cette dernière, le lanceur de la pétition explique que “sous la direction inspirée de Willy Vaiho, ce collège a su s'élever remarquablement, plaçant l'épanouissement de chaque élève au cœur de sa mission”.
Concernant la décision prise par le ministère de l’Éducation à Paris, la pétition dénonce “une décision (qui) menace le climat positif qui a été soigneusement cultivé au cours de ces deux dernières années au collège de Mataura. Bien qu’indispensable au développement des jeunes esprits de l'île, il serait regrettable de laisser cet élan s'éteindre pour une raison qui est, selon nous, incohérente et injustifiée.”
Ce lundi, une marche de protestation contre cette décision sera organisée sur l’île, devant le collège, à l’heure d’ouverture de l’établissement.
Interpellé sur le sujet, le gouvernement n’a pas souhaité prendre position pour l’instant.