Auckland arrive en tête des villes océaniennes les plus agréables à vivre
SYDNEY, mercredi 30 novembre 2011 (Flash d’Océanie) – Plusieurs villes australiennes et néo-zélandaises se taillent des places de choix, dans le peloton de tête des villes considérées comme les plus agréables du monde, selon la dernière édition du classement mondial établi chaque année par le cabinet de consultance Mercer.
http://www.mercer.com/qualityofliving
Ce classement, d’abord destiné aux entreprises et organisations internationales et multinationales pour paramétrer les conditions financières de leurs postes à l’étranger, met la ville autrichienne de Vienne en premier place dans la catégorie Qualité de Vie, alors que c’est le Luxembourg qui obtient la palme d’or du point de vue de la sécurité des personnes.
Tout en bas de classement, dans les deux catégories, on trouve Bagdad.
En termes de qualité de la vie, la seule ville océanienne classée dans le peloton des cinq premières est Auckland (Nouvelle-Zélande, 3ème place).
Dans la région Asie-Pacifique, outre Auckland, on trouve aussi Sydney (11ème), Wellington (13ème), Melbourne (18ème) et Perth (21ème).
Plus bas dans le classement Qualité de vie en Océanie, on trouve aussi Honolulu (29ème), Brisbane (37ème), ou encore, première dans ce classement, Nouméa (Nouvelle-Calédonie à la centième place.
Paris est classée trentième, Londres 38ème et Lyon (France) 39ème.
À travers le prisme de la sécurité des personnes, le classement Mercer place en tête des villes océaniennes Wellington et Auckland (9ème place), et dans un peloton serré, ex-æquo à la 25ème place, les quatre villes australiennes de Canberra (25ème), Melbourne, Perth et Sydney.
Plus loin, Adelaïde et Brisbane, deux villes australiennes, se partagent la cinquantième place, suivies de près d’Honolulu (53ème).
Nouméa arrive 91ème.
Lyon et Paris se partagent la soixantième place.
L’indice Mercer répertorie quelque 420 villes à travers le monde, classées en fonction d’une petite quarantaine de paramètres et critères, parmi lesquels l’environnement politique et social, la stabilité, la criminalité, l’ordre public, le niveau de développement économique, les libertés fondamentales, les services de santé et d’éducation publiques, les infrastructures, les loisirs et l’offre culturelle ou encore les conditions climatiques et environnementales.
pad
http://www.mercer.com/qualityofliving
Ce classement, d’abord destiné aux entreprises et organisations internationales et multinationales pour paramétrer les conditions financières de leurs postes à l’étranger, met la ville autrichienne de Vienne en premier place dans la catégorie Qualité de Vie, alors que c’est le Luxembourg qui obtient la palme d’or du point de vue de la sécurité des personnes.
Tout en bas de classement, dans les deux catégories, on trouve Bagdad.
En termes de qualité de la vie, la seule ville océanienne classée dans le peloton des cinq premières est Auckland (Nouvelle-Zélande, 3ème place).
Dans la région Asie-Pacifique, outre Auckland, on trouve aussi Sydney (11ème), Wellington (13ème), Melbourne (18ème) et Perth (21ème).
Plus bas dans le classement Qualité de vie en Océanie, on trouve aussi Honolulu (29ème), Brisbane (37ème), ou encore, première dans ce classement, Nouméa (Nouvelle-Calédonie à la centième place.
Paris est classée trentième, Londres 38ème et Lyon (France) 39ème.
À travers le prisme de la sécurité des personnes, le classement Mercer place en tête des villes océaniennes Wellington et Auckland (9ème place), et dans un peloton serré, ex-æquo à la 25ème place, les quatre villes australiennes de Canberra (25ème), Melbourne, Perth et Sydney.
Plus loin, Adelaïde et Brisbane, deux villes australiennes, se partagent la cinquantième place, suivies de près d’Honolulu (53ème).
Nouméa arrive 91ème.
Lyon et Paris se partagent la soixantième place.
L’indice Mercer répertorie quelque 420 villes à travers le monde, classées en fonction d’une petite quarantaine de paramètres et critères, parmi lesquels l’environnement politique et social, la stabilité, la criminalité, l’ordre public, le niveau de développement économique, les libertés fondamentales, les services de santé et d’éducation publiques, les infrastructures, les loisirs et l’offre culturelle ou encore les conditions climatiques et environnementales.
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