WELLINGTON (Nouvelle Zélande), vendredi 24 mai 2013 – L’ancienne Première ministre travailliste néo-zélandaise Helen Clark, qui dirige depuis 2009 le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), fait partie des femmes les plus influentes du monde, selon le dernier classement annuel publié en milieu de semaine par le magazine américain Forbes.
Mme Clark est encore montée dans ce classement, passant de la 34ème place en 2013 à la 21ème place dans la dernière édition de ce classement.
Sur la durée aussi, l’ancienne dirigeante néo-zélandaise figure parmi les "habituées" de ce classement : elle s’y trouve depuis sa création, en 2004, puisqu’à cette date, elle était déjà à la tête de l’exécutif de son pays (1999-2008).
Reconvertie aux Nations-Unies pour diriger le PNUD (poste pour lequel elle a été reconduite pour un second mandat en 2013), Helen Clark, en tant qu’administratrice, dirige désormais quelque huit mille employés répartis dans pas moins de 177 pays, et gère un budget annuel de l’ordre de six milliards de dollars US.
Dans ce classement de Forbes, la première place est toujours monopolisée (pour la troisième année consécutive) par l’Allemande Angela Merkel.
Elle est suive de la Présidente brésilienne Dilma Rousseff, de Melinda Gates (Coprésidente de la Fondation Bill & Melinda Gates), de Michelle Obama, d’Hillary Clinton, ou encore de Christine Lagarde (7ème place).
En Océanie, la seconde femme la plus puissante est la travailliste Julia Gillard, Première ministre fédérale australienne.
Une autre Australienne, dans le milieu des affaires (mines), la milliardaire Gina Rinehart, est classée 16ème, juste devant l’Américaine Beyoncé Knowles.
La Reine Élisabeth II d’Angleterre est classée 40ème, loin derrière la star américaine du talk-show Oprah Winfrey (13ème).
Mme Clark est encore montée dans ce classement, passant de la 34ème place en 2013 à la 21ème place dans la dernière édition de ce classement.
Sur la durée aussi, l’ancienne dirigeante néo-zélandaise figure parmi les "habituées" de ce classement : elle s’y trouve depuis sa création, en 2004, puisqu’à cette date, elle était déjà à la tête de l’exécutif de son pays (1999-2008).
Reconvertie aux Nations-Unies pour diriger le PNUD (poste pour lequel elle a été reconduite pour un second mandat en 2013), Helen Clark, en tant qu’administratrice, dirige désormais quelque huit mille employés répartis dans pas moins de 177 pays, et gère un budget annuel de l’ordre de six milliards de dollars US.
Dans ce classement de Forbes, la première place est toujours monopolisée (pour la troisième année consécutive) par l’Allemande Angela Merkel.
Elle est suive de la Présidente brésilienne Dilma Rousseff, de Melinda Gates (Coprésidente de la Fondation Bill & Melinda Gates), de Michelle Obama, d’Hillary Clinton, ou encore de Christine Lagarde (7ème place).
En Océanie, la seconde femme la plus puissante est la travailliste Julia Gillard, Première ministre fédérale australienne.
Une autre Australienne, dans le milieu des affaires (mines), la milliardaire Gina Rinehart, est classée 16ème, juste devant l’Américaine Beyoncé Knowles.
La Reine Élisabeth II d’Angleterre est classée 40ème, loin derrière la star américaine du talk-show Oprah Winfrey (13ème).
