Une trentaine de personnes porteuses de handicaps étaient présentes pour ce job dating, jeudi à la présidence.
Tahiti, le 28 août 2025 - Jeudi matin, la présidence de la Polynésie française et sa déléguée interministérielle au handicap, Nathalie Salmon-Hudry, ont organisé un job dating à destination des personnes porteuses de handicap. À la clef : des promesses d’embauches dans différentes sociétés.
Ambiance feutrée et studieuse jeudi matin dans les salons de la présidence. Une trentaine de personnes porteuses de handicaps, la plupart non visibles, étaient présentes pour rencontrer des chasseurs de têtes pour leurs entreprises.
Ce job dating à destination exclusive des personnes porteuses de handicap est une première à la présidence après celui organisé à l’assemblée de la Polynésie française en mai dernier. Différence notable : les entreprises présentes n’étaient pas là pour parler stage ou formation. Elles étaient venues avec une trentaine de postes en CDI à pourvoir, principalement dans le secteur des services. Comptabilité, ressources humaines ou encore service en restaurant, ces postes disponibles n’attendaient que les candidats.
Pour cela, le Sefi, en concertation avec la Caisse de prévoyance sociale avait sélectionné une trentaine de personnes porteuses de handicap. Ces dernières ont travaillé pendant un mois à la préparation des entretiens mais aussi à la préparation de leurs CV et lettres de motivation.
Sous l’œil de la déléguée interministérielle, les rendez-vous se sont enchaînés toute la matinée. Parmi les postulants, Alfred, jeune adulte atteint de trouble bipolaires mais au bagage universitaire solide et à la motivation gonflée à bloc, témoigne : “Ma bipolarité est une pathologie de l’humeur, qui fluctue, et le Sefi m’accompagne dans ma recherche d’emploi. On a été pris en charge, préparés et là je me sens prêt pour décrocher un job.”
Détenteur d’un DUT Technique de commercialisation et d’une licence professionnelle e-commerce, Alfred doit combattre les préjugés, mais aussi ses propres doutes. “Ce n’est pas facile. Il faut jouer avec la première image que l’on donne. Si on se sent bien lors de l’entretien, alors ça doit marcher.”
Ambiance feutrée et studieuse jeudi matin dans les salons de la présidence. Une trentaine de personnes porteuses de handicaps, la plupart non visibles, étaient présentes pour rencontrer des chasseurs de têtes pour leurs entreprises.
Ce job dating à destination exclusive des personnes porteuses de handicap est une première à la présidence après celui organisé à l’assemblée de la Polynésie française en mai dernier. Différence notable : les entreprises présentes n’étaient pas là pour parler stage ou formation. Elles étaient venues avec une trentaine de postes en CDI à pourvoir, principalement dans le secteur des services. Comptabilité, ressources humaines ou encore service en restaurant, ces postes disponibles n’attendaient que les candidats.
Pour cela, le Sefi, en concertation avec la Caisse de prévoyance sociale avait sélectionné une trentaine de personnes porteuses de handicap. Ces dernières ont travaillé pendant un mois à la préparation des entretiens mais aussi à la préparation de leurs CV et lettres de motivation.
Sous l’œil de la déléguée interministérielle, les rendez-vous se sont enchaînés toute la matinée. Parmi les postulants, Alfred, jeune adulte atteint de trouble bipolaires mais au bagage universitaire solide et à la motivation gonflée à bloc, témoigne : “Ma bipolarité est une pathologie de l’humeur, qui fluctue, et le Sefi m’accompagne dans ma recherche d’emploi. On a été pris en charge, préparés et là je me sens prêt pour décrocher un job.”
Détenteur d’un DUT Technique de commercialisation et d’une licence professionnelle e-commerce, Alfred doit combattre les préjugés, mais aussi ses propres doutes. “Ce n’est pas facile. Il faut jouer avec la première image que l’on donne. Si on se sent bien lors de l’entretien, alors ça doit marcher.”
Alfred, jeune adulte atteint de trouble bipolaires mais au bagage universitaire solide.