Si les conditions sont au rendez-vous, nul doute que Eimeo Czermak compte parmi les favoris !
Tahiti, le 7 juillet 2025 – En ce mois de juillet, Teahupo'o accueillera deux événements inédits : la deuxième étape du Championnat open de surf du 12 au 14 juillet, et les Trials de la Tahiti Pro, ouverts pour la première fois au surf féminin, du 17 au 20 juillet. Deux compétitions de prestige, réservées aux locaux, et dont l'objectif principal est de pousser les athlètes, désireux d'accéder un jour à l'élite mondiale, à se dépasser.
Réservée durant de longues années à une certaine élite, qu'elle soit locale ou internationale, la vague du bout de la route, à Teahupo'o, s'ouvre désormais à de nouvelles perspectives en accueillant sa toute première compétition open, réservée aux locaux du 12 au 14 juillet, et en ouvrant la prestigieuse épreuve des Trials de la Tahiti Pro aux femmes du 17 au 20 juillet. En cause, une nouvelle et jeune génération de riders, hommes et femmes, habitée par des rêves insufflés par les victoires successives des deux 'aito, Vahine Fierro (vainqueur de la Tahiti Pro 2024) et Kauli Vaast (champion olympique à Teahupo'o lors des Jeux de Paris 2024).
Des rêves de lumière, de carrière, dont s'est saisie la Fédération tahitienne de surf (FTS) : “Pour nous, l'organisation de ces compétitions, c'était aussi une manière de pousser nos athlètes à venir ou revenir surfer ce spot afin de se dépasser”, explique Kevin Bourez, cadre technique et responsable de la commission haut niveau au sein de la FTS. “Nous voulions qu'ils se réapproprient ce spot, qu'ils puissent évoluer et se confronter entre eux. Faire plus de compétitions à Teahupo'o, c'est l'assurance de mieux les préparer à aller aux Trials et à performer sur le World Championship Tour plus tard. Nous avons la chance d'avoir une vague comme Teahupo'o à la maison, pas loin et relativement facile d'accès, il faut en profiter. (...) Aujourd'hui, savoir surfer ce genre de vagues est indispensable pour prétendre performer au haut niveau.”
Le surf féminin à l'honneur
Elles sont de plus en plus nombreuses à s'affirmer sur la mythique vague de la Presqu'île. Aelan Vaast, Heimiti et Kohai Fierro, Kiara Goold ou encore Kelia Gallina mènent la charge du surf féminin local et sont, à ce titre, attendues pour ces deux grands rendez-vous. “Nos athlètes filles sont en grande forme, comme nous avons pu le voir lors de la Toa Pro, dernière compétition internationale à Papara”, rappelle Max Wasna, président de la Fédération tahitienne de surf. “Parmi les huit places possibles en quarts de finale, cinq d'entre elles étaient polynésiennes. Nous voulons poursuivre dans cet élan. D'autant qu'aujourd'hui, ces filles ont largement le niveau pour se mesurer à la vague de Teahupo'o et nous sommes ravis de savoir qu'une d'entre elles aura l'occasion d'être invitée à la Tahiti Pro.” Car cette année, grande nouveauté, les Trials s'ouvrent au surf féminin ! Une opportunité unique puisque, par le passé, seule Vahine Fierro pouvait prétendre à cette “wild card”.
Chez les hommes, le spectacle promet d'être au rendez-vous. Vainqueur de la première étape du Championnat open à Papeno’o et surfeur émérite dans les tubes acérés de Teahupo'o, Enrique Ariitu aura à cœur de défendre sa première place au classement général du Championnat de Polynésie. Même si le 'aito aura fort à faire face à une armada de locaux du spot, tous prêts à en découdre sur leur terrain de jeu. À l'exemple notamment de Gilbert Teave, vainqueur plus tôt cette année de la Rangiroa Pro, de Matahi Drollet, ancien vainqueur des Trials et figure emblématique du spot, et surtout de Eimeo Czermak qui semble désormais s'imposer en grand favori si les vagues atteignent une taille critique. “Ces surfeurs sont capables aujourd'hui de battre les meilleurs au monde sur cette vague”, assure même Kevin Bourez. Du très beau spectacle en perspective !
Réservée durant de longues années à une certaine élite, qu'elle soit locale ou internationale, la vague du bout de la route, à Teahupo'o, s'ouvre désormais à de nouvelles perspectives en accueillant sa toute première compétition open, réservée aux locaux du 12 au 14 juillet, et en ouvrant la prestigieuse épreuve des Trials de la Tahiti Pro aux femmes du 17 au 20 juillet. En cause, une nouvelle et jeune génération de riders, hommes et femmes, habitée par des rêves insufflés par les victoires successives des deux 'aito, Vahine Fierro (vainqueur de la Tahiti Pro 2024) et Kauli Vaast (champion olympique à Teahupo'o lors des Jeux de Paris 2024).
Des rêves de lumière, de carrière, dont s'est saisie la Fédération tahitienne de surf (FTS) : “Pour nous, l'organisation de ces compétitions, c'était aussi une manière de pousser nos athlètes à venir ou revenir surfer ce spot afin de se dépasser”, explique Kevin Bourez, cadre technique et responsable de la commission haut niveau au sein de la FTS. “Nous voulions qu'ils se réapproprient ce spot, qu'ils puissent évoluer et se confronter entre eux. Faire plus de compétitions à Teahupo'o, c'est l'assurance de mieux les préparer à aller aux Trials et à performer sur le World Championship Tour plus tard. Nous avons la chance d'avoir une vague comme Teahupo'o à la maison, pas loin et relativement facile d'accès, il faut en profiter. (...) Aujourd'hui, savoir surfer ce genre de vagues est indispensable pour prétendre performer au haut niveau.”
Le surf féminin à l'honneur
Elles sont de plus en plus nombreuses à s'affirmer sur la mythique vague de la Presqu'île. Aelan Vaast, Heimiti et Kohai Fierro, Kiara Goold ou encore Kelia Gallina mènent la charge du surf féminin local et sont, à ce titre, attendues pour ces deux grands rendez-vous. “Nos athlètes filles sont en grande forme, comme nous avons pu le voir lors de la Toa Pro, dernière compétition internationale à Papara”, rappelle Max Wasna, président de la Fédération tahitienne de surf. “Parmi les huit places possibles en quarts de finale, cinq d'entre elles étaient polynésiennes. Nous voulons poursuivre dans cet élan. D'autant qu'aujourd'hui, ces filles ont largement le niveau pour se mesurer à la vague de Teahupo'o et nous sommes ravis de savoir qu'une d'entre elles aura l'occasion d'être invitée à la Tahiti Pro.” Car cette année, grande nouveauté, les Trials s'ouvrent au surf féminin ! Une opportunité unique puisque, par le passé, seule Vahine Fierro pouvait prétendre à cette “wild card”.
Chez les hommes, le spectacle promet d'être au rendez-vous. Vainqueur de la première étape du Championnat open à Papeno’o et surfeur émérite dans les tubes acérés de Teahupo'o, Enrique Ariitu aura à cœur de défendre sa première place au classement général du Championnat de Polynésie. Même si le 'aito aura fort à faire face à une armada de locaux du spot, tous prêts à en découdre sur leur terrain de jeu. À l'exemple notamment de Gilbert Teave, vainqueur plus tôt cette année de la Rangiroa Pro, de Matahi Drollet, ancien vainqueur des Trials et figure emblématique du spot, et surtout de Eimeo Czermak qui semble désormais s'imposer en grand favori si les vagues atteignent une taille critique. “Ces surfeurs sont capables aujourd'hui de battre les meilleurs au monde sur cette vague”, assure même Kevin Bourez. Du très beau spectacle en perspective !
Les filles seront à l'honneur cette année ! L'occasion pour les surfeuses locales de se jauger avant, peut être, d'intégrer le grand bain et l'élite mondiale ! En tout cas, Kohai Fierro sera de la partie !