Jérémy Florès a dû attendre 24H avant d'être rapatrié en hélicoptère
Le 22 juin 2015. Le mois dernier Michel Bourez notre ‘Spartan’ chutait lourdement sur une vague à Teahupo’o. Résultat : Une main et une vertèbre cassées. Michel Bourez avait été 5e à l’issue du championnat 2014. Il avait débuté le championnat 2015 avec deux 25e places lors des deux premières épreuves, puis une belle 5e place, avant que cette chute ne le contraigne à déclarer forfait lors de deux étapes, à Rio au Brésil puis à Tavarua à Fidji.
La situation du 2e français du World Tour au moment de sa chute était différente. Jérémy, originaire de la Réunion, fait partie lui aussi du Top 34 composant l’élite du surf professionnel. Il a intégré ce Top 34 en 2007, soit deux ans avant le Tahitien Michel Bourez.
Jérémy Florès est connu pour ses ’coups de gueule’ parfois virulents contre les juges de l’ASP, - devenue depuis la WSL -, qui lui avaient valu une suspension lors de la dernière Billabong Pro Tahiti. Il s’est fait remarquer également pour sa prise de position courageuse contre les ‘pseudo écolos’, mettant en cause directement la réserve marine réunionnaise comme cause principale des attaques de requins à la réunion.
Après une année 2014 catastrophique puisqu’il avait terminé à la 33e position du classement sur 34, il avait démarré 2015 en crescendo : 25e lors la 1re épreuve, 9e lors de la 2e et 3e épreuve puis finalement 3e lors de la 4e épreuve à Fidji. Ce dernier résultat l’avait propulsé à la 10e place du classement général, le faisant monter de 6 places.
Malheureusement pour lui, pour la Réunion et pour le surf français en général, son surf trip en Indonésie au lendemain de sa 3e place à Fidji, a tourné au cauchemar.
A peine arrivé ‘au milieu de nulle part’, dans le sud-est de l’archipel indonésien dans l’île de ‘Flores’, où il s’était rendu pour participer à un ‘shooting’ avec d’autres surfeurs du team Quiksilver, il a voulu se dégourdir les jambes après plusieurs heures de voyage. Selon la fédération française de surf, il a chuté sur une vague de 50cm qui l’a projeté tête la première contre le récif. ‘Visage lacéré, deux gros trous sur la joue droite’, telle serait la sentence.
Ce n’est pas la première fois qu’un surfeur se fait mal en surfant des vagues de récif pas spécialement énormes. Derrière l’image idyllique de la vague bleutée et cristalline, il y a toujours une part de risque indéniable de la part d’athlètes qui risquent ‘leur peau’, pour leur plaisir et pour celui des amateurs de belles images.
La situation du 2e français du World Tour au moment de sa chute était différente. Jérémy, originaire de la Réunion, fait partie lui aussi du Top 34 composant l’élite du surf professionnel. Il a intégré ce Top 34 en 2007, soit deux ans avant le Tahitien Michel Bourez.
Jérémy Florès est connu pour ses ’coups de gueule’ parfois virulents contre les juges de l’ASP, - devenue depuis la WSL -, qui lui avaient valu une suspension lors de la dernière Billabong Pro Tahiti. Il s’est fait remarquer également pour sa prise de position courageuse contre les ‘pseudo écolos’, mettant en cause directement la réserve marine réunionnaise comme cause principale des attaques de requins à la réunion.
Après une année 2014 catastrophique puisqu’il avait terminé à la 33e position du classement sur 34, il avait démarré 2015 en crescendo : 25e lors la 1re épreuve, 9e lors de la 2e et 3e épreuve puis finalement 3e lors de la 4e épreuve à Fidji. Ce dernier résultat l’avait propulsé à la 10e place du classement général, le faisant monter de 6 places.
Malheureusement pour lui, pour la Réunion et pour le surf français en général, son surf trip en Indonésie au lendemain de sa 3e place à Fidji, a tourné au cauchemar.
A peine arrivé ‘au milieu de nulle part’, dans le sud-est de l’archipel indonésien dans l’île de ‘Flores’, où il s’était rendu pour participer à un ‘shooting’ avec d’autres surfeurs du team Quiksilver, il a voulu se dégourdir les jambes après plusieurs heures de voyage. Selon la fédération française de surf, il a chuté sur une vague de 50cm qui l’a projeté tête la première contre le récif. ‘Visage lacéré, deux gros trous sur la joue droite’, telle serait la sentence.
Ce n’est pas la première fois qu’un surfeur se fait mal en surfant des vagues de récif pas spécialement énormes. Derrière l’image idyllique de la vague bleutée et cristalline, il y a toujours une part de risque indéniable de la part d’athlètes qui risquent ‘leur peau’, pour leur plaisir et pour celui des amateurs de belles images.
Jérémy Florès, pourtant un spécialiste du surf de récif, s'est blessé au visage
Il s’exprime ainsi sur son compte instagram :
“Les pires 24 heures de ma vie. J’ai heurté ma tête sur le récif au milieu de nulle part en Indo, et perdu la mémoire pendant plus d’une heure. J’ai de profondes coupures partout sur le crâne et le visage. 24 heures plus tard l’hélicoptère est finalement venu me chercher pour m’emmener à l’hôpital international où j’ai subi une intervention chirurgicale de 2 heures au visage. La bonne nouvelle est qu’il n’y a pas de fractures. Je posterais bien une photo de mon visage mais ça choquerait tout le monde donc je vais m’abstenir lol. #nevergiveup.”
La rédaction de Tahiti Infos souhaite à Jérémy Florès, que beaucoup connaissent bien en Polynésie et qui est par ailleurs le compagnon d'Hinarani De Longeaux notre mIss Tahiti 2012, un prompt rétablissement. SB
“Les pires 24 heures de ma vie. J’ai heurté ma tête sur le récif au milieu de nulle part en Indo, et perdu la mémoire pendant plus d’une heure. J’ai de profondes coupures partout sur le crâne et le visage. 24 heures plus tard l’hélicoptère est finalement venu me chercher pour m’emmener à l’hôpital international où j’ai subi une intervention chirurgicale de 2 heures au visage. La bonne nouvelle est qu’il n’y a pas de fractures. Je posterais bien une photo de mon visage mais ça choquerait tout le monde donc je vais m’abstenir lol. #nevergiveup.”
La rédaction de Tahiti Infos souhaite à Jérémy Florès, que beaucoup connaissent bien en Polynésie et qui est par ailleurs le compagnon d'Hinarani De Longeaux notre mIss Tahiti 2012, un prompt rétablissement. SB
