Michel a pu s'extraire du round de repêchages
RIO DE JANEIRO, le 17 mai 2016. Après une année 2015 compliquée, Michel Bourez a démarré 2016 avec la « gniaque » qu’on lui connaît. Il termine à la 13e place lors de la 1e épreuve, le Quiksilver Pro, puis il enchaine avec une belle 5e place en accédant aux quarts de finale du Rip Curl Pro avant d’obtenir une nouvelle 13e place lors de la 3e compétition australienne du championnat du monde, le Margaret River Pro.
Lors de son année « magique », 2014, celle qu’il avait terminée à la 5e position, Michel avait gagné la compétition à Rio. Il a abordé la compétition à la 13e place du classement général. Dans le round 1, il a été confronté à Nat Young et Alex Ribeiro, il n’a pas pu remporter sa série, terminant deuxième avec un total sur deux vagues de 9.37 derrière Nat Young qui lui a totalisé 15.04.
Il a donc été contraint de passer par le round 2, un round de repêchage éliminatoire, contre le « rookie » Connor Coffin. Il parvient a battre le jeune Américain avec un total de 13.50 contre 11.74, Coffin était pourtant dans le top 5 après les deux premières épreuves. Après les 3-4 premières épreuves, les surfeurs semblent se caler dans « leur place », après les surprises des premières compétitions.
Remporter la série du round 1 et éviter le round 2 ne lui a pas vraiment porté chance en ce début de saison, puisqu’il est sorti par deux fois au round 3 après avoir remporté sa série du round 1. Au contraire, son accès aux quarts au Rip Curl Pro s’est fait après être passé par les repêchages du round 2. Comment l’expliquer ? Le hasard, le fait de pouvoir surfer une série de plus et de s’habituer ainsi un peu plus à la vague ?
Il sera opposé lors de ce round 3 éliminatoire à l’Australien Matt Banting qui est actuellement 28e.
Lors de son année « magique », 2014, celle qu’il avait terminée à la 5e position, Michel avait gagné la compétition à Rio. Il a abordé la compétition à la 13e place du classement général. Dans le round 1, il a été confronté à Nat Young et Alex Ribeiro, il n’a pas pu remporter sa série, terminant deuxième avec un total sur deux vagues de 9.37 derrière Nat Young qui lui a totalisé 15.04.
Il a donc été contraint de passer par le round 2, un round de repêchage éliminatoire, contre le « rookie » Connor Coffin. Il parvient a battre le jeune Américain avec un total de 13.50 contre 11.74, Coffin était pourtant dans le top 5 après les deux premières épreuves. Après les 3-4 premières épreuves, les surfeurs semblent se caler dans « leur place », après les surprises des premières compétitions.
Remporter la série du round 1 et éviter le round 2 ne lui a pas vraiment porté chance en ce début de saison, puisqu’il est sorti par deux fois au round 3 après avoir remporté sa série du round 1. Au contraire, son accès aux quarts au Rip Curl Pro s’est fait après être passé par les repêchages du round 2. Comment l’expliquer ? Le hasard, le fait de pouvoir surfer une série de plus et de s’habituer ainsi un peu plus à la vague ?
Il sera opposé lors de ce round 3 éliminatoire à l’Australien Matt Banting qui est actuellement 28e.
Un spot peu apprécié de certains compétiteurs semble-t-il
Une hécatombe de forfaits
De nombreux forfaits ont été à déplorer lors de cette 4e étape du WCT. Taj Burrow est désormais à la retraite, Owen Right toujours arrêté en raison de la commotion cérébrale dont il a été victime à Hawai’i en décembre, Bede Durbidge toujours en convalescence suite à sa fracture du bassin et Joel Parkinson suite à sa blessure du genou. Mick Fanning a pris comme prévu sa « pause » après son début de saison en Australie.
Kai Otton a déclaré forfait pour « raison personnelles ». Kelly Slater a fait un début de saison catastrophique qui l’a placé à la 28e place, déclarant lui aussi forfait sans être blessé. Rio est une étape à l’enjeu économique certain pour la WSL. Pour autant, le choix du spot est décrié par plusieurs surfeurs, comme Jérémy Florès ou Adrian Buchan, forfait lui aussi, qui a été victime en 2015 de maux de ventre pendant, et trois semaines après, la compétition. SB
Adrian Buchan s’était exprimé ainsi avant l’édition 2016 : « Bien sûr, Rio est un événement extrêmement lucratif pour le Tour qui attire une foule immense et enthousiaste. Mais je pense que c'est désormais très clair pour tout le monde. Si, cette année encore, les vagues ne sont pas bonnes et que les surfeurs tombent malades (NDLR en raison de la pollution de l'eau), il faudra envisager d’aller ailleurs. »
De nombreux forfaits ont été à déplorer lors de cette 4e étape du WCT. Taj Burrow est désormais à la retraite, Owen Right toujours arrêté en raison de la commotion cérébrale dont il a été victime à Hawai’i en décembre, Bede Durbidge toujours en convalescence suite à sa fracture du bassin et Joel Parkinson suite à sa blessure du genou. Mick Fanning a pris comme prévu sa « pause » après son début de saison en Australie.
Kai Otton a déclaré forfait pour « raison personnelles ». Kelly Slater a fait un début de saison catastrophique qui l’a placé à la 28e place, déclarant lui aussi forfait sans être blessé. Rio est une étape à l’enjeu économique certain pour la WSL. Pour autant, le choix du spot est décrié par plusieurs surfeurs, comme Jérémy Florès ou Adrian Buchan, forfait lui aussi, qui a été victime en 2015 de maux de ventre pendant, et trois semaines après, la compétition. SB
Adrian Buchan s’était exprimé ainsi avant l’édition 2016 : « Bien sûr, Rio est un événement extrêmement lucratif pour le Tour qui attire une foule immense et enthousiaste. Mais je pense que c'est désormais très clair pour tout le monde. Si, cette année encore, les vagues ne sont pas bonnes et que les surfeurs tombent malades (NDLR en raison de la pollution de l'eau), il faudra envisager d’aller ailleurs. »
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