Tahiti, le 8 octobre 2025 - Les mots sont son langage d’amour et son petit cadeau offert aux autres. Tania Roxborogh, qui a démarré par l’écriture de pièces de théâtre s’est ensuite lancée dans l’écriture de romans. Elle présente “Charlie Tangaroa et la créature des abysses” paru en mai chez Au Vent des îles.
C’est avec “Charlie Tangaora and the Creature from the Sea” traduit par Christine Roth en français et paru chez Au Vent des îles sous le titre “Charlie Tangaroa et la créature des abysses” que Tania Roxborogh viendra au Salon du livre. “J'espère également parler du prochain opus de la série qui est en cours de traduction en français, Charlie Tangaroa et le Dieu de la Guerre”, annonce l’autrice.
C’est avec “Charlie Tangaora and the Creature from the Sea” traduit par Christine Roth en français et paru chez Au Vent des îles sous le titre “Charlie Tangaroa et la créature des abysses” que Tania Roxborogh viendra au Salon du livre. “J'espère également parler du prochain opus de la série qui est en cours de traduction en français, Charlie Tangaroa et le Dieu de la Guerre”, annonce l’autrice.
Née à Christchurch, dans l'île du sud de la Nouvelle-Zélande, elle a passé la majeure partie de son enfance à voyager à travers le pays, vivant dans différentes fermes, différentes maisons et fréquentant différentes écoles. “J'ai conservé ce mode de vie quelque peu nomade à l'âge adulte”, précise-t-elle-même si elle est désormais installée dans une petite ville rurale du Canterbury dans l’Île du Sud.
“J'ai toujours aimé raconter des histoires et divertir”, poursuit Tania Roxborogh. Mais elle a commencé à écrire une fois adulte. Elle a débuté par des pièces de théâtre pour ses élèves de théâtre. Après les avoir publiées, elle a pensé avoir le talent nécessaire pour écrire un roman. “Les mots sont mon langage d'amour et mon cadeau aux autres.” Elle a dû apprendre beaucoup de choses sur l'écriture : la rédaction, la révision, la structure du récit, etc. Son premier roman a été publié en 1997. “Ce roman me permettait de raconter une expérience personnelle, tout en maîtrisant le récit – et la fin.” Nombre de ses premiers romans s'inspiraient de ses aventures d'enfant et d'adolescent. “Je crois en l'importance de continuer à raconter nos histoires et je pense également que notre savoir autochtone – ou mātauranga – devrait avoir le même statut que le savoir hégémonique des colons anglais.”
En pensant au thème du salon elle se dit “inquiète pour l'avenir – pour la planète, pour les peuples autochtones ou pour tout groupe marginalisé. Mais je crois au pouvoir des histoires et de l'art pour nous rappeler ce que nous avons et ce que nous pouvons faire. Mon optimisme est toujours là, mais un peu ébranlé par ce qui se passe dans le monde.”
Pour autant, elle adore ce thème. Elle reprend à ce sujet un dicton maori : “Kia whakatōmuri te haere te whakamua”. Cela signifie “Je marche à reculons vers l'avenir, les yeux fixés sur le passé.”
“J'ai toujours aimé raconter des histoires et divertir”, poursuit Tania Roxborogh. Mais elle a commencé à écrire une fois adulte. Elle a débuté par des pièces de théâtre pour ses élèves de théâtre. Après les avoir publiées, elle a pensé avoir le talent nécessaire pour écrire un roman. “Les mots sont mon langage d'amour et mon cadeau aux autres.” Elle a dû apprendre beaucoup de choses sur l'écriture : la rédaction, la révision, la structure du récit, etc. Son premier roman a été publié en 1997. “Ce roman me permettait de raconter une expérience personnelle, tout en maîtrisant le récit – et la fin.” Nombre de ses premiers romans s'inspiraient de ses aventures d'enfant et d'adolescent. “Je crois en l'importance de continuer à raconter nos histoires et je pense également que notre savoir autochtone – ou mātauranga – devrait avoir le même statut que le savoir hégémonique des colons anglais.”
En pensant au thème du salon elle se dit “inquiète pour l'avenir – pour la planète, pour les peuples autochtones ou pour tout groupe marginalisé. Mais je crois au pouvoir des histoires et de l'art pour nous rappeler ce que nous avons et ce que nous pouvons faire. Mon optimisme est toujours là, mais un peu ébranlé par ce qui se passe dans le monde.”
Pour autant, elle adore ce thème. Elle reprend à ce sujet un dicton maori : “Kia whakatōmuri te haere te whakamua”. Cela signifie “Je marche à reculons vers l'avenir, les yeux fixés sur le passé.”