PAPEETE, le 23 aout 2016 - Ernestine T. était jugée en son absence pour des violences volontaires sans ITT commises le 28 décembre 2015 à Moorea : elle avait tenté de mettre le feu au fare familial. Elle a été condamnée à huit mois de prison avec sursis.
L'affaire remonte au 28 décembre 2015. Selon les éléments de l'enquête lus au procès, sans qu'une seule des parties citées ne soit présente, nous apprenons que Ernestine T. a tenté de mettre le feu au fare familial lors d'une violente dispute avec son concubin. Il semblerait qu'il lui avait annoncé son intention de la quitter.
Très fâchée avec sa belle-famille, qui considère qu'elle ne fait rien et qu'elle ne s'occupe pas bien de ses enfants, Ernestine a rejeté sur eux sa mauvaise fortune, et a tenté de jeter une pierre sur la grand-mère de son tane. Elle a manqué de peu sa cible ainsi qu'un gendarme présent sur place pour tenter de la calmer. Cette scène s'est déroulée peu après qu'elle a frappé son tane avec un grand bâton, qu'elle a aussi utilisé pour tenir sa belle-famille à distance. Le pire événement de la soirée venait encore avant, quand elle avait utilisé l'essence de la débroussailleuse pour en imbiber le matelas et des tas de linge, avant d'y mettre le feu. L'incendie n'a, heureusement, pas pris. Son acte était destiné, explique-t-elle aux gendarmes, à obliger son tane à assumer ses paroles et à rentrer chez ses parents, tandis qu'elle serait rentrée chez les siens. Le couple a trois enfants en commun.
Le tane a refusé de porter plainte, et aucun témoin, victime ou accusé n'était au procès. Les gendarmes n'avait pas fait les relevés sur la scène de crime le soir de l'événement, décidant de revenir le lendemain. À leur retour, le fare était totalement nettoyé et aucun élément de preuve n'a pu être relevé… Ernestine écopera tout de même de 8 mois de prison avec sursis pour violences volontaires sans ITT commises par un concubin.
L'affaire remonte au 28 décembre 2015. Selon les éléments de l'enquête lus au procès, sans qu'une seule des parties citées ne soit présente, nous apprenons que Ernestine T. a tenté de mettre le feu au fare familial lors d'une violente dispute avec son concubin. Il semblerait qu'il lui avait annoncé son intention de la quitter.
Très fâchée avec sa belle-famille, qui considère qu'elle ne fait rien et qu'elle ne s'occupe pas bien de ses enfants, Ernestine a rejeté sur eux sa mauvaise fortune, et a tenté de jeter une pierre sur la grand-mère de son tane. Elle a manqué de peu sa cible ainsi qu'un gendarme présent sur place pour tenter de la calmer. Cette scène s'est déroulée peu après qu'elle a frappé son tane avec un grand bâton, qu'elle a aussi utilisé pour tenir sa belle-famille à distance. Le pire événement de la soirée venait encore avant, quand elle avait utilisé l'essence de la débroussailleuse pour en imbiber le matelas et des tas de linge, avant d'y mettre le feu. L'incendie n'a, heureusement, pas pris. Son acte était destiné, explique-t-elle aux gendarmes, à obliger son tane à assumer ses paroles et à rentrer chez ses parents, tandis qu'elle serait rentrée chez les siens. Le couple a trois enfants en commun.
Le tane a refusé de porter plainte, et aucun témoin, victime ou accusé n'était au procès. Les gendarmes n'avait pas fait les relevés sur la scène de crime le soir de l'événement, décidant de revenir le lendemain. À leur retour, le fare était totalement nettoyé et aucun élément de preuve n'a pu être relevé… Ernestine écopera tout de même de 8 mois de prison avec sursis pour violences volontaires sans ITT commises par un concubin.
