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Nicole Sanquer tacle l'attitude des syndicats enseignants


PAPEETE, le 13 février 2015. Les tensions entre la ministre de l'Education et les syndicats ne faiblissent pas. Dernier point d'achoppement : la sélection des dossiers pour les affectations de la prochaine rentrée. Nicole Sanquer annonce avoir donné priorité aux stagiaires polynésiens qui seront affectés au fenua.
Ce lundi 9 février, plusieurs syndicats de l'enseignement ont décidé de ne pas siéger en commission consultative paritaire. Ils dénonçaient «le non-respect du paritarisme». Cette commission est notamment chargée d'étudier les dossiers des candidats aux postes au fenua. «Encore une fois, les droits des représentants des élus du personnel sont bafoués par le ministère local et par le vice-rectorat», commentait alors Françoise Hauata, secrétaire territoriale de la Fédération syndicale unitaire (FSU).

Une attitude que la ministre de l'Education Nicole Sanquer "n'apprécie pas". "Les syndicats ont décidé de m'interpeller par voie de presse. Mais à chaque fois qu'ils ont demandé à me rencontrer, je les ai reçus. J''ai montré que j'étais ouverte au dialogue", explique-t-elle. "D'après les derniers écrits des syndicats, ils ne sont pas pour la cogestion. Il y a sérieusement une attitude que je n'apprécie pas, un peu de mauvaise foi et surtout de la désinformation sur les intentions de la ministre."

Lundi, les syndicats reprochaient à la ministre de ne pas pouvoir étudier tous les dossiers : un tri ayant déjà été fait entre les candidatures avec un avis favorable et celles qui ont un avis défavorable."Depuis décembre, je travaille avec les services du vice-rectorat pour étudier le mouvement de cette année. Avec les inspecteurs d'académie, nous nous sommes mis d'accord sur mes priorités. La première est de pouvoir rapatrier tous nos néo-titulaires en Polynésie", explique la ministre. "J'ai 14 personnes qui étaient stagiaires cette année qui seront titularisés au mois de juin et qui demandent un retour. C'est un débat que j ai mené avec Paris. Normalement les néo-titulaires doivent rester en affectation en métropole pendant deux ans. La priorité était de rapatrier tous les néo-titulaires polynésiens en Polynésie à la prochaine rentrée."

Une explication qui ne satisfait pas les syndicats. «Elle ne répond pas à nos revendications», souligne Yann Lucas, secrétaire académique de Snetaa FO. «Si la ministre veut créer un pôle d'excellence, c'est très bien. Mais encore faut-il connaître les critères».

Rédigé par Mélanie Thomas le Vendredi 13 Février 2015 à 14:56 | Lu 3218 fois
           



Commentaires

1.Posté par SYMPTEX le 13/02/2015 15:50 | Alerter
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Le secrétaire académique du Snetta FO !! Quel titre pompeux quand on ne maîtrise pas le sujet !! ça craint quand même pour un représentant syndical ! Ne parlons même pas de la crainte pour nos élèves !!! (Kézaco "des élèves" ???). A mais oui c'est vrai, ch'uis bêêêêête et pourtant vos actions sont claires : vos préoccupations ce sont les enseignants métropolitains (qui veulent venir se dorer la pilule et le portefeuille chez nous et que vous voudriez bien faire venir parce que ce sont des proches, des connaissances, bref.....) et pas ces bestioles qu'on appelle "élèves", j'avais oublié !!! Faut aller voir l'Etat pa'i si tu veux une réponse et pas la ministre de PF !! Révise les champs de compétences de chacun et leurs limites avant de vouloir plomber une rentrée scolaire et nos enfants par là même !!

2.Posté par tortue verte le 13/02/2015 17:13 | Alerter
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La ministre travaille d'un commun accord avec le VR, c'est une bonne chose. C'est dommage qu'elle n'arrive pas à faire le lien avec les syndicats qui défendent les droits de tous les enseignants : ce qu'ils demandent, c'est la publication des critères qui motivent les avis favorables et les avis défavorables, de manière à ce que la transparence fasse taire les soupçons de copinage et de clientélisme. Pas de problèmes s'il faut rapatrier les Néo-titulaires. Pas de problèmes avec les critères financiers, ceux du parcours professionnel, etc... Le problème n'est pas la définition de critère mais le fait que ces critères ne soient pas connus. Certains collègues qui font leur demande et qui ont la réponse "avis défavorable" ont l'impression qu'ils sont rejetés car on les juge "mauvais", ou "pas assez bons", alors que ce n'est pas forcément le cas. Moi ce que j'espère c'est une réelle publication des différents critères, et pas forcément seulement à destination des syndicats, mais à destination de tous les enseignants, lorsque le VR leur envoie l'accusé de réception.

3.Posté par Honu DEMER le 13/02/2015 18:50 | Alerter
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DEMER
Soit la métropole donne les pleins pouvoirs à la Polynésie en matière d’éducation, soit elle les garde. Les différents services se télescopent et se chamaillent pour des futilités. Au final on palabre, on dénonce, mais rien n'est fait pour améliorer l'éducation en Polynésie! Concernant le rapatriement des "néo-titulaires", il y a du travail. Ce que les syndicats semblent dénoncer, c'est le maintien de contractuels en poste au détriment de néo-titulaires certifiés ou agrégés. Ce que certains dénoncent également, c'est de brader la profession en titularisant des «faisant de fonction », des contractuels ou des surveillants au plus haut grade de la fonction publique (chefs d’établissement, enseignants et CPE).

4.Posté par Honu DEMER le 13/02/2015 18:56 | Alerter
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DEMER
(fin)
La Polynésie a déjà usée de cette pratique en masse il y a des années et on voit le résultat chaque jour dans certaines écoles. Enfin, il y a les "copains intouchables", ceux qui bénéficient de traitements spéciaux et qui, malgré leur incompétence avérée arrivent on ne sait comment à obtenir les palmes académiques, la hors classe et les meilleurs établissements. Il ne tient donc qu’à Mme la Ministre de nous démontrer sa réelle utilité.

5.Posté par Kaddour le 14/02/2015 10:10 | Alerter
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C'est vrai que les syndicats sont des empêcheurs de ronronner en paix ! Même si ce sont les seules instances donnant un "semblant" de démocratie aux commissions paritaires face à l'autoritarisme des dirigeants !!! Mais il est vrai que la démocratie, de nos jours, tout le monde s'en tape..... Sauf ceux qui ne sont pas "feti'i de" ou "copain avec" des gens "bien placés" .....
Rapatrier les "néo-titulaires polynésiens" ?? Why not ? Leur capacité face au élèves n'a aucune importance puisque qu'ils sont "locaux" ! Aprés tout, quand on connait les salaires des enseignants, les élèves et la transmission d'un savoir n'a que peu d'importance .... LOL
Vive l'indépendance et la loi des "chefs" !!!

6.Posté par Lyna le 14/02/2015 10:40 | Alerter
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Beaucoup de phrases de Mme la ministre commence par "je". Un ministre appartient a un gouvernement, çà une majorité (?). Le "nous" va mieux... Un travail ministériel, ce n'est pas un travail d'une personne, mais d'une équipe .... Le "nous est plus respectueux de la réalité .... Et dans l'éducation, c'est encore plus vrai, vu les relations historiques paritaires. Mme Sanquer n'a pas encore appris .... Qui veut aller loin, ménage sa monture .....

7.Posté par Noyer le poisson ... le 14/02/2015 11:30 | Alerter
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Cher SYMPTEX.
Relisez vous aussi les champs de compétence. Mme le Ministre CHOISIT les personnels affectés en Polynésie. Elle peut bien entendu se faire aider par des avis du vice rectorat mais en aucun cas celui-ci n'a le droit d'écarter à priori des candidats. Accepter cette situation revient pour Mme le Ministre à revenir en arrière par rapport au statut d'autonomie et à ses champs de compétence.
Par ailleurs, elle ne répond pas sur le fond du problème et le déplace sur celui, plus vendeur, de la protection des néotitulaires polynésiens. Depuis toujours, ceux-ci bénéficient d'une priorité à l'affectation en Polynésie qui est matérialisée par le barème disponible sur les sites de la DES et de la DGEE.

8.Posté par Noyer le poisson ... suite et fin le 14/02/2015 11:30 | Alerter
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Pour finir, en ce qui concerne le dorage de pilule et de portefeuille, je me permets de vous rappeler que les enseignants titulaires polynésiens bénéficient du même traitement mensuel que ceux venant de l'extérieur puisqu'ils sont fonctionnaires d'état.
Votre intervention est la preuve de votre méconnaissance du sujet et d'une bonne dose de désinformation pour les lecteurs de ce site.
Cordialement à vous.
PS : inutile de vous défouler, je n'interviens jamais qu'une fois ...

9.Posté par joyen jean-marie le 15/02/2015 07:13 | Alerter
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la polynésie aux polynésiens - le vice rectorat n'a pas à interférer dans le processus des mutations ou affectations - nicolas sanquer en son temps ne l'admettait pas - et il avait raison - j'ai toujours en mémoire le comportement de certains syndicalistes du second degré qui derrière braillaient contre le ministre et qui par ailleurs venaient lui manger dans la main pour obtenir certaines faveurs - cimm ou autres - en faisant même intervenir jean- luc mélenchon -j'avais eu son chef cab - au tél - alors, svp, un peu de retenu

10.Posté par Timy le 15/02/2015 09:26 | Alerter
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C’est immense ce que nous gagnerions tous, si enfin on arretait tous les priviléges et on abolissait les salaires indexés des fonctionnaires d’état et du pays pour les mettre au niveau normal. Nous gagnerions déjà en ayant des vrais politiques, de vrais élus qui se donnent au peuple non pas pour de l’argent mais par conviction et pour les fonctionnaires ce serait à peu près la même chose, il y aurait tellement moins de ragnagnas et des jalousies stériles et improductives. Et surtout ça nous couterait tellement moins cher !

11.Posté par tortue verte le 15/02/2015 12:50 | Alerter
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Timy : faut savoir si tu veux des personnes qualifiées, que tu payes en tant que tel, ou bien si tu estimes que le niveau bac suffit pour enseigner et à ce moment là tu donnes le smic... Toi tu bosses par plaisir, ou bien pour gagner un peu d'argent ? Perso j'aime mon métier, mais si je gagnais au loto, je n'irais pas bosser, la vie est trop courte, je ferais le tour du monde. Maintenant regarde le prix de l'éducation de qualité dans les pays anglo-saxons : l'éducation dans le domaine public est mauvaise et mal payée par rapport au privé qui est très cher et bien payé. Tu veux qu'on en arrive là, avec une éducation de qualité pour les riches et une éducation bas de gamme pour les pauvres ?

12.Posté par wakrap le 16/02/2015 01:51 | Alerter
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Mauvaise foi ou position cryptosyndicale de tortue. La privatisation de l'éducation est une nécessité. A l'heure des MOOC, il est aussi ridicule de parler de système d'éducation public que de monopole de production de tomate. La privatisation totale de l'éducation peut s' accorder avec le principe des chèques scolaires, cas de la Suède. En Angleterre le meilleur collège est public dans les dernières évaluations mais son directeur à une totale liberté de recrutement, gestion et pédagogique. Il est plus que temps de jeter dans les poubelles de l'histoire le statut public et l'Ed Nat.

13.Posté par PAT le 16/02/2015 07:28 | Alerter
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@ noyer le poisson faut pas se la peter comme ça encore un prof sans doute je n'interviens qu'une fois le deuxième t'es mort.......
Pour ce qui est de la désinformation tu n'es pas mauvais non plus : parler de traitement mensuel OK mais n'oublie pas les primes perçues pour l'éloignement , l'installation, le logement, les alloc indexée et tout le tintouin Alors s'il te plais !!!!!

14.Posté par tortue verte le 16/02/2015 07:44 | Alerter
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Wakrap : je n'ai jamais été syndiquée, pour info...

15.Posté par Kedupipo le 16/02/2015 07:47 | Alerter
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Trop fière cette ministre, quand elle se fera éjecter, elle va l'avoir mal ensuite....

16.Posté par tortue verte le 16/02/2015 07:50 | Alerter
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wakrap : et sinon je t'invite à regarder un reportage qui montre les limites et les faiblesses du système suédois...

http://info.arte.tv/fr/lechec-de-la-privatisation-des-ecoles-en-suede

17.Posté par Toahere le 16/02/2015 10:11 | Alerter
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Nous avons pris le truck fleuri du bon sens pour faire le tour de l’EDUCATION.
On est parti de : J’APPRENDS pour aller à J’APPLIQUE.
On est passé par : JE M’APPROPRIE et J’AMELIORE.
Enfin, on est arrivé à JE TRANSMETS.
Quel beau voyage on a fait !

18.Posté par Honu DEMER le 16/02/2015 10:16 | Alerter
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DEMER
@ WAKRAP
Ni l'un ni l'autre, la tortue n'est ni bolchévique, ni syndiquée, ni même fonctionnaire ou dans l'enseignement...la tortue fait juste le constat (très subjectif je le concède) de l’immobilisme récurant des nombreux « ministres » (de l’Éducation) successifs de Polynésie, et ce malgré la liberté qu’ils possèdent au regard des textes (lois organiques). Je dirais donc que la tortue faisait un peu de provoc’ :)

19.Posté par Honu DEMER le 16/02/2015 10:17 | Alerter
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DEMER
(suite)
Oubliez l’Angleterre et autres MOOC, vous faites fausse route (systèmes renforçant les inégalités). Cependant, votre passage sur le système Suédois est très pertinent et mérite vraiment d’être débattu. Contrairement à vous, je n’emploierais pas le terme « privatisation » et « totale ». Le système scolaire est loin d’être totalement privatisé en Suède puisque l’école publique existe encore et reste toujours plébiscité par les Suédois. Ensuite, peut-on réellement parler de « privatisation » lorsque ces « chèques scolaires » - je lui préfère le terme de « chèque éducation » mais je pinaille, sont directement versés aux écoles et non aux parents. Ce qui fait d’elles des activités subventionnées par l’Etat et non par leurs clients directs : les Parents.

20.Posté par Honu DEMER le 16/02/2015 10:19 | Alerter
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DEMER
(fin)
C’est donc une fausse « privatisation » puisque les prix sont fixés par l’Etat et non soumis à concurrence. De plus, nous avons suffisamment de recul pour faire un bilan du système Suédois. Il était encourageant à court terme, mais a montré ses limites rapidement. Depuis que le système PISA a été mis en place (année 2000) la Suède ne cesse de dégringoler dans les résultats. La presse Suédoise le concède également : http://www.thelocal.se/20131203/sweden-slides-in-global-education-rank-pisa-students-schools
Je vous conseille vivement d’étudier certains chiffres des rapports PISA et vous verrez que la Suède et très mal classée !!!

21.Posté par Honu DEMER le 16/02/2015 10:21 | Alerter
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DEMER
@ WAKRAP
Pardon, j'avais pas remarqué que vous vous adressiez à Tortue Verte, mea culpa pour le premier paragraphe...mais vous pouvez toujours réagir sur les seconds et troisièmes paragraphes si vous le souhaitez :)

22.Posté par wakrap le 16/02/2015 14:06 | Alerter
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Arte, la chaîne de propagande. Les résultats PISA suffisent à montrer que leurs résultats sont bien devant nous. Pour le reste, les suédois en sont enchantés, et c'est le principal. Il sont satisfaits et leurs résultats sont meilleurs dans les enquêtes, et ils reviennent de loin. On peut encore améliorer, génial pour eux, et nous serons encore plus minables en comparaison dans les enquêtes. Ednat, 6 ème employeur mondial et 20% d'une classe d'âge qui lit mal. Faut avoir été opéré de la honte pour défendre ce machin obèse. https://labetiseeconomique.wordpress.com/2010/05/13/l’education-nationale-francaise-6e-employeur-mondial…-et-pourtant/

23.Posté par tortue verte le 16/02/2015 14:32 | Alerter
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wakrap : puisque vous plébiscitez les résultats PISA ... La France est 25è, la Suède 38è. Donc non, ils ne sont pas largement devant nous, mais derrière nous. Et si nous avons reculé dans ce classement, la Suède a encore plus reculé. D'autre part, le bilan financier de ce système est déficitaire. Non, franchement, je crois qu'il faut dépasser le clivage public/privé. ce qu'il faut, c'est de la vraie formation pour les enseignants, et des vrais moyens sans classe surchargée. Oui, ça coûte cher.

24.Posté par tortue verte le 16/02/2015 14:34 | Alerter
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Honu : eh oui, nous sommes au moins deux tortues sur ce site ^^

25.Posté par huahine for ever le 16/02/2015 16:05 | Alerter
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"Arte, la chaîne de propagande" ...
Comment perdre toute crédibilité en moins de 30 caractères :-)
Bon, je te rassure, le troll orange, Emere pour ne pas la citer, détient toujours le record, avec ... 0 caractère

26.Posté par wakrap le 16/02/2015 17:11 | Alerter
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Oui la Suède souffre et justement intensifie la liberté, maintenant un groupe de 5 familles peut ouvrir une école. Date est prise pour observer leur remontée. Cette liberté va intensifier la concurrence éducative avec les résultats PISA et nul doute que la réaction d'adaptation et de réforme n'en sera que bien plus rapide. Le montant de chèques éducation va aussi être augmenté.
Cette concurrence internationale qui naît avec ces enquêtes ne peut que détruire l'inertie du machin 6 ème employeur mondial turbocentralisé et en cogestion avec des syndicats politisés.

27.Posté par tortue verte le 16/02/2015 19:21 | Alerter
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la BBC donne un autre classement où l'Educ Nat n'entre pas dans le top 10 :

1. Ministère de la Défense américain : 3,2 millions de salariés

2. Armée populaire de libération chinoise : 2,3 millions

3. Walmart (chaîne de supermarchés américaine) : 2,1 millions

4. McDonald's : 1,9 million

5. Service public de santé britannique : 1,7 million

6. China National Petroleum Corporation (compagnie pétrolière d'Etat chinoise) : 1,6 million

7. State Grid Corporation of China (fournisseur d'électricité chinois) : 1,5 million

8. Indian Railways (chemins de fer indiens) : 1,4 million

9. Forces armées indiennes : 1,3 million

10. Hon Hai Precision Industry, plus connu sous le nom de Foxconn (fabricant taïwanais de produits électroniques) : 1,2 million

http://www.bbc.com/news/magazine-17429786