TOULOUSE, 31 décembre 2013 (AFP) - La ville tarnaise de Castres se désole: où sont passés la dizaine de pingouins de résine qui décoraient l'un de ses ronds-points pendant les fêtes de fin d'année ?
Les pingouins de 70 ou 80 cm de haut, commandés il y a plusieurs années pour enjoliver un marché de Noël sur la place centrale, étaient traditionnellement ressortis il y a quelques semaines des réserves municipales pour contribuer à l'atmosphère des fêtes.
Les agents municipaux les avaient installés sur l'un des ronds-points d'entrée de ville, en prenant la précaution de les attacher par des câbles à des pieux enterrés pour brider leurs éventuels instincts d'escapade, a rapporté mardi la chargée de communication de la mairie, Sandrine Serrano-Garcès.
Les pingouins ont quand même fait leurs valises et quitté leur banquise urbaine pour une destination inconnue, tout comme un loup grandeur nature parqué sur un autre rond-point. Ailleurs, un autre membre de la faune festive castraise, une licorne, a eu le dos brisé.
Même si elle déplore ces disparitions pour leur coût plus financier qu'environnemental, la mairie, habituée à voir disparaître les boules, voire les sapins de Noël en cette période, juge vain de porter plainte, a dit sa porte-parole. Elle doute de ses chances de voir ses pingouins resurgir dans les jardins de drôles d'oiseaux castrais. Elle est sûre au moins qu'ils ne sont pas allés rendre visite aux "marsouins" du 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine.
Les pingouins de 70 ou 80 cm de haut, commandés il y a plusieurs années pour enjoliver un marché de Noël sur la place centrale, étaient traditionnellement ressortis il y a quelques semaines des réserves municipales pour contribuer à l'atmosphère des fêtes.
Les agents municipaux les avaient installés sur l'un des ronds-points d'entrée de ville, en prenant la précaution de les attacher par des câbles à des pieux enterrés pour brider leurs éventuels instincts d'escapade, a rapporté mardi la chargée de communication de la mairie, Sandrine Serrano-Garcès.
Les pingouins ont quand même fait leurs valises et quitté leur banquise urbaine pour une destination inconnue, tout comme un loup grandeur nature parqué sur un autre rond-point. Ailleurs, un autre membre de la faune festive castraise, une licorne, a eu le dos brisé.
Même si elle déplore ces disparitions pour leur coût plus financier qu'environnemental, la mairie, habituée à voir disparaître les boules, voire les sapins de Noël en cette période, juge vain de porter plainte, a dit sa porte-parole. Elle doute de ses chances de voir ses pingouins resurgir dans les jardins de drôles d'oiseaux castrais. Elle est sûre au moins qu'ils ne sont pas allés rendre visite aux "marsouins" du 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine.