Samedi 28 septembre 2013. C’est à 20H30 que la finale de la Coupe du Monde a débuté, même si on a franchement eu l’impression d’avoir assisté juste avant la ‘vraie finale’, avec le match palpitant entre Tahiti et le Brésil, truffé de buts spectaculaires, un match qui rentrera dans l’histoire.
La Russie démarre fort et fait le jeu dans cette première période. Les Espagnols sont bons techniciens et parviennent à revenir un peu dans le match, s’offrant quelques occasions. Les Russes sont plus physiques, les Espagnols ont des gabarits plus légers et sont plutôt adroits mais ils manquent de réussite. La première période s’achève sur un score nul.
Dès le début du second tiers temps, Anton Shkarin donne l’avantage à la Russie. A partir de là, la Russie fait le ‘break’ en marquant un second but à trois minutes du début de la période, puis un troisième but à mi-période. Les Espagnols tentent de revenir dans le match, une tête espagnole finit sur la barre transversale d’Andrey Bukhlitskiy. Finalement Llorenc place un retourné magistral effectué dans un angle totalement improbable et permet ainsi à l’Espagne de revenir à 3-1 en cette fin de seconde période.
Dans la troisième période, l’Espagne se démène, continue d’attaquer mais les Russes sont trop forts et gèrent parfaitement la situation. Plus aucun but espagnol ne sera marqué, au contraire, les Russes aggraveront le score pour remporter cette finale sur le score sans appel de 5 à 1.
Marco Del Nero le plus haut responsable de la Fifa présent, a remis le trophée de la Coupe du Monde tant convoité à l’équipe Russe, en présence du Président du Pays Gaston Flosse. Une équipe Russe exemplaire qui a également reçu le prix du meilleur fair-play.
Plusieurs distinctions individuelles ont également été décernées.
Bruno Xavier a été doublement couronné par le Ballon d’or Adidas et le Soulier d’argent.
Il est élu meilleur joueur de la compétition et second meilleur buteur avec 10 réalisations.
On se souvient de l’excellente prestation de Ozu Moreira, le Japonais, qui n’était pas là pour recevoir son prix, le Ballon d’argent Adidas du second meilleur joueur de la compétition.
Raimana Li Fung Kuee, pour la plus grande joie du public de To’ata, s’est vu également remettre un prix, le Ballon de bronze Adidas, saluant son parcours exceptionnel pendant cette compétition, ce qui lui permettra certainement d’avaler plus facilement la déception du penalty raté, qui semblait l’accabler en fin de partie.
Le Russe Dimitri Shishin est élu Soulier d’or, il est le meilleur buteur de la compétition avec 11 buts au total. Augustin Ruiz du Salvador, est Soulier de bronze alors que le gardien espagnol Dona est Gant d’or Adidas.
La fête s’est poursuivie en apothéose avec la joie des Russes, le show de Hei Tahiti, la prestation de Sabrina Laughlin avec sa chanson qui a été finalement mémorisée par tous et permettra de se souvenir de tous ces moments extraordinaires. Les Russes et les Espagnols ont rejoint les danseuses au milieu de la scène, les innombrables bénévoles ont été également invités à venir danser. Puis le glas de la fin de cette Coupe du Monde a sonné, avec les embrassades et les larmes des Cheerleaders tahitiennes et étrangères qui se sont prêtées au jeu des photos comme pour essayer de bloquer dans le temps toute cette émotion. SB
La Russie démarre fort et fait le jeu dans cette première période. Les Espagnols sont bons techniciens et parviennent à revenir un peu dans le match, s’offrant quelques occasions. Les Russes sont plus physiques, les Espagnols ont des gabarits plus légers et sont plutôt adroits mais ils manquent de réussite. La première période s’achève sur un score nul.
Dès le début du second tiers temps, Anton Shkarin donne l’avantage à la Russie. A partir de là, la Russie fait le ‘break’ en marquant un second but à trois minutes du début de la période, puis un troisième but à mi-période. Les Espagnols tentent de revenir dans le match, une tête espagnole finit sur la barre transversale d’Andrey Bukhlitskiy. Finalement Llorenc place un retourné magistral effectué dans un angle totalement improbable et permet ainsi à l’Espagne de revenir à 3-1 en cette fin de seconde période.
Dans la troisième période, l’Espagne se démène, continue d’attaquer mais les Russes sont trop forts et gèrent parfaitement la situation. Plus aucun but espagnol ne sera marqué, au contraire, les Russes aggraveront le score pour remporter cette finale sur le score sans appel de 5 à 1.
Marco Del Nero le plus haut responsable de la Fifa présent, a remis le trophée de la Coupe du Monde tant convoité à l’équipe Russe, en présence du Président du Pays Gaston Flosse. Une équipe Russe exemplaire qui a également reçu le prix du meilleur fair-play.
Plusieurs distinctions individuelles ont également été décernées.
Bruno Xavier a été doublement couronné par le Ballon d’or Adidas et le Soulier d’argent.
Il est élu meilleur joueur de la compétition et second meilleur buteur avec 10 réalisations.
On se souvient de l’excellente prestation de Ozu Moreira, le Japonais, qui n’était pas là pour recevoir son prix, le Ballon d’argent Adidas du second meilleur joueur de la compétition.
Raimana Li Fung Kuee, pour la plus grande joie du public de To’ata, s’est vu également remettre un prix, le Ballon de bronze Adidas, saluant son parcours exceptionnel pendant cette compétition, ce qui lui permettra certainement d’avaler plus facilement la déception du penalty raté, qui semblait l’accabler en fin de partie.
Le Russe Dimitri Shishin est élu Soulier d’or, il est le meilleur buteur de la compétition avec 11 buts au total. Augustin Ruiz du Salvador, est Soulier de bronze alors que le gardien espagnol Dona est Gant d’or Adidas.
La fête s’est poursuivie en apothéose avec la joie des Russes, le show de Hei Tahiti, la prestation de Sabrina Laughlin avec sa chanson qui a été finalement mémorisée par tous et permettra de se souvenir de tous ces moments extraordinaires. Les Russes et les Espagnols ont rejoint les danseuses au milieu de la scène, les innombrables bénévoles ont été également invités à venir danser. Puis le glas de la fin de cette Coupe du Monde a sonné, avec les embrassades et les larmes des Cheerleaders tahitiennes et étrangères qui se sont prêtées au jeu des photos comme pour essayer de bloquer dans le temps toute cette émotion. SB
