Genève, Suisse | AFP | mardi 29/11/2021 - La Nina est de retour et durera jusqu'au début 2022, selon l'Organisation météorologique mondiale, mais l'effet de refroidissement de ce phénomène météorologique n'empêchera pas les températures d'être au-dessus de la moyenne sur une bonne partie de la planète.
L'OMM avait prédit que La Nina réapparaîtrait en fin d'année 2021 et estime que le phénomène sera "probablement faible à modéré et plus faible que l'épisode 2020/21", selon un communiqué diffusé mardi.
"Malgré l'effet de refroidissement de ce phénomène climatologique naturel, les températures dans de nombreuses parties dans le monde devraient être au-dessus de la moyenne à cause de la chaleur accumulée dans l'atmosphère, piégée par les niveaux records de gaz à effet de serre", explique l'organisation basée à Genève.
"L'effet de refroidissement de La Nina 2020/2021, qui est ressenti généralement durant la seconde moitié du phénomène, signifie que 2021 se classera parmi les dix années les plus chaudes, plutôt que l'année la plus chaude", a souligné le secrétaire général de l'OMM, Petteri Taalas.
Et de mettre en garde: "Ce n'est qu'un répit de courte durée et ne renverse pas la tendance de réchauffement sur le long-terme ni ne réduit l'urgence d'agir pour le climat".
Selon les nouvelles prévisions de l'OMM, il y a 90% de probabilité que les températures au niveau de la mer dans la partie tropicale du Pacifique restent à des niveaux La Nina jusqu'à la fin 2021, et une probabilité modérée (70 à 80%) que ces températures restent à ces niveaux durant tout le premier trimestre de 2022", souligne encore le communiqué.
L'OMM avait prédit que La Nina réapparaîtrait en fin d'année 2021 et estime que le phénomène sera "probablement faible à modéré et plus faible que l'épisode 2020/21", selon un communiqué diffusé mardi.
"Malgré l'effet de refroidissement de ce phénomène climatologique naturel, les températures dans de nombreuses parties dans le monde devraient être au-dessus de la moyenne à cause de la chaleur accumulée dans l'atmosphère, piégée par les niveaux records de gaz à effet de serre", explique l'organisation basée à Genève.
"L'effet de refroidissement de La Nina 2020/2021, qui est ressenti généralement durant la seconde moitié du phénomène, signifie que 2021 se classera parmi les dix années les plus chaudes, plutôt que l'année la plus chaude", a souligné le secrétaire général de l'OMM, Petteri Taalas.
Et de mettre en garde: "Ce n'est qu'un répit de courte durée et ne renverse pas la tendance de réchauffement sur le long-terme ni ne réduit l'urgence d'agir pour le climat".
Selon les nouvelles prévisions de l'OMM, il y a 90% de probabilité que les températures au niveau de la mer dans la partie tropicale du Pacifique restent à des niveaux La Nina jusqu'à la fin 2021, et une probabilité modérée (70 à 80%) que ces températures restent à ces niveaux durant tout le premier trimestre de 2022", souligne encore le communiqué.