Tahiti, le 6 octobre 2025 - Jeudi 2 octobre à Mama’o, la Kea Kua Art Gallery & Museum soufflait sa première bougie dans une ambiance chaleureuse et vibrante. Près de 200 invités ont répondu à l’appel de Guillaume Proia, fondateur passionné, pour un cocktail dînatoire placé sous le signe de l’art, du partage et du mana.
La Kea Kua Art Gallery & Museum, située à Mama’o, est un lieu singulier. À la fois galerie et musée, il abrite plus de 370 sculptures en bois, pierre et os, issues des îles Marquises, des Australes et des îles de la Société. Mais au-delà de la richesse des œuvres exposées, c’est l’expérience immersive qui marque les esprits : ici, on se déchausse à l’entrée comme dans une maison polynésienne et l’on entre dans un espace sacré où chaque sculpture semble vibrer d’une énergie ancestrale.
Le “Petit musée de Kea Kua”, écrin intime au cœur de la galerie, dévoile la collection personnelle de Guillaume Proia, mais aussi des œuvres de sculpteurs locaux reconnus. Parmi eux, Teiri Morlot, jeune artiste polynésien de 37 ans dont le vernissage coïncidait avec l’anniversaire de la galerie. Sa première exposition révèle une sensibilité brute et puissante, incarnée notamment par sa réinterprétation du dieu A’a. Cette sculpture emblématique, originaire de Rurutu et conservée au British Museum pendant deux siècles, a été recréée en pierre métamorphique de Paea, dans le respect des rituels et des détails originaux. Teiri, guidé par le mana et soutenu par Guillaume Proia, a façonné pendant sept mois une œuvre vivante, fidèle et habitée, qui relie les générations et fait rayonner l’âme polynésienne.
À cette occasion, Guillaume Proia a également annoncé la création de l’association artistique et culturelle Te Mana o te Kea Kua, destinée à prolonger l’esprit du lieu à travers des ateliers, des conférences et des rencontres : une invitation à devenir ambassadeur du musée et à faire partie d’une communauté créative et bienveillante.
La Kea Kua Art Gallery & Museum n’est pas un simple espace d’exposition. C’est un sanctuaire, une passerelle entre les mondes, où l’art devient langage, mémoire et souffle. Une expérience à vivre, à ressentir et à partager.
La Kea Kua Art Gallery & Museum, située à Mama’o, est un lieu singulier. À la fois galerie et musée, il abrite plus de 370 sculptures en bois, pierre et os, issues des îles Marquises, des Australes et des îles de la Société. Mais au-delà de la richesse des œuvres exposées, c’est l’expérience immersive qui marque les esprits : ici, on se déchausse à l’entrée comme dans une maison polynésienne et l’on entre dans un espace sacré où chaque sculpture semble vibrer d’une énergie ancestrale.
Le “Petit musée de Kea Kua”, écrin intime au cœur de la galerie, dévoile la collection personnelle de Guillaume Proia, mais aussi des œuvres de sculpteurs locaux reconnus. Parmi eux, Teiri Morlot, jeune artiste polynésien de 37 ans dont le vernissage coïncidait avec l’anniversaire de la galerie. Sa première exposition révèle une sensibilité brute et puissante, incarnée notamment par sa réinterprétation du dieu A’a. Cette sculpture emblématique, originaire de Rurutu et conservée au British Museum pendant deux siècles, a été recréée en pierre métamorphique de Paea, dans le respect des rituels et des détails originaux. Teiri, guidé par le mana et soutenu par Guillaume Proia, a façonné pendant sept mois une œuvre vivante, fidèle et habitée, qui relie les générations et fait rayonner l’âme polynésienne.
À cette occasion, Guillaume Proia a également annoncé la création de l’association artistique et culturelle Te Mana o te Kea Kua, destinée à prolonger l’esprit du lieu à travers des ateliers, des conférences et des rencontres : une invitation à devenir ambassadeur du musée et à faire partie d’une communauté créative et bienveillante.
La Kea Kua Art Gallery & Museum n’est pas un simple espace d’exposition. C’est un sanctuaire, une passerelle entre les mondes, où l’art devient langage, mémoire et souffle. Une expérience à vivre, à ressentir et à partager.
Teiri Morlot, sculpté par l’océan, guidé par le père
“Cela fait trois ans que je sculpte, après avoir été commercial dans une entreprise de véhicules, en tant que vendeur de pneumatiques”, souligne Teiri Morlot. “J’ai tout quitté pour me consacrer pleinement à ma passion : la sculpture sur basalte volcanique. Je présente ici ma toute première exposition, riche d’une dizaine de créations.”
“Il n’y a pas de thème imposé, mais un fil conducteur se dessine naturellement : l’océan et sa faune, ce milieu qui m’accompagne depuis l’enfance et qui m’a toujours fasciné”, précise-t-il.
“Je suis encore en quête de mon propre style, c’est un travail de longue haleine”, poursuit Teiri. “Je pense ici à mon père, Claude Morlot. J’ai grandi au milieu de ses œuvres, et depuis que j’ai choisi cette voie, il est devenu mon maître absolu. J’en suis fier : j’ai le meilleur maître du monde. Il me conseille, me guide, m’inspire. C’est un échange formidable, et je le remercie humblement de m’avoir permis d’avancer plus vite, fort de son expérience unique.”
“Cela fait trois ans que je sculpte, après avoir été commercial dans une entreprise de véhicules, en tant que vendeur de pneumatiques”, souligne Teiri Morlot. “J’ai tout quitté pour me consacrer pleinement à ma passion : la sculpture sur basalte volcanique. Je présente ici ma toute première exposition, riche d’une dizaine de créations.”
“Il n’y a pas de thème imposé, mais un fil conducteur se dessine naturellement : l’océan et sa faune, ce milieu qui m’accompagne depuis l’enfance et qui m’a toujours fasciné”, précise-t-il.
“Je suis encore en quête de mon propre style, c’est un travail de longue haleine”, poursuit Teiri. “Je pense ici à mon père, Claude Morlot. J’ai grandi au milieu de ses œuvres, et depuis que j’ai choisi cette voie, il est devenu mon maître absolu. J’en suis fier : j’ai le meilleur maître du monde. Il me conseille, me guide, m’inspire. C’est un échange formidable, et je le remercie humblement de m’avoir permis d’avancer plus vite, fort de son expérience unique.”