Comme chaque année, les parents jonglent entre des prix à surveiller et l’envie de faire plaisir aux enfants.
Tahiti, le 29 juillet 2025 - Ça y est, depuis la mi-juillet, la chasse aux fournitures est lancée. Dans les papeteries et les grandes surfaces, les parents s’activent pour cocher les cases des listes scolaires. Un exercice parfois casse-tête, entre des prix toujours à surveiller, une qualité pas toujours au rendez-vous et cette envie tenace de faire plaisir aux enfants.
“Franchement, 10 000 francs pour tout, ça va.” À la papeterie iOBURO, Jérémy, qui entre en première, est venu faire les achats de rentrée avec ses sœurs. Cahiers, stylos, compas, feutres... Tout y passe, sans stress. “C’est la première fois qu’on vient ici, on voulait tester”, sourit Meari. Et le test semble concluant : les rayons sont bien fournis et les prix corrects.
Dans les grandes enseignes comme Carrefour, les classiques s’arrachent. “Les cahiers disparaissent super vite”, note une vendeuse. À 200 francs le 24x32 cm de 96 pages, difficile de faire mieux. Depuis fin-juillet, le rayon scolaire tourne à plein régime, et devrait rester animé jusqu’en septembre.
Mais tous ne font pas leurs achats au même moment. Certains parents viennent tôt, avant de partir en voyage. D’autres attendent les promotions du week-end. Et entre les deux, des profils très différents : “Il y a ceux qui peuvent tout acheter sans compter et ceux qui comparent, demandent des devis”, confie une vendeuse en papeterie.
Le budget reste une vraie question. Marion, mère de deux enfants en primaire, le gère avec méthode “Je leur laisse choisir quelques affaires personnalisées, le reste, je m’en occupe. L’école fournit déjà pas mal.” Cette enseignante insiste sur l’importance de l’écriture. “Je déconseille la tablette. À la maison, ils en ont déjà trop. Il faut préserver la qualité de l’écriture à la main.”
Alexandra, elle, tente de conjuguer fournitures et écologie : “Le cartable est réutilisé, même si ma fille en voudrait un nouveau. Mais c’est compliqué : l’école impose une liste précise, pas toujours compatible avec les produits durables.”
“Franchement, 10 000 francs pour tout, ça va.” À la papeterie iOBURO, Jérémy, qui entre en première, est venu faire les achats de rentrée avec ses sœurs. Cahiers, stylos, compas, feutres... Tout y passe, sans stress. “C’est la première fois qu’on vient ici, on voulait tester”, sourit Meari. Et le test semble concluant : les rayons sont bien fournis et les prix corrects.
Dans les grandes enseignes comme Carrefour, les classiques s’arrachent. “Les cahiers disparaissent super vite”, note une vendeuse. À 200 francs le 24x32 cm de 96 pages, difficile de faire mieux. Depuis fin-juillet, le rayon scolaire tourne à plein régime, et devrait rester animé jusqu’en septembre.
Mais tous ne font pas leurs achats au même moment. Certains parents viennent tôt, avant de partir en voyage. D’autres attendent les promotions du week-end. Et entre les deux, des profils très différents : “Il y a ceux qui peuvent tout acheter sans compter et ceux qui comparent, demandent des devis”, confie une vendeuse en papeterie.
Le budget reste une vraie question. Marion, mère de deux enfants en primaire, le gère avec méthode “Je leur laisse choisir quelques affaires personnalisées, le reste, je m’en occupe. L’école fournit déjà pas mal.” Cette enseignante insiste sur l’importance de l’écriture. “Je déconseille la tablette. À la maison, ils en ont déjà trop. Il faut préserver la qualité de l’écriture à la main.”
Alexandra, elle, tente de conjuguer fournitures et écologie : “Le cartable est réutilisé, même si ma fille en voudrait un nouveau. Mais c’est compliqué : l’école impose une liste précise, pas toujours compatible avec les produits durables.”
Dans les grandes surfaces et les papeteries, les enseignes se livrent à une concurrence féroce à coups de promotions.
Les fournitures pour se concentrer
Et puis, il y a les tendances. Cette année, les rayons se remplissent de trousses pastel, de surligneurs aux teintes rares et d’articles “anti-stress”. Chez la librairie-papeterie Odyssey, on trouve les fournitures Kidy Learn Concentration. Cette gamme a pour but d'améliorer la concentration, éviter les distractions et réduire l'anxiété et le stress à travers un moyen apaisant de s'autoréguler. Exemple avec le crayon à papier qui possède un embout à mâcher en silicone (de qualité alimentaire), non toxique, pensé pour les enfants qui ont besoin de s’occuper les mains – ou la bouche – pour réussir à se concentrer.
Et certains enfants rêvent d’un sac “Kimono” ou d’un crayon à l’effigie de leur héros préféré. Mais tous les parents ne cèdent pas à la mode : “On n’a pas besoin d’un crayon Lilo & Stitch pour apprendre à écrire”, lâche une enseignante et maman d'une fillette de 6 ans en riant
Et puis, il y a les tendances. Cette année, les rayons se remplissent de trousses pastel, de surligneurs aux teintes rares et d’articles “anti-stress”. Chez la librairie-papeterie Odyssey, on trouve les fournitures Kidy Learn Concentration. Cette gamme a pour but d'améliorer la concentration, éviter les distractions et réduire l'anxiété et le stress à travers un moyen apaisant de s'autoréguler. Exemple avec le crayon à papier qui possède un embout à mâcher en silicone (de qualité alimentaire), non toxique, pensé pour les enfants qui ont besoin de s’occuper les mains – ou la bouche – pour réussir à se concentrer.
Et certains enfants rêvent d’un sac “Kimono” ou d’un crayon à l’effigie de leur héros préféré. Mais tous les parents ne cèdent pas à la mode : “On n’a pas besoin d’un crayon Lilo & Stitch pour apprendre à écrire”, lâche une enseignante et maman d'une fillette de 6 ans en riant