La participation a de nouveau été au rendez-vous
Le premier départ a été celui des To’a, il a eu lieu au quai de Vaiare vers 8h30. Avec deux cols à franchir et près de 3 kilomètres sur la plage de corail de Temae, c’est le duo composé de Teiva Izal et Cédric Wane qui a été le plus rapide. Ces derniers bouclent les 18 kilomètres en moins de deux heures, 1H59 exactement.
Dix minutes plus tard, c’est le duo composé de Franck Digonnet et du jeune Etienne Fleure qui arrive pour s’offrir la seconde marche du podium en 2h10’29. Et ce sont les frères Nahei, David et Tupou, qui complètent le podium en 2h18’38s. A noter la belle performance de la première paire mixte composée de Karine Voiturin et Jean Marc Carcy qui arrive 5e au scratch en 2h22’15s.
Dans la course « arearea » de 6 kilomètres, le départ a été donné à 9h sur la plage de Temae avec un col à franchir sur les hauteurs suivi d’une arrivée sur la plage. C’est le binôme Vetea Papa / Eddy Dessolier qui franchit la ligne d’arrivée en premier en 31’29s. Le duo Tama Winsy/Tamatea Ariitea prend la seconde place en 31’57s et la paire Marama Teavai / Olson Wesley complète le tiercé en 32’59s. Pure Nena / Sport Tahiti
Dix minutes plus tard, c’est le duo composé de Franck Digonnet et du jeune Etienne Fleure qui arrive pour s’offrir la seconde marche du podium en 2h10’29. Et ce sont les frères Nahei, David et Tupou, qui complètent le podium en 2h18’38s. A noter la belle performance de la première paire mixte composée de Karine Voiturin et Jean Marc Carcy qui arrive 5e au scratch en 2h22’15s.
Dans la course « arearea » de 6 kilomètres, le départ a été donné à 9h sur la plage de Temae avec un col à franchir sur les hauteurs suivi d’une arrivée sur la plage. C’est le binôme Vetea Papa / Eddy Dessolier qui franchit la ligne d’arrivée en premier en 31’29s. Le duo Tama Winsy/Tamatea Ariitea prend la seconde place en 31’57s et la paire Marama Teavai / Olson Wesley complète le tiercé en 32’59s. Pure Nena / Sport Tahiti
Le duo Wane-Izal a gagné avec plus de 10 minutes d'avance
Teiva Izal au micro de sportstahiti.com :
« Cela a été très difficile aujourd’hui, surtout que le départ a été donné à 8h30 donc assez tardivement avec le soleil du jour. On voulait vraiment gagner cette course avec Cédric, on forme un duo homogène. On est parti très fort dès le départ car on voulait creuser l’écart. Dans la côte, on savait que l’on n’allait pas se faire rattraper car on avait pris une bonne avance. Je remercie Cédric de m’avoir beaucoup encouragé dans les côtes et vice et versa dans les descentes. »
« On pensait que l’on allait souffler un petit peu lors des trois derniers kilomètres sur les cailloux à Temae mais cela a aussi été très difficile. Cela fait toujours plaisir de venir gagner au Raid Painapo. Je remercie toute l’organisation, la population de Moorea qui s’est mobilisée pour cette course et les riverains qui ont bien voulu accepter que l’on passe sur leurs terres. Je remercie le seigneur et je dédie cette victoire à mon oncle Daniel Izal qui vient de partir. »
« Cela a été très difficile aujourd’hui, surtout que le départ a été donné à 8h30 donc assez tardivement avec le soleil du jour. On voulait vraiment gagner cette course avec Cédric, on forme un duo homogène. On est parti très fort dès le départ car on voulait creuser l’écart. Dans la côte, on savait que l’on n’allait pas se faire rattraper car on avait pris une bonne avance. Je remercie Cédric de m’avoir beaucoup encouragé dans les côtes et vice et versa dans les descentes. »
« On pensait que l’on allait souffler un petit peu lors des trois derniers kilomètres sur les cailloux à Temae mais cela a aussi été très difficile. Cela fait toujours plaisir de venir gagner au Raid Painapo. Je remercie toute l’organisation, la population de Moorea qui s’est mobilisée pour cette course et les riverains qui ont bien voulu accepter que l’on passe sur leurs terres. Je remercie le seigneur et je dédie cette victoire à mon oncle Daniel Izal qui vient de partir. »
Les scolaires ont répondu en nombre à ce raid Painapo, ici avec le Collège de Tipaerui encadré par Terupehe Nena, professeur d’EPS
