SYDNEY, 08 jan 2013 (AFP) - Les feux de brousse, qui se sont déclarés à travers l'État le plus peuplé d'Australie, ont échappé à tout contrôle, activés par une chaleur torride et des vents violents, créant une situation "catastrophique", selon les autorités.
Dans la soirée de mardi, on comptabilisait dans la Nouvelle Galles du Sud plus de 140 feux de brousse dont une quarantaine n'étaient toujours pas maîtrisés, a annoncé à la presse à Sydney le commissaire des services des pompiers ruraux Shane Fitzsimmons.
"Vous ne pouvez pas avoir une situation pire, nous faisons face à une catastrophe", a-t-il dit.
Depuis l'incendie qui a suivi en 2009 un orage dans l’État de Victoria, faisant 173 morts, ce terme signifie que les feux sont incontrôlables, imprévisibles et se propagent rapidement, ne laissant comme issue que l'évacuation des habitants des zones menacées.
L’Etat de la Nouvelle Galles du Sud a connu les incendies les plus dangereux de son histoire, avec des vents violents et des températures atteignant 45 degrés Celsius dans certaines régions, même si ces températures ont maintenant tendance à baisser.
Pour le moment, on n'a fait état que d'une seule maison détruite par le feu dans cet État, à Jugiong, à la frontière avec le territoire de la capitale australienne.
Bien qu'il n'y ait pas eu jusqu'ici de mort, les autorités restent vigilantes et surveillent plus particulièrement les régions de Shoalhaven, Illawarra et Southern Rnages, au sud de Sydney, régions connues pour abriter des stations balnéaires réputées.
Le porte-parole des pompiers, Joel Kursawe, a déclaré à l'agence australienne de presse que les pompiers profiteraient de la baisse relative des températures pour lutter contre les incendies, mais il a déploré qu'il n'y ait aucun signe d'une pluie à venir.
Un adolescent a été accusé d'avoir provoqué délibérément un départ de feu dans des broussailles à l'ouest de Sydney. Le feu n'a été maîtrisé par les pompiers qu'au bout de deux heures.
Selon certaines informations, il pourrait y avoir déjà une centaine de disparus à la suite des incendies, mais il ne sera pas possible d'avoir des chiffres fiables avant que la situation ne revienne à la normale.
mfc/mp/ao/ai/sb
Dans la soirée de mardi, on comptabilisait dans la Nouvelle Galles du Sud plus de 140 feux de brousse dont une quarantaine n'étaient toujours pas maîtrisés, a annoncé à la presse à Sydney le commissaire des services des pompiers ruraux Shane Fitzsimmons.
"Vous ne pouvez pas avoir une situation pire, nous faisons face à une catastrophe", a-t-il dit.
Depuis l'incendie qui a suivi en 2009 un orage dans l’État de Victoria, faisant 173 morts, ce terme signifie que les feux sont incontrôlables, imprévisibles et se propagent rapidement, ne laissant comme issue que l'évacuation des habitants des zones menacées.
L’Etat de la Nouvelle Galles du Sud a connu les incendies les plus dangereux de son histoire, avec des vents violents et des températures atteignant 45 degrés Celsius dans certaines régions, même si ces températures ont maintenant tendance à baisser.
Pour le moment, on n'a fait état que d'une seule maison détruite par le feu dans cet État, à Jugiong, à la frontière avec le territoire de la capitale australienne.
Bien qu'il n'y ait pas eu jusqu'ici de mort, les autorités restent vigilantes et surveillent plus particulièrement les régions de Shoalhaven, Illawarra et Southern Rnages, au sud de Sydney, régions connues pour abriter des stations balnéaires réputées.
Le porte-parole des pompiers, Joel Kursawe, a déclaré à l'agence australienne de presse que les pompiers profiteraient de la baisse relative des températures pour lutter contre les incendies, mais il a déploré qu'il n'y ait aucun signe d'une pluie à venir.
Un adolescent a été accusé d'avoir provoqué délibérément un départ de feu dans des broussailles à l'ouest de Sydney. Le feu n'a été maîtrisé par les pompiers qu'au bout de deux heures.
Selon certaines informations, il pourrait y avoir déjà une centaine de disparus à la suite des incendies, mais il ne sera pas possible d'avoir des chiffres fiables avant que la situation ne revienne à la normale.
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