PAPEETE, le 10 décembre 2014. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) La ministre de l’Education, Nicole Sanquer-Fareata, a assisté, mercredi matin, à une visioconférence à l’Université de la Polynésie française avec, depuis Nantes, Isabelle Nocus et Marie Salaün, enseignants chercheurs, en charge de l’expérimentation « L’enseignement renforcé du reo maohi comme prévention et lutte contre l’illettrisme en Polynésie française », ou ReoC3.
L’objet de la visioconférence était de présenter les résultats des évaluations de cette expérimentation et ce selon deux axes : psycholinguistique et sociolinguistique.
L’objectif général de l’évaluation était de mesurer l’impact d’un dispositif pédagogique bilingue, le ReoC3, sur la réussite scolaire et le développement langagier des élèves au cycle 3 (CE2, CM1 et CM2), mais également sur les stratégies de transmission dans les familles et sur le dialogue entre l’institution scolaire et les familles.
L’étude repose sur la comparaison entre un groupe contrôle recevant un enseignement « classique » et un groupe expérimental bénéficiant du dispositif ReoC3. Jacques Vernaudon et Mirose Paia, maître de conférences à l’UPF, ont présenté à leur tour les conclusions de leur enquête OPLF (représentations et pratiques des élèves de CM2 sur le tahitien et les autres langues).
L’objet de la visioconférence était de présenter les résultats des évaluations de cette expérimentation et ce selon deux axes : psycholinguistique et sociolinguistique.
L’objectif général de l’évaluation était de mesurer l’impact d’un dispositif pédagogique bilingue, le ReoC3, sur la réussite scolaire et le développement langagier des élèves au cycle 3 (CE2, CM1 et CM2), mais également sur les stratégies de transmission dans les familles et sur le dialogue entre l’institution scolaire et les familles.
L’étude repose sur la comparaison entre un groupe contrôle recevant un enseignement « classique » et un groupe expérimental bénéficiant du dispositif ReoC3. Jacques Vernaudon et Mirose Paia, maître de conférences à l’UPF, ont présenté à leur tour les conclusions de leur enquête OPLF (représentations et pratiques des élèves de CM2 sur le tahitien et les autres langues).
