PUNAAUIA, 23 janvier 2015 - Ouvert depuis le retour des vacances de Noël, l'amphi A2 a été officiellement inauguré vendredi dernier. Au-delà d'être le 5e amphi de la faculté, il est aussi équipé des dernières nouveautés numériques.
L'Université de Polynésie française (UPF) ne cesse de grandir. "Depuis l'ouverture de l'université, nous sommes en expansion constante et cela pose régulièrement des problèmes de locaux, pour avoir des salles assez vastes pour accueillir des groupes importants" explique Eric conte, le président de l'université.
D'autant que les 150 élèves accueillis cette année en première année de médecine ont de nombreux cours à suivre. Pour répondre au besoin, l'UPF a, sur ses fonds propres, fait procéder aux travaux et investi les 70 millions Fcfp nécessaires : sur place 13 entreprises ont travaillé durant sept mois.
Au final, ce nouvel amphi de 166 places (et cinq places pour les personnes à mobilité réduite) est déjà fortement utilisé depuis la reprise des cours, le 12 janvier dernier. "La preuve de sa nécessité" indiquait encore Eric Conte. Et puisque cette salle est toute neuve, elle est aussi équipée du matériel de pédagogie numérique dernier cri : vidéoprojecteur, deux écrans LCD de projection relais (pour atteindre le fond de la salle), six enceintes. Le tout sera complété prochainement d'une tablette numérique tactile pour les enseignants, "un outil de pédagogie interactive" avec système de visioconférence et un système de captation vidéo pour pouvoir diffuser les cours sur Internet ou proposer des MOOC (massive open online course c'est-à-dire formation en ligne ouverte à tous).
Tous ces équipements "participent aux nouvelles pratiques pédagogiques que l'on instille à l'université. On ne pouvait pas faire un nouvel amphi sans le doter de ce qui se fait de mieux" poursuit Eric Conte. L'UPF n'a pas fini de muter et de s'agrandir. Des travaux de réhabilitation sont prévus très prochainement dans le bâtiment D et le futur contrat de projets Etat/Pays 2015-2020 devrait permette de concrétiser d'autres constructions : le doublement de la surface de la bibliothèque universitaire, actuellement trop étroite, un nouveau bâtiment dédié à la recherche "en sciences dures et expérimentales" et encore la future Maison des Sciences de l'Homme du Pacifique, un projet partagé avec le CNRS.
L'Université de Polynésie française (UPF) ne cesse de grandir. "Depuis l'ouverture de l'université, nous sommes en expansion constante et cela pose régulièrement des problèmes de locaux, pour avoir des salles assez vastes pour accueillir des groupes importants" explique Eric conte, le président de l'université.
D'autant que les 150 élèves accueillis cette année en première année de médecine ont de nombreux cours à suivre. Pour répondre au besoin, l'UPF a, sur ses fonds propres, fait procéder aux travaux et investi les 70 millions Fcfp nécessaires : sur place 13 entreprises ont travaillé durant sept mois.
Au final, ce nouvel amphi de 166 places (et cinq places pour les personnes à mobilité réduite) est déjà fortement utilisé depuis la reprise des cours, le 12 janvier dernier. "La preuve de sa nécessité" indiquait encore Eric Conte. Et puisque cette salle est toute neuve, elle est aussi équipée du matériel de pédagogie numérique dernier cri : vidéoprojecteur, deux écrans LCD de projection relais (pour atteindre le fond de la salle), six enceintes. Le tout sera complété prochainement d'une tablette numérique tactile pour les enseignants, "un outil de pédagogie interactive" avec système de visioconférence et un système de captation vidéo pour pouvoir diffuser les cours sur Internet ou proposer des MOOC (massive open online course c'est-à-dire formation en ligne ouverte à tous).
Tous ces équipements "participent aux nouvelles pratiques pédagogiques que l'on instille à l'université. On ne pouvait pas faire un nouvel amphi sans le doter de ce qui se fait de mieux" poursuit Eric Conte. L'UPF n'a pas fini de muter et de s'agrandir. Des travaux de réhabilitation sont prévus très prochainement dans le bâtiment D et le futur contrat de projets Etat/Pays 2015-2020 devrait permette de concrétiser d'autres constructions : le doublement de la surface de la bibliothèque universitaire, actuellement trop étroite, un nouveau bâtiment dédié à la recherche "en sciences dures et expérimentales" et encore la future Maison des Sciences de l'Homme du Pacifique, un projet partagé avec le CNRS.
