Teiki Babbucci, tenant du titre 2016, au volant de son Honda Civic de 1992
Parole à Teiki Babbucci
Quelques mots sur la dernière confrontation ?
« Les conditions ont été au top avec du soleil, du monde et du spectacle. Ces confrontations en slalom ont lieu une fois par mois et elles sont organisées par l’Asat. Une annonce est faite deux semaines avant la course mais les pilotes peuvent s’inscrire également le jour même, à condition de disposer des documents nécessaires et à condition que le véhicule corresponde aux critères techniques de la course. »
Le parcours, les voitures ?
« Le parcours de Fare Ute n’excède pas 2 km, cela permet aux grosses comme aux petites voitures de tirer leur épingle du jeu. Sur ce type de parcours, la puissance n’est pas primordiale. Cela laisse un peu de marge aux véhicules moins préparés. Cela permet de mettre le pied à l’étrier en attendant de pouvoir faire évoluer sa voiture pour atteindre ensuite le niveau supérieur et se battre pour les premières places. »
Satisfaits de la participation ?
« On a eu une quinzaine de véhicules, c’est rare que l’on ait ce genre de mobilisation. Ce sont des coureurs qui ont pris une licence pour l’année donc on risque de les revoir à chaque course, j’ose espérer que la participation augmentera encore. »
Quelques mots sur la dernière confrontation ?
« Les conditions ont été au top avec du soleil, du monde et du spectacle. Ces confrontations en slalom ont lieu une fois par mois et elles sont organisées par l’Asat. Une annonce est faite deux semaines avant la course mais les pilotes peuvent s’inscrire également le jour même, à condition de disposer des documents nécessaires et à condition que le véhicule corresponde aux critères techniques de la course. »
Le parcours, les voitures ?
« Le parcours de Fare Ute n’excède pas 2 km, cela permet aux grosses comme aux petites voitures de tirer leur épingle du jeu. Sur ce type de parcours, la puissance n’est pas primordiale. Cela laisse un peu de marge aux véhicules moins préparés. Cela permet de mettre le pied à l’étrier en attendant de pouvoir faire évoluer sa voiture pour atteindre ensuite le niveau supérieur et se battre pour les premières places. »
Satisfaits de la participation ?
« On a eu une quinzaine de véhicules, c’est rare que l’on ait ce genre de mobilisation. Ce sont des coureurs qui ont pris une licence pour l’année donc on risque de les revoir à chaque course, j’ose espérer que la participation augmentera encore. »
Teiki Babbucci et son ami Teriinui Tauvavau
Les points, les manches ?
« La journée se déroule sur cinq étapes, la première c’est la manche d’essai qui est chronométrée mais qui ne compte pas pour le classement qui est constitué par rapport au meilleur temps des quatre manches suivantes. Tu as donc quatre chances pour réaliser ton meilleur temps. »
C’est une passion ?
« Forcément, si on veut s’essayer à ce genre de discipline, c’est que quelque part on est passionné d’automobile. Je dirais que c’est le principal moteur si on veut être motivé et que l’on veut se perfectionner. Comme dans tout sport, la passion c’est le nerf de la guerre. Je suis effectivement passionné de voiture, j’exerce par ailleurs le métier de mécanicien donc c’est difficile de s’en passer. Tant qu’il y a la santé, on continue. »
Ton véhicule ?
« Je tourne sur une Honda Civic de 1992, un modèle pas tout jeune. Actuellement, c’est la voiture la plus polyvalente et la plus abordable sur le marché, tant sur la fiabilité que sur l’investissement à faire dessus. Ses performances sont reconnues mondialement, j’essaye de développer cette marque, je suis un des premiers à courir avec cette marque depuis 10 ans et j’ai pu arriver au top. C’est pour ça que beaucoup de gens se sont lancés en me suivant. »
« La journée se déroule sur cinq étapes, la première c’est la manche d’essai qui est chronométrée mais qui ne compte pas pour le classement qui est constitué par rapport au meilleur temps des quatre manches suivantes. Tu as donc quatre chances pour réaliser ton meilleur temps. »
C’est une passion ?
« Forcément, si on veut s’essayer à ce genre de discipline, c’est que quelque part on est passionné d’automobile. Je dirais que c’est le principal moteur si on veut être motivé et que l’on veut se perfectionner. Comme dans tout sport, la passion c’est le nerf de la guerre. Je suis effectivement passionné de voiture, j’exerce par ailleurs le métier de mécanicien donc c’est difficile de s’en passer. Tant qu’il y a la santé, on continue. »
Ton véhicule ?
« Je tourne sur une Honda Civic de 1992, un modèle pas tout jeune. Actuellement, c’est la voiture la plus polyvalente et la plus abordable sur le marché, tant sur la fiabilité que sur l’investissement à faire dessus. Ses performances sont reconnues mondialement, j’essaye de développer cette marque, je suis un des premiers à courir avec cette marque depuis 10 ans et j’ai pu arriver au top. C’est pour ça que beaucoup de gens se sont lancés en me suivant. »
L'intérieur de l'habitacle de la BMW de Teriinui a été complètement modifié
Il faut forcément être mécanicien ?
« Non pas du tout, j’ai des clients qui n’y connaissent quasiment rien. Pour certains, c’est plutôt pour le pilotage, pour se faire plaisir. Nous on est là, mécaniciens, préparateurs, pour faire évoluer leur voiture selon leur budget, pour allier plaisir et conduite. »
Un dernier mot ?
« On remercie particulièrement nos sponsors Yune Tung, Renault Rent et, me concernant, un grand merci à Teva Import de Jeff et Prisca Yersin qui me sponsorisent depuis trois ans. Un grand merci à tous, en espérant que le sport automobile puisse se développer encore plus en Polynésie, c’est mon souhait le plus cher. » Propos recueillis par SB
« Non pas du tout, j’ai des clients qui n’y connaissent quasiment rien. Pour certains, c’est plutôt pour le pilotage, pour se faire plaisir. Nous on est là, mécaniciens, préparateurs, pour faire évoluer leur voiture selon leur budget, pour allier plaisir et conduite. »
Un dernier mot ?
« On remercie particulièrement nos sponsors Yune Tung, Renault Rent et, me concernant, un grand merci à Teva Import de Jeff et Prisca Yersin qui me sponsorisent depuis trois ans. Un grand merci à tous, en espérant que le sport automobile puisse se développer encore plus en Polynésie, c’est mon souhait le plus cher. » Propos recueillis par SB
Teriinui Tauvavau en action
