Isabelle Fernandez (à gauche) qui est la responsable de UbiFrance-Chine, donne de précieux conseils sur les possibilités en matière d'affaires en Chine.
Arrivé ce lundi sur le Territoire, la chef de l’agence gouvernementale UbiFrance - Chine, Isabelle Fernandez, anime la semaine de l’Export, dans les locaux de l’ADN, Agence de Développement Numérique. Objectif : conseiller et accompagner les entrepreneurs du fenua qui souhaiteraient partir à la conquête du marché chinois.
Cette semaine de l’Export est la seconde organisée par la Direction générale des affaires économiques. Depuis mardi et ce, jusqu’à vendredi soir, les journées seront ponctuées de conférences publiques gratuites, d’ateliers thématiques et de rendez-vous individuels sur le thème du marché chinois , et plus particulièrement sur ses spécificités. Pour cela, la responsable de l’agence publique UbiFrance, Isabelle Fernandez a été invitée afin d’animer ces journées placées sous le signe de l’opportunité.
Les conférences gratuites se tiennent dans la salle de réunion de l’Agence de développement du numérique (ADN) située dans l’immeuble Toriki, rue Dumont D’Urville à Papeete. Elles apportent des éclaircissements sur des questions que peuvent se poser les chefs d’entreprise polynésiens, en l’occurrence s’agissant du marché chinois, et des préjugés qui persistent à son égard. A cela, Isabelle Fernandez répond : « Notre rôle est de dire que la Chine, c’est possible. Et la Chine, c’est possible. Je voudrais tordre le cou à tous ces préjugés et idées fausses sur le monde des affaires chinois. (…) Il y a eu la période de la Chine « L’usine du monde » et aujourd’hui, avec l’évolution des marchés et malgré la crise qui frappe le monde, ce pays connait tout de même un taux de croissance d’environ 7.8 %, ce qui est considérable. Elle n’a pas vraiment perdu de sa force économique. On a souvent fustigé les sociétés chinoises, leur fabrication aléatoires, et pourtant, aujourd’hui toutes les grandes entreprises françaises y sont établies. L’opportunité est telle que de plus en plus, les hommes d’affaires du monde entier se tournent vers la Chine. En matière de clientèle, il faut savoir qu’il existe environ 260 villes avec plus d’un million d’habitants. C’est dire. »
Depuis mardi, La spécialiste du marché asiatique a déjà reçu des chefs de projets ou autres affairistes locaux, notamment dans le domaine du cosmétique, comme la production de mono’i. Le domaine agro-alimentaire reste toutefois le domaine de prédilection d’Isabelle Fernandez. Un projet d’exportation de bouteilles d’eau a retenu son attention. « Le projet a été bien mené. La clientèle chinoise peut être intéressée par cette eau qui vient du « paradis ». » D’ailleurs, les quelques entrepreneurs venus lui soumettre leurs projets ont déjà commandé des études sur place. « L’avantage de cette semaine de l’export, c’est que cela nous évite de nous déplacer jusqu’en Chine pour avoir les informations et surtout les conseils en matière d’exportation et des contraintes. » nous expliquait Erwan Mallegoll, porteur du projet d’exportation d’eau de source. « Aujourd’hui, nous sommes à la phase d’essai, (…) et on a voulu apporter et présenter un échantillon d’eau à la représentante d’UbiFrance. Nous avons voulu montrer la différence et la qualité du ph de notre eau qui est de 8,45. L’eau est plus alcaline que les autres. »
Quelques spécificités du monde des affaires chinois.
Isabelle Fernandez nous explique la mentalité des hommes d’affaires chinois : « Il faut comprendre que, pour les chinois, les affaires doivent être « Win Win ». Si vous gagnez, il faut que ce soit à double sens. De toute manière, si un étranger essaie de leur faire sale tour, ils le découvriront très très vite. Leur philosophie est très simple : quand vous leur proposez une affaire qui est une opportunité, ils réfléchiront à la manière de la concrétiser. Un homme d’affaires ne vous dira jamais « non ». Ils feront tout pour que cela se fasse dans les meilleures conditions. Ils ne voient pas le côté vide du verre, mais ils apprécieront plutôt le côté plein. Ce que je veux dire, c’est qu’ils regardent toujours le verre à moitié plein, plutôt que ce qui a déjà été consommé. »
Où sont les opportunités de marché ? Comment accéder à ces marchés ? Quel est l’environnement réglementaire dans mon secteur ? Quelles sont les tendances de consommation ? Sont les autres questions auxquelles Isabelle Fernandez apporte des réponses pratiques. Pour ceux qui le désirent, et quelque soit le secteur : bijouterie, accessoires de mode, cosmétiques, agro-alimentaire, vanille, poissons ou encore aquaculture, des rencontres gratuites d’une demi-heure à une heure sont encore possibles jusqu’à vendredi avec Isabelle Fernandez.
TP & Jordan Monvoisin
Cette semaine de l’Export est la seconde organisée par la Direction générale des affaires économiques. Depuis mardi et ce, jusqu’à vendredi soir, les journées seront ponctuées de conférences publiques gratuites, d’ateliers thématiques et de rendez-vous individuels sur le thème du marché chinois , et plus particulièrement sur ses spécificités. Pour cela, la responsable de l’agence publique UbiFrance, Isabelle Fernandez a été invitée afin d’animer ces journées placées sous le signe de l’opportunité.
Les conférences gratuites se tiennent dans la salle de réunion de l’Agence de développement du numérique (ADN) située dans l’immeuble Toriki, rue Dumont D’Urville à Papeete. Elles apportent des éclaircissements sur des questions que peuvent se poser les chefs d’entreprise polynésiens, en l’occurrence s’agissant du marché chinois, et des préjugés qui persistent à son égard. A cela, Isabelle Fernandez répond : « Notre rôle est de dire que la Chine, c’est possible. Et la Chine, c’est possible. Je voudrais tordre le cou à tous ces préjugés et idées fausses sur le monde des affaires chinois. (…) Il y a eu la période de la Chine « L’usine du monde » et aujourd’hui, avec l’évolution des marchés et malgré la crise qui frappe le monde, ce pays connait tout de même un taux de croissance d’environ 7.8 %, ce qui est considérable. Elle n’a pas vraiment perdu de sa force économique. On a souvent fustigé les sociétés chinoises, leur fabrication aléatoires, et pourtant, aujourd’hui toutes les grandes entreprises françaises y sont établies. L’opportunité est telle que de plus en plus, les hommes d’affaires du monde entier se tournent vers la Chine. En matière de clientèle, il faut savoir qu’il existe environ 260 villes avec plus d’un million d’habitants. C’est dire. »
Depuis mardi, La spécialiste du marché asiatique a déjà reçu des chefs de projets ou autres affairistes locaux, notamment dans le domaine du cosmétique, comme la production de mono’i. Le domaine agro-alimentaire reste toutefois le domaine de prédilection d’Isabelle Fernandez. Un projet d’exportation de bouteilles d’eau a retenu son attention. « Le projet a été bien mené. La clientèle chinoise peut être intéressée par cette eau qui vient du « paradis ». » D’ailleurs, les quelques entrepreneurs venus lui soumettre leurs projets ont déjà commandé des études sur place. « L’avantage de cette semaine de l’export, c’est que cela nous évite de nous déplacer jusqu’en Chine pour avoir les informations et surtout les conseils en matière d’exportation et des contraintes. » nous expliquait Erwan Mallegoll, porteur du projet d’exportation d’eau de source. « Aujourd’hui, nous sommes à la phase d’essai, (…) et on a voulu apporter et présenter un échantillon d’eau à la représentante d’UbiFrance. Nous avons voulu montrer la différence et la qualité du ph de notre eau qui est de 8,45. L’eau est plus alcaline que les autres. »
Quelques spécificités du monde des affaires chinois.
Isabelle Fernandez nous explique la mentalité des hommes d’affaires chinois : « Il faut comprendre que, pour les chinois, les affaires doivent être « Win Win ». Si vous gagnez, il faut que ce soit à double sens. De toute manière, si un étranger essaie de leur faire sale tour, ils le découvriront très très vite. Leur philosophie est très simple : quand vous leur proposez une affaire qui est une opportunité, ils réfléchiront à la manière de la concrétiser. Un homme d’affaires ne vous dira jamais « non ». Ils feront tout pour que cela se fasse dans les meilleures conditions. Ils ne voient pas le côté vide du verre, mais ils apprécieront plutôt le côté plein. Ce que je veux dire, c’est qu’ils regardent toujours le verre à moitié plein, plutôt que ce qui a déjà été consommé. »
Où sont les opportunités de marché ? Comment accéder à ces marchés ? Quel est l’environnement réglementaire dans mon secteur ? Quelles sont les tendances de consommation ? Sont les autres questions auxquelles Isabelle Fernandez apporte des réponses pratiques. Pour ceux qui le désirent, et quelque soit le secteur : bijouterie, accessoires de mode, cosmétiques, agro-alimentaire, vanille, poissons ou encore aquaculture, des rencontres gratuites d’une demi-heure à une heure sont encore possibles jusqu’à vendredi avec Isabelle Fernandez.
TP & Jordan Monvoisin
Qu’est-ce qu’Ubifrance?
Ubifrance est un établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous l’autorité du Ministre en charge de l’économie et des finances et du commerce extérieur français, qui a pour objectif d’informer les entreprises françaises, notamment les PME, sur les marchés extérieurs, de les conseiller et de les accompagner dans leurs actions de prospection, de promotion et d’implantation, afin de les aider à se développer à l’international de manière efficace et durable.
Que va apporter ce partenariat aux entreprises polynésiennes ?
Ce partenariat avec Ubifrance, qui dispose de 80 bureaux dans 60 pays et d’une expertise incontestable à l’international, permettra aux entreprises polynésiennes de bénéficier d’un accompagnement individuel dans leurs démarches à l’export, qui pourra être pris en charge tout ou parti par le Pays.
Cet accompagnement peut être :
de l’accompagnement individuel de type « test sur l’offre » auprès de distributeurs/importateurs sur un pays cible :
Ubifrance peut se charger de votre prospection, dans un ou plusieurs marché(s) ciblé(s). Il teste le potentiel de vos produits auprès d’une cible d’acheteurs/ d’importateurs, et évalue leur réaction. Si le test est positif, il recherche des clients potentiels, il leur présente brièvement vos produits, jusqu’à vous organiser un carnet de rendez-vous avec ces acheteurs potentiels,…
de l’accompagnement sur des opérations collectives du programme France export : salons professionnels sur Pavillon France, rencontres d’acheteurs, présentations de produits, …
Comment bénéficier de ces aides à l’exportation ?
Pour bénéficier de ces prestations Ubifrance et/ou d’aides financières du Pays, dans le cadre de ce partenariat, vous devez vous rapprocher de la Direction générale des affaires économiques (DGAE)
.
Les conditions :
Exportateurs polynésiens confirmés ou débutants.
Les critères d’éligibilité étant basés notamment sur une analyse du diagnostic export de l’entreprise, document permettant de faire le point sur sa capacité et son potentiel à exporter.
Vous avez besoin d’information sur les réglementations spécifiques de pays tiers pour exporter ?
La DGAE se charge de recueillir les informations relatives aux exigences applicables dans les pays tiers, auprès des experts Ubifrance :
Réglementation douanière (quels sont les droits et taxes applicables? Y a-t-il des formalités à remplir? …)
Réglementation produit (quelles sont les règles d’étiquetage, le produit doit-il être adapté au marché? normes d’emballage, …
questions juridiques et fiscales
Sources : DGAE (Direction Générale des Affaires Economiques)
Ubifrance est un établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous l’autorité du Ministre en charge de l’économie et des finances et du commerce extérieur français, qui a pour objectif d’informer les entreprises françaises, notamment les PME, sur les marchés extérieurs, de les conseiller et de les accompagner dans leurs actions de prospection, de promotion et d’implantation, afin de les aider à se développer à l’international de manière efficace et durable.
Que va apporter ce partenariat aux entreprises polynésiennes ?
Ce partenariat avec Ubifrance, qui dispose de 80 bureaux dans 60 pays et d’une expertise incontestable à l’international, permettra aux entreprises polynésiennes de bénéficier d’un accompagnement individuel dans leurs démarches à l’export, qui pourra être pris en charge tout ou parti par le Pays.
Cet accompagnement peut être :
de l’accompagnement individuel de type « test sur l’offre » auprès de distributeurs/importateurs sur un pays cible :
Ubifrance peut se charger de votre prospection, dans un ou plusieurs marché(s) ciblé(s). Il teste le potentiel de vos produits auprès d’une cible d’acheteurs/ d’importateurs, et évalue leur réaction. Si le test est positif, il recherche des clients potentiels, il leur présente brièvement vos produits, jusqu’à vous organiser un carnet de rendez-vous avec ces acheteurs potentiels,…
de l’accompagnement sur des opérations collectives du programme France export : salons professionnels sur Pavillon France, rencontres d’acheteurs, présentations de produits, …
Comment bénéficier de ces aides à l’exportation ?
Pour bénéficier de ces prestations Ubifrance et/ou d’aides financières du Pays, dans le cadre de ce partenariat, vous devez vous rapprocher de la Direction générale des affaires économiques (DGAE)
.
Les conditions :
Exportateurs polynésiens confirmés ou débutants.
Les critères d’éligibilité étant basés notamment sur une analyse du diagnostic export de l’entreprise, document permettant de faire le point sur sa capacité et son potentiel à exporter.
Vous avez besoin d’information sur les réglementations spécifiques de pays tiers pour exporter ?
La DGAE se charge de recueillir les informations relatives aux exigences applicables dans les pays tiers, auprès des experts Ubifrance :
Réglementation douanière (quels sont les droits et taxes applicables? Y a-t-il des formalités à remplir? …)
Réglementation produit (quelles sont les règles d’étiquetage, le produit doit-il être adapté au marché? normes d’emballage, …
questions juridiques et fiscales
Sources : DGAE (Direction Générale des Affaires Economiques)
Derniers jours de la semaine de l’export
mercredi 26/06 (13h à 15h) : Présentation du marché de la bijouterie et des accessoires de mode en Chine et à Hong Kong
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine + Mme Aurélie TOUZARD, Ubifrance Hong Kong en visioconférence
jeudi 27/06 (8h à 09h30) : Présentation de la Coface, un soutien pour faciliter votre activité de prospection
intervenant : Mme MARTINEZ, Coface Paris (en visio- conférence)
jeudi 27/06 (9h30 à 10h30) : L’art de faire des affaires en Chine
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine
jeudi 27/06 (13h à 15h) : Présentation du marché des produits alimentaires et des produits de la mer en Chine et à Hong Kong
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine + Mme Hélène HOVASSE, chef du pôle Agrotech Chine HK
D’aujourd’hui jusqsu’au vendredi 28/06 : RdV Conseil experts
Profitez de la présence de Mme Fernandez pour vous entretenir avec elle, en vous inscrivant auprès de la DGAE : vous bénéficierez gratuitement de ses conseils, et orientations sur vos projets export sur ces marchés.
mercredi 26/06 (13h à 15h) : Présentation du marché de la bijouterie et des accessoires de mode en Chine et à Hong Kong
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine + Mme Aurélie TOUZARD, Ubifrance Hong Kong en visioconférence
jeudi 27/06 (8h à 09h30) : Présentation de la Coface, un soutien pour faciliter votre activité de prospection
intervenant : Mme MARTINEZ, Coface Paris (en visio- conférence)
jeudi 27/06 (9h30 à 10h30) : L’art de faire des affaires en Chine
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine
jeudi 27/06 (13h à 15h) : Présentation du marché des produits alimentaires et des produits de la mer en Chine et à Hong Kong
intervenants : Mme FERNANDEZ, Ubifrance Chine + Mme Hélène HOVASSE, chef du pôle Agrotech Chine HK
D’aujourd’hui jusqsu’au vendredi 28/06 : RdV Conseil experts
Profitez de la présence de Mme Fernandez pour vous entretenir avec elle, en vous inscrivant auprès de la DGAE : vous bénéficierez gratuitement de ses conseils, et orientations sur vos projets export sur ces marchés.
'Ua riro o Hong Kong mai te hō'ē ra 'oire rahi 'ihea rave rahi mau 'eitauira'a e ti'a 'ia rave hia.
Taiete a te hau metua, UbiFrance : Te i Tahiti nei nō te 'arata'i i te mau 'ona taiete e 'ōpua ra i te tāpiho'o i te fenua Taina
O Isabelle Fernandez, te upo'o fa'atere nō taua piha 'ohipa ra, o UbiFrance. Te tumu 'oia i tae mai ai i te fenua nei, 'ua tĪtau hia 'oia e te pū DGAE ( e ti'a'au nei i te parau nō te fa'arava'ira'a faufa'a o te fenua nei ). 'Ua tae mai i Isabelle a'e ra mai i teie mōnirē nei. E noho mai 'ō na hō'ē hebetoma i te maoro. 'Ua ha'amata a'e na 'oia i te fa'ari'i i te te mau 'ona mai i teie mahana piti nei. Rave rahi mau uira'a o tā na i pahono : 'Eāha te mau fa'anahora'a i ti'a ia rave nō te tāpiho'o o te mau tauiha'a ānei, mā'a ānei, e te vai atu ra.
I roto pū i te mau 'ona i fa'ari'i hia 'e ana, 'ua tāpe'a mai o Isabelle i tetahi 'ōpuara'a maitata'i, e arata'i hia ana e Erwan Mallegoll 'e tauturu 'ū'ana hia e te 'ona ra o Laine tāne. Tē tītau nei teie nā ta'ata to'o piti i te ho'o atu i tetahi mohina pape 'āpī roa i rāpae'au o tō tātou nei fenua. Tae atu i teie mahana, te rave noa ra rātou i te mau ravera'a pāumura'a pape puna, ma te pae Tahiti iti ma. Ia au i te mau tītorotorora'a, 'ua ineine ihoa teie pape i te tāpiho'ora'a. Hou ra te reira a rave roa hia atu ai, e ti'a nā mua roa i teie na mau ti'a e fāfā haere i te mātete 'āpī o te hīna'aro hia ra, mai te mātete nō Taina. I reira, te nā'o ra o Isabelle Fernandez "e manuia ihoa i te 'ohipa tāpiho'o mai te peu e tītorotoro haere te mau 'ona 'ō vai te mau hoani o tā rātou e fēruri ra i te fa'a 'ana'anatae." Ia au noa i teie vahine, 'ua hau i te 260 mau 'oire pū e vai nei, te i ni'a i tō rātou faīto huira'atira i te hō'ē mīrioni tino ta'ata.
Nō te parau o te huru o te mau 'ona tinitō nō 'ō mai, mea ta'a 'ē roa i tā rātou mau fa'anahora'a. 'E 'ere teie mau ta'ata i te mea e ha'ataupūpū nei i te fērurira'a. Mai o tā Isabelle e ha'apāpū mai rai :" 'Ia vauvau ana'e 'oe i tā 'oe 'ōpuara'a 'ohipa, 'aita rātou e pāto'i a ore ra 'aita ato'a rātou e fa'a'i'ino. 'Aita roa atu. O tā rātou ra e hi'o nā mua roa, mea nāhea rātou e nehenehe e ha'amanuia i tā 'oe 'ōpuara'a. Mai te peu e 'imi hia i te hō'ē rāve'a tāvirira'a iā rātou, e 'ite atu ihoa rātou. 'Eiāha e mo'e hia 'iā tātou, teie 'ohipa ho'oho'ora'a tauiha'a i rāpae mai, mea mātau roa nā rātou. Nō te parau ra ē , e manuia, 'ē e manuia ihoa."
Nō 'outou e 'ana'anatae ra i te mau 'ōpuara'a tāpiho'ora'a, a tāpapa atu i te fare tahua rau ra pi'i hia Toriki, i te fare mōni rahi a te Socredo. i te tahua mātāmua, e tia'i mai o Isabelle Fernandez i tā 'outou mau anira'a.'Aita e tā'ōti'ara'a nō te pae o te tuha'a 'ohipa : te mā'a, te 'ohipa rima 'ī, te rava'ai, te poe pārau e rau noa atu ā, tei iā 'outou noa. E tupu i te reira haere roa atu i teie mahana pae. Mai te peu ra, 'ua pāpū a'e na i tā 'outou tāpura 'ohipa, e ti'a ato'a e ani i tetahi mau tuatāpapara'a i teie pū UbiFrance. E fa'aha'amana'ora'a, tei raro a'e teie pū i te arata'ira'a a te Fa'aterera'a hau farāni o te Fa'arāva'ira'a Faufa'a. E 90 rātou mau ti'a e ha'a nei i te 'āma'a nō Taina.
TP
O Isabelle Fernandez, te upo'o fa'atere nō taua piha 'ohipa ra, o UbiFrance. Te tumu 'oia i tae mai ai i te fenua nei, 'ua tĪtau hia 'oia e te pū DGAE ( e ti'a'au nei i te parau nō te fa'arava'ira'a faufa'a o te fenua nei ). 'Ua tae mai i Isabelle a'e ra mai i teie mōnirē nei. E noho mai 'ō na hō'ē hebetoma i te maoro. 'Ua ha'amata a'e na 'oia i te fa'ari'i i te te mau 'ona mai i teie mahana piti nei. Rave rahi mau uira'a o tā na i pahono : 'Eāha te mau fa'anahora'a i ti'a ia rave nō te tāpiho'o o te mau tauiha'a ānei, mā'a ānei, e te vai atu ra.
I roto pū i te mau 'ona i fa'ari'i hia 'e ana, 'ua tāpe'a mai o Isabelle i tetahi 'ōpuara'a maitata'i, e arata'i hia ana e Erwan Mallegoll 'e tauturu 'ū'ana hia e te 'ona ra o Laine tāne. Tē tītau nei teie nā ta'ata to'o piti i te ho'o atu i tetahi mohina pape 'āpī roa i rāpae'au o tō tātou nei fenua. Tae atu i teie mahana, te rave noa ra rātou i te mau ravera'a pāumura'a pape puna, ma te pae Tahiti iti ma. Ia au i te mau tītorotorora'a, 'ua ineine ihoa teie pape i te tāpiho'ora'a. Hou ra te reira a rave roa hia atu ai, e ti'a nā mua roa i teie na mau ti'a e fāfā haere i te mātete 'āpī o te hīna'aro hia ra, mai te mātete nō Taina. I reira, te nā'o ra o Isabelle Fernandez "e manuia ihoa i te 'ohipa tāpiho'o mai te peu e tītorotoro haere te mau 'ona 'ō vai te mau hoani o tā rātou e fēruri ra i te fa'a 'ana'anatae." Ia au noa i teie vahine, 'ua hau i te 260 mau 'oire pū e vai nei, te i ni'a i tō rātou faīto huira'atira i te hō'ē mīrioni tino ta'ata.
Nō te parau o te huru o te mau 'ona tinitō nō 'ō mai, mea ta'a 'ē roa i tā rātou mau fa'anahora'a. 'E 'ere teie mau ta'ata i te mea e ha'ataupūpū nei i te fērurira'a. Mai o tā Isabelle e ha'apāpū mai rai :" 'Ia vauvau ana'e 'oe i tā 'oe 'ōpuara'a 'ohipa, 'aita rātou e pāto'i a ore ra 'aita ato'a rātou e fa'a'i'ino. 'Aita roa atu. O tā rātou ra e hi'o nā mua roa, mea nāhea rātou e nehenehe e ha'amanuia i tā 'oe 'ōpuara'a. Mai te peu e 'imi hia i te hō'ē rāve'a tāvirira'a iā rātou, e 'ite atu ihoa rātou. 'Eiāha e mo'e hia 'iā tātou, teie 'ohipa ho'oho'ora'a tauiha'a i rāpae mai, mea mātau roa nā rātou. Nō te parau ra ē , e manuia, 'ē e manuia ihoa."
Nō 'outou e 'ana'anatae ra i te mau 'ōpuara'a tāpiho'ora'a, a tāpapa atu i te fare tahua rau ra pi'i hia Toriki, i te fare mōni rahi a te Socredo. i te tahua mātāmua, e tia'i mai o Isabelle Fernandez i tā 'outou mau anira'a.'Aita e tā'ōti'ara'a nō te pae o te tuha'a 'ohipa : te mā'a, te 'ohipa rima 'ī, te rava'ai, te poe pārau e rau noa atu ā, tei iā 'outou noa. E tupu i te reira haere roa atu i teie mahana pae. Mai te peu ra, 'ua pāpū a'e na i tā 'outou tāpura 'ohipa, e ti'a ato'a e ani i tetahi mau tuatāpapara'a i teie pū UbiFrance. E fa'aha'amana'ora'a, tei raro a'e teie pū i te arata'ira'a a te Fa'aterera'a hau farāni o te Fa'arāva'ira'a Faufa'a. E 90 rātou mau ti'a e ha'a nei i te 'āma'a nō Taina.
TP
