Michel Teuira de la cellule de prévention routière de la gendarmerie en pleine explication sur l'importance du BSR
TAHITI ITI, le 26 janvier 2015 – La cellule de prévention routière de la gendarmerie nationale a rendu visite à deux écoles de la côte sud de Tahiti, dans la continuité de l’action de sensibilisation par la mise en place du BSR, Brevet de Sécurité Routière. Après les écoles de la côte-est l’an dernier, c’est au tour des écoles primaires de Taiarapu de participer à ce programme pilote.
Ce lundi, ce sont 16 classes de cycle 3 (CE2 à CM2) de la presqu'île qui ont reçu Michel Teuira de la cellule de la prévention routière de la gendarmerie nationale. La première visite a eu lieu à l’école Toerefau de To’ahotu où près d’une centaine d’élèves de CM2 ont été prévenus de l’arrivée du gendarme. A raison de dix minutes par classe, Michel Teuira a fait un résumé du programme qui les concernera durant toute l’année, voire même toute leur vie.
L’inspecteur de l’Education Nationale Jean-Louis de Laflaquière, en charge de la circonscription pédagogique 1 a voulu mobiliser les écoles de la Tahiti iti dont il est en charge car la mise en place du BSR (Brevet de Sécurité Routière) dans ces établissements était un besoin crucial comme l’a confirmé Emanuel Taea, directeur de l’école Ohiteitei à Taravao-centre : « C’est une action qui est très importante, surtout pour ces deux écoles qui sont situées en bordure de route. Nos élèves doivent apprendre à faire attention lorsqu’ils sortent de l’école, près d’une route. Comment se comporter ? C’est tout cela qui leur est expliqué. »
Des souvenirs d’accidents dramatiques survenus alors qu'il était en poste dans d'autres établissements scolaires de la région, l’ont fortement marqué : « J’ai perdu une de mes élèves il y a quelques années, mais je n’étais pas encore à Ohiteitei. Ça marque et c’est pour cela que je soutiens fortement ce genre de programme. »
Ce lundi, ce sont 16 classes de cycle 3 (CE2 à CM2) de la presqu'île qui ont reçu Michel Teuira de la cellule de la prévention routière de la gendarmerie nationale. La première visite a eu lieu à l’école Toerefau de To’ahotu où près d’une centaine d’élèves de CM2 ont été prévenus de l’arrivée du gendarme. A raison de dix minutes par classe, Michel Teuira a fait un résumé du programme qui les concernera durant toute l’année, voire même toute leur vie.
L’inspecteur de l’Education Nationale Jean-Louis de Laflaquière, en charge de la circonscription pédagogique 1 a voulu mobiliser les écoles de la Tahiti iti dont il est en charge car la mise en place du BSR (Brevet de Sécurité Routière) dans ces établissements était un besoin crucial comme l’a confirmé Emanuel Taea, directeur de l’école Ohiteitei à Taravao-centre : « C’est une action qui est très importante, surtout pour ces deux écoles qui sont situées en bordure de route. Nos élèves doivent apprendre à faire attention lorsqu’ils sortent de l’école, près d’une route. Comment se comporter ? C’est tout cela qui leur est expliqué. »
Des souvenirs d’accidents dramatiques survenus alors qu'il était en poste dans d'autres établissements scolaires de la région, l’ont fortement marqué : « J’ai perdu une de mes élèves il y a quelques années, mais je n’étais pas encore à Ohiteitei. Ça marque et c’est pour cela que je soutiens fortement ce genre de programme. »
Sensibiliser en plusieurs étapes
Le programme établi par la gendarmerie nationale se déroule en trois temps dont la première phase, la distribution des kits, a eu lieu en novembre dernier au sein de 41 sur les 57 classes choisies pour l’opération. Dans ce chiffre sont inclues 21 classes des australes. Une fois associés, le nombre d’enfants atteint 1 172.
La seconde étape qui a été cette visite a eu pour objectif de présenter le kit lequel comprend un CD explicatif ainsi que des documents sur les différents comportements à avoir sur la route. Les enseignants devront donc régulièrement consacrer du temps pour rappeler les règles de bases car en avril prochain, les gendarmes reviendront mais cette fois pour l’évaluation écrite qui sera faite en même temps dans tous les établissements de Taiarapu et des australes. Les élèves auront quinze minutes pour répondre à un questionnaire (12 questions).
En 2014, les îles avaient obtenu de très bons scores, surtout que pour être parmi les élèves les plus méritants, ceux qui recevront une récompense, « devront avoir une note minimum de 9 points... sur 12 ! » a lancé Michel Teuira en taquinant les enfants. Malgré tout, « ce n’est pas tombé dans les oreilles de sourds » a répondu un enseignant. Le moral est au top et les équipes d’enseignants des écoles comptent bien se surpasser « au nom de la vie et du respect d’autrui ! ».Rendez-vous a donc été pris dans trois mois pour l’évaluation.
TP
Le programme établi par la gendarmerie nationale se déroule en trois temps dont la première phase, la distribution des kits, a eu lieu en novembre dernier au sein de 41 sur les 57 classes choisies pour l’opération. Dans ce chiffre sont inclues 21 classes des australes. Une fois associés, le nombre d’enfants atteint 1 172.
La seconde étape qui a été cette visite a eu pour objectif de présenter le kit lequel comprend un CD explicatif ainsi que des documents sur les différents comportements à avoir sur la route. Les enseignants devront donc régulièrement consacrer du temps pour rappeler les règles de bases car en avril prochain, les gendarmes reviendront mais cette fois pour l’évaluation écrite qui sera faite en même temps dans tous les établissements de Taiarapu et des australes. Les élèves auront quinze minutes pour répondre à un questionnaire (12 questions).
En 2014, les îles avaient obtenu de très bons scores, surtout que pour être parmi les élèves les plus méritants, ceux qui recevront une récompense, « devront avoir une note minimum de 9 points... sur 12 ! » a lancé Michel Teuira en taquinant les enfants. Malgré tout, « ce n’est pas tombé dans les oreilles de sourds » a répondu un enseignant. Le moral est au top et les équipes d’enseignants des écoles comptent bien se surpasser « au nom de la vie et du respect d’autrui ! ».Rendez-vous a donc été pris dans trois mois pour l’évaluation.
TP
