Dans le cadre du programme Global Ocean Legacy, mené par l'ONG Pew, un échange entre les délégations chiliennes, maories, Rapa nui et polynésiennes a été organisé en Nouvelle-Zélande afin de découvrir les processus de création, de gestion, de suivi et de contrôle des réserves marines.
Les délégations comprenant élus, représentants de chaque communauté et des activités ont rencontré les institutions publiques locales, les communautés maories ainsi que des partenaires privés afin d'étudier dans quelles mesures les concepts culturels notamment maoris ont été intégrés à la mise en place des réserves marines et à leur gestion.
L’un des objectifs de cette mission est d'examiner comment la culture polynésienne dans sa corrélation avec l'espace maritime peut être un facteur favorisant la mise en coalition des différentes communautés polynésiennes pour la gestion et la surveillance des ressources.
La visite des sites culturels et des réserves marines a permis d’avoir un aperçu du système de gouvernance, du fonctionnement des gestionnaires et de l’implication de la population. En intégrant « culture et savoirs faires ancestraux » dans la réflexion, les projets bénéficient d’un respect immédiat et d’une appropriation de la part de la communauté locale et des visiteurs. Ainsi, la réglementation en matière de protection de l’environnement n’est pas perçue uniquement comme une contrainte, mais comme un véritable acte citoyen.
L’appropriation par la population a permis de développer des concepts alliant économie et respect de l'environnement comme le démontre l’activité touristique de Kapiti island. Cette reconversion vers un « tourisme vert » permet d’éduquer et de sensibiliser la population, de préserver et de valoriser la culture et le patrimoine et d’enseigner au monde entier qu'on peut faire qu'un avec la nature. Cette implication nécessite une démarche perpétuelle dans la communication et l’information auprès de la population afin que les décisions et les orientations prises mais aussi que les objectifs, les impacts et les conséquences soient compris et acceptés de tous.
Néanmoins, le respect des réserves marines par la population locale bien qu’elle doit en être le socle, n’est pas suffisant à l’échelle de l’océan. Une gestion collective via des accords internationaux est primordiale pour la préservation et une utilisation durable des ressources. La création de grandes réserves marines et des réserves hautement protégées dans les zones économiques exclusives et dans les eaux internationales impulsée par l’ONG Pew est un moyen de protéger nos océans.
Les délégations comprenant élus, représentants de chaque communauté et des activités ont rencontré les institutions publiques locales, les communautés maories ainsi que des partenaires privés afin d'étudier dans quelles mesures les concepts culturels notamment maoris ont été intégrés à la mise en place des réserves marines et à leur gestion.
L’un des objectifs de cette mission est d'examiner comment la culture polynésienne dans sa corrélation avec l'espace maritime peut être un facteur favorisant la mise en coalition des différentes communautés polynésiennes pour la gestion et la surveillance des ressources.
La visite des sites culturels et des réserves marines a permis d’avoir un aperçu du système de gouvernance, du fonctionnement des gestionnaires et de l’implication de la population. En intégrant « culture et savoirs faires ancestraux » dans la réflexion, les projets bénéficient d’un respect immédiat et d’une appropriation de la part de la communauté locale et des visiteurs. Ainsi, la réglementation en matière de protection de l’environnement n’est pas perçue uniquement comme une contrainte, mais comme un véritable acte citoyen.
L’appropriation par la population a permis de développer des concepts alliant économie et respect de l'environnement comme le démontre l’activité touristique de Kapiti island. Cette reconversion vers un « tourisme vert » permet d’éduquer et de sensibiliser la population, de préserver et de valoriser la culture et le patrimoine et d’enseigner au monde entier qu'on peut faire qu'un avec la nature. Cette implication nécessite une démarche perpétuelle dans la communication et l’information auprès de la population afin que les décisions et les orientations prises mais aussi que les objectifs, les impacts et les conséquences soient compris et acceptés de tous.
Néanmoins, le respect des réserves marines par la population locale bien qu’elle doit en être le socle, n’est pas suffisant à l’échelle de l’océan. Une gestion collective via des accords internationaux est primordiale pour la préservation et une utilisation durable des ressources. La création de grandes réserves marines et des réserves hautement protégées dans les zones économiques exclusives et dans les eaux internationales impulsée par l’ONG Pew est un moyen de protéger nos océans.
