PAPEETE, le 23 juillet 2014- Ce mardi 22 juillet 2014 à 09h30, sur demande de la police municipale, la patrouille de Rangiroa intervient sur la commune d'Avatoru pour tenter de neutraliser un homme de 48 ans armé d'un couteau et d'un fusil de chasse sous marine. A leur arrivée, les deux militaires sont copieusement insultés par l'intéressé qui pointe son fusil armé en direction d'un des deux gendarmes.
Les dépositaires de l'autorité publique, l'un armé de son arme de service et le second d'un Taser effectuent les sommations et intiment l'ordre à l'intéressé de déposer son arme. Ce dernier lance alors son fusil à quelques mètres des deux gendarmes. L'arme au contact du sol déclenche la flèche qui glisse sur l'herbe sans faire de blessé. Le mis en cause menace alors les gendarmes de son couteau avant de le lâcher également.
Puis, il se dirige vers son habitation et prend sa concubine comme bouclier en menaçant de lui faire mal au cou si les gendarmes ne le laissent pas tranquille. Ces derniers palabrent et profitent d'un moment d'inattention pour le ceinturer et l'interpeller.
Plus tard, au cours de la garde à vue le mis en cause fait un malaise. Après son transport au dispensaire, il fait l'objet au cours de l'après midi d'une évacuation sanitaire aux fins d'hospitalisation à Tahiti.
Les dépositaires de l'autorité publique, l'un armé de son arme de service et le second d'un Taser effectuent les sommations et intiment l'ordre à l'intéressé de déposer son arme. Ce dernier lance alors son fusil à quelques mètres des deux gendarmes. L'arme au contact du sol déclenche la flèche qui glisse sur l'herbe sans faire de blessé. Le mis en cause menace alors les gendarmes de son couteau avant de le lâcher également.
Puis, il se dirige vers son habitation et prend sa concubine comme bouclier en menaçant de lui faire mal au cou si les gendarmes ne le laissent pas tranquille. Ces derniers palabrent et profitent d'un moment d'inattention pour le ceinturer et l'interpeller.
Plus tard, au cours de la garde à vue le mis en cause fait un malaise. Après son transport au dispensaire, il fait l'objet au cours de l'après midi d'une évacuation sanitaire aux fins d'hospitalisation à Tahiti.
